Décalottage

Il semble que ma maman n'avait guère fait attention à mon prépuce jusqu'à ce que j'aie environ 6 ans. Un de mes cousins, qui avait alors à peu près le même âge, avait été diagnostiqué avec un phimosis (une visite médicale scolaire, à ce que je m'en souvienne) et sa maman en avait discuté avec la mienne, sa sœur. Il a été finalement circoncis. Ma maman n'avait jamais entendu parler de phimosis et a eu peur. Est arrivé alors un incident qui m'a marqué.

Ma maman m'a fait déculotter devant sa sœur. Elle avait approché une lampe de bureau pour mieux voir. Elle m'a alors décalotté "à fond", ce qui dans mon souvenir a été un peu difficile mais possible, en demandant à sa sœur de commenter sur la différence avec son fils. Elle n'a pas été brutale, mais ça m'a marqué à cause de l'attention qu'elle y a mis et de la présence de ma tante. Ce soir là, elle m'a lavé à l'eau et au savon en décalottant entièrement avec consigne que je fasse pareil à l'avenir. Les années qui ont suivi, elle m'a plusieurs fois fait décalotter devant elle, afin de vérifier qu'aucun problème ne s'installait. L'opération du cousin lui avait fait peur.

J'ai bien sûr raconté cet incident à mon épouse. Celle-ci a grandi dans une culture où la plupart des jeunes garçons étaient circoncis, mais elle a vite perçu l'importance du prépuce. Il y a la nudité simple et avoir "le zizi à l'air", il y a le décalottage intégral, qu'elle pratique régulièrement. Enfin, elle a repris à son compte l'impératif hygiénique.

Avez-vous subi pareils examens? Y aurait-il un équivalent féminin? Qu'en pensent vos compagnes?

Le décalottage est un grand moment des jeux médicaux, celui où après les palpations et la descente du slip, l'infirmière ou la doctoresse tire lentement sur le prépuce pour découvrir entièrement le gland, et vous laisse ainsi un moment: contemplative!

Cela me rappelle les visites médicales scolaires et chez mon pédiatre. Quand j'étais petit, j'avais peur de me décalotter quand je me lavais. La raison était que j'avais peur que mon gland tombe (oui oui, vous pouvez vous marrer...). Mais chez le médecin, je n'y coupais pas. Le pédiatre était quelqu'un de bourru, voire brutal, qui me faisait mal en me palpant le ventre et me décalottait très vite (cela me surprenait toujours mais cette partie de l'examen était très brève).

A l'école (primaire), je me souvient d'une doctoresse grande et mince, brune, qui pratiquait un peu de même. On passait à la chaîne devant une vieille infirmière qui nous pesait avec une balance comme on n'en trouve plus, nous mesurait, puis la doctoresse brune nous disait de monter sur la table, et hop ! Gorge, oreilles, coeur, poumon, ventre et zizi.

En tous cas, jamais ma mère ne m'a touchée (sauf tout petit, certainement, mais trop loin pour ma mémoire).

Franck

@Franck: Je pense que la raison pour laquelle ça m'a marqué est qu'elle n'avait pas l'habitude de le faire et s'est mis tout d'un coup à m'examiner ainsi, et puis c'était devant ma tante... et puis surtout j'ai compris leur conversation, ce qui avait été coupé chez mon cousin!

Pour ceux que cela intéresse, vous pouvez voir mon sujet sur ceux qui aiment vivre décalottés (prépuce).

Je cherche le lien !

Le voici :

http://www.zity.biz/index.php?mx=forum;ox=display;topic=18403.0

@clyso: Ah, moi non. Ça frotte de façon désagréable.

Bonjour,

la seule fois où un médecin m'a décalotté, j'étais en 5ème pour la visite médicale. Je me suis présenté en slip dans la salle d'examen et après les contrôles habituels, elle m'a demandé de m'approcher d'elle. Elle m'a ouvert le slip et simplement décalotté à moitié. Puis elle a marqué "organes génitaux, rien à signaler." dans mon carnet de santé. J'en ai longtemps gardé un mauvais souvenir, ayant ressenti ceci comme une intrusion dans ma vie intime. Aujourd'hui, j'aimerais beaucoup qu'elle recommence l'opération...

Pour répondre à Pecan j'ai vécu un peu la même chose ( voir article d'hier sur visite scolaire ).Je devais me décalotter 2 à 3 fois par semaine et faire tremper mon gland dans un bol d' eau chaude savonneuse et le faire voir à ma mère, tout cela dans la cuisine même qu'un jour la voisine est arrivée .Elle a regardé et elle m'a dit : "maintenant tu es un grand garçon ." J 'y pense encore aujourd'hui .

Je me faisais décalotter par le pédiatre à chaque visite jusqu'à mes 15 ans. A la visite médicale scolaire, le docteur ne l'a fait que lorsque j'étais en classe de 6 ème.

Les médecins scolaires et mon médecin traitant m'ont décalotté.

Sinon, ma femme me le fait pendant nos jeux et bien sûr que cela est agréable .

A Pécan.

Enfant, il m'est arrivé la situation inverse à la tienne.

J'ai été circoncis à six ans, à cause d'un léger phimosis, et lorsque j'avais neuf ans, mon petit cousin (cinq ans) a été diagnostiqué de problèmes similaires.

Un jour que la cousine de ma mère était là avec son fils, la conversation des mères a dû aller vers ce sujet, car j'ai été appelé à venir, et ma mère m'a fait montrer à sa cousine ce qu'était la circoncision et surtout le résultat.

Devant sa cousine et mon petit cousin, avec mon pantalon et mon slip baissés, ma mère a expliqué l'opération et bien montré par l'exemple la facilité à dégager la base du gland et laver le zizi.

J'étais très intimidé et gêné.

Mon petit cousin n'a finalement pas été opéré, mais nous nous sommes souvenus longtemps de cette leçon de chose.

Je n'ai pas de souvenirs précis sur ce point concernant les visites médicales du primaire, mais je me souviens que mon sexe a été décalotté chaque année lors de la visite médicale au lycée (6ème à terminale) . Comme je l'ai raconté par ailleurs sur ce site, les six premières années, le médecin était une femme revêche qui nous paraissait très vieille, ce qui n'empêchait pas certains de mes camarades de se vanter d'avoir bandé devant elle quand elle leur a baissé le slip.; En terminale, elle a été remplacée (départ à la retraite?) par une jeune femme sympa et bien foutue devant laquelle je suis persuadé d'avoir été le seul garçon de la classe, du fait de ma nervosité, à ne pas avoir une érection. Pendant qu'elle me décalottait le pénis, je me disais que je devais être ridicule avec mon sexe minuscule devant cette femme superbe.

Des années plus tard, à 27 ans, j'ai eu droit à une visite médicale très complète dans le cadre d'un concours pour entrer dans une banque. Là encore, un médecin très âgé m'a décalotté le sexe, tout en me posant des questions sur ma vie sexuelle.

Je dois avouer que ce dernier cas me fait tout simplement halluciner. Qu'on se permette ce genre de visite très poussée pour un simple examen d'embauche dépasse mon entendement. Qui accepterait ça encore de nos jours ?

Runner up,

Si vous vous reportez à mon message original , qui doit dater du mois de février de cette année,, vous verrez que cette visite médicale n'était qu'un des éléments d'un concours particulièrement vicieux qui comportait notamment un entretien de trois heures avec un psychologue et une caricature de grand oral de concours administratif, où l'on m'a notamment demandé de citer les quarante membres de l'Académie française. De plus, l'ensemble de ces épreuves, y compris la visite médicale, était imposée à tous les candidats admissibles, parmi lesquels un sur deux serait finalement admis. Ayant horreur et peur des visites médicales, j'ai été particulièrement amer d'en avoir passé une pour rien puisque je n'ai pas fait partie des reçus.

Je comprends parfaitement ton amertume.

Mais je me dis qu'il s'agit aussi d'un autre temps et que plus aucune société, institution bancaire ou pas, ne se permettrait un tel système d'embauche aujourd'hui.

Non mais franchement, citer les 40 membres de l'Académie française, on est au delà du ridicule quand même !

(pour ne reprendre que ce point là, le reste, j'ai déjà dit ce que j'en pense)

Runner up,

Les évènements que j'ai relatés se sont passés il y a plus de trente ans, mais j'en garde un très mauvais souvenir et j'ai refusé toute ma vie d'ouvrir un compte dans la banque en question.

Mon amertume quant à cet épisode portait surtout sur cette visite médicale qui m'avait été imposée alors que j'avais la phobie de tout ce qui est médical. Je m'étais senti particulièrement humilié par le fait que le médecin m'ait baissé le slip, décalotté le sexe et palpé longuement les testicules, ce qui ne m'était pas arrivé depuis ma dernière visite médicale au lycée, dix ans plus tôt, tout en me posant des questions sur ma vie sexuelle (Vous avez une petite amie? vous êtes fidèle? quelle est la fréquence de vos rapports?) et ce, devant une infirmière qui ne perdait rien du spectacle; J'en avais pleuré devant ma copine de l'époque, qui avait su me consoler de manière très tendre (çà, c'est plutôt un bon souvenir).

Demander la liste des quarante académiciens et reprocher au candidat de ne pas être capable de la fournir correspond à la logique, certes poussée à l'absurde, des "grands oraux" des concours administratifs où il s'agit de tester non pas tant les connaissances du futur fonctionnaire que ses capacités de réaction et son attitude générale, Cela m'avait moins choqué. D'ailleurs, en cette période actuelle de chômage de masse, il y aurait sans doute beaucoup à dire sur les méthodes de recrutement de certaines DRH;

Oui, enfant, à l'école, chaque année, pendant la visite médicale, après avoir eu le slip baissé, les testicules palpés, inévitablement, on était décalotté.Cela se faisait très vite, un peu brutalement et sans qu'on remette le gland dans son petit étui...

Plus tard, pendant mes masturbations, je me suis souvenu de ces séances, en rêvant de jeux de soumissions, et autant d'intérêt à imaginer les faire que les subir.

Mon expérience dans ce domaine se résume à peu de choses que je vais raconter brièvement dans ce forum. Mon père étant décédé alors que j’avais 9 ans, c’est à ma mère qu’incombait le rôle dévolu à l’époque au père, à savoir la bonne évolution de mes organes intimes.

Après que l’une de ses cousines ainsi que sa sœur lui avaient expliqué que leur fils devait subir une opération chirurgicale à ce niveau, elle a pris peur et m’a emmené deux jours après chez le médecin de famille pour qu’il m’ausculte aussitôt. Il avait une bonne cinquantaine d’années et inspirait la confiance.

Avant de partir, maman voulait toutefois avoir l’avis de ma grand-mère, un peu comme un conseil de famille limité aux femmes. Elle m’avait fait enlever mon slip et m’a assis au bord de la table pour que ma grand-mère ausculte de très près mon zizi et le verdict est tombé aussitôt : il faut l’emmener chez le médecin. Aussitôt dit, aussitôt fait et nous voici dans le cabinet, le médecin debout devant moi. « Montre au médecin pourquoi nous sommes ici » lance aussitôt ma mère et me voilà contraint de me déshabiller devant cet inconnu en blouse blanche. Très pudique à l’époque, bien plus qu’aujourd’hui, je suis terriblement gêné comme je l’étais juste avant à la maison.

Se suivent ensuite tripotages, décalottages et autres points d’appui tout en montrant et commentant à ma mère ce qu’il faisait en temps réel. J’étais confus et mon petit vermisseau ne bougeait pas d’un iota.

Etant criblé de grains de beauté, l’auscultation minutieuse continua de plus belle sur l’ensemble de mon corps et toujours tout nu, n’ayant aucun poil à ces endroits.

Le verdict finit par tomber : tout est normal, le médecin montre juste à ma mère comment elle devrait me décalotter régulièrement pour s’assurer une bonne hygiène. Elle le fit régulièrement à la sortie du bain et j’ai rapidement pris le relais, gêné de me montrer tout nu.

Gêne évident certes, mais elle m’avait bien expliqué que c’était pour mon bien !

Voici le récit de mon premier décalotage en visite médicale. Comme j'avais un pénis assez épais pour mon âge et surtout avec un gros gland le prépuce serrait (sans pour autant être un phimosis) même au repos, et bien entendu très fort en érection. Je n'avais pas appris à décaloter .

A l'école primaire dans les petites communes rurales nous n'avions pas d'examen. Donc lors de mon entrée au collège vers 11/12 ans ceux venant des écoles rurales ont eu une visite médicale très poussée. On entrait à deux ou trois en même temps chez l'infirmière puis un à un chez un jeune docteur. Après les contrôle du poids et autres par l'infirmière on entrait chez le docteur où il nous faisait venir entre ses jambes sur une marche puis après avoir tâté l'abdomen descendait le slip. La marche mettait notre sexe à bonne hauteur. Il commençait par un contrôle des bourses puis un contrôle minutieux du pénis. Je m'en souviens comme si c'était hier: j'étais le premier des trois, il a commencé par décaloter un peu mon long prépuce en tétine, que le petit trou soit visible et alors a introduit un petit tampon.C'était douloureux, mais excitant en même temps. Pourquoi faisait-il cela? Je en sais pas. Mais cela a provoqué un début d'érection. Puis il a pris mon prépuce entre pouce et index et a tiré juste un petit coup sec mais sans chercher a décaloter . J'ai un peu mal et donc eu un réflexe de recul, mais le bout du gland est apparu. A l'époque je ne savais pas aller beaucoup plus loin moi- même avec mon prépuce, n'osant pas forcer. Il a alors pris un petit instrument pointu terminé par une petite boule et l'a glissé sous mon prépuce tout en faisant le tour du gland. C'était agréable sauf quand il a fini le tour devant où il a commencé à tripoter.C'était beaucoup plus douloureux tout en étant très agréable ce qui a augmenté très vite mon érection.En fait il avait touché le frein. Il a commencé par me complimenter, que je fonctionnais très bien, puis il m'a questionné si je décalotait pour me laver. J'ai dit non. Il m'a dit alors qu'il fallait que je revienne pour une petite intervention à cause du fait que je n'avais jamais appris à décaloter,que c' était indispensable. Il m'a aussi demandé si j'avais déjà éjaculé. Je ne savais pas ce qu'il voulait dire . Puis il a rapidement tâté mes fesses puis mon anus en poussant très légèrement son doigt dedans, en fait pour vérifier (je l'ai appris plus tard) si j'avais déjà eu une pénétration. Ce n'était pas le cas bien sûr.

Il a alors remonté mon slip puis a appelé le second. J'atais excité et géné d'être en érection sous mon slip devant l'infirmière qui m'a donné un rendez vous pour revenir. voir le docteur deux semaines plus tard.

Il y a bien sûr un équivalent féminin qu'une amie m'a raconté.

Lors de son premeir examen gynécologique (peu avant ses premières règles) la jeune doctoresse a vérifié aussi son clitoris et a remarqué qu'il ne sortait pas de son chapeau. Elle a alors tenté de repousser le petit chapeau mais ma copine a commencé à gémir à cause d'une douleur pointue. La gynéco lui a alors demandé si elle se masturbait, puis a pris un petit embout qu'elle a connecté à une pompe à vide. Elle a alors passé l'embout souple sur le bout du chapeau , puis d'un coup le bout du clitoris a été aspiré et est sorti en une fois du chapeau. Ma copine a eu une forte douleur suivi d'un plaisir intense. Le docteur a gardé le clitoris en aspiration quelques secondes puis a coupé l'aspiration . Le clitoris s'est tout de suite recouvert. Elle a alors recommencé l'aspiration plusieurs fois. A chaque aspiration ma copine avait une douleur mais moindre, par contre le plaisir lui a provoqué finalement un violent orgasme, qui l'a laissée pantoise et surtout très gênée. Sur ce la gynécologue a juste fait la remarque qu'elle avait la chance d'avoir de bons orgasmes.

Merci pour ces témoignages !

Moi j'ai un prépuce court, donc à la visite médicale, le médecin baissait mon slip et tirait sur le prépuce plusieurs fois.

Cela provoquait par moment une érection gênante. Mais le médecin continuait l'examen des testicules comme si de rien n'était.

C'est vrai aussi que les décalottages étaient douloureux et mal effectués.

Toutes les visites médicales scolaires ont toujours eu lieu slip baissé et triturage du zizi.

Les médecins dès la baisse du slip, recalottaient mon pénis en premier car mon prépuce est assez court et donc même en position repos, il est rétracté. En général les pénis que j'ai vus sont rarement comme le mien car au moins au repos, le gland est recouvert.

Un médecin m'a une fois recalotté le pénis et a maintenu le prépuce avec ses doigts durant environ 10 secondes, avant de le relâcher; mon pénis s'est alors re-décalotté seul.

D'autres médecins recalottaient et décalottaient plusieurs fois de suite mais dès que le pénis s'allonge un peu, le prépuce se roule automatiquement. Et dès que je suis en érection, si on tire dessus il ne recouvre que maximum 2/3 du gland.

J'ajoute que je n'ai jamais subi d'opération sur le prépuce.

Ça devait être plutôt vers 7 ou 8 ans, lors d'une visite médicale. Mais sûrement plus tôt encore chez le pédiatre, plus de souvenirs. Très mauvais souvenir car décalotté violemment, donc douloureux ainsi qu'un écrasement (c'est le terme) des petits testicules, douloureux également pendant un bon bout de temps. Il a remonté le slip. L'examen était fini mais j'ai eu mal pendant quelques heures. Un autre élève s'est même plaint à notre instituteur, qui n'a rien su faire pour lui bien sûr, car il avait mal aussi.

J'ai lu des témoignages d'adolescents sur un autre forum. Ils ont eu des décalottages forcés par des médecins. Il ne s'agissait pas de décalottage sans leur demander leur avis, mais d'un acte médical pour enlever des adhérences entre le prépuce et le gland. Ce serait très douloureux.

Quelqu'un aurait-il eu le même traitement?

Le pédiatre qui a soigné mes enfants les a tous décalottés , cela s'est fait très jeune , une fois qu'ils savaient courir partout , vers deux - trois ans .

A partir de ce jour , tous les jours lorsqu'ils étaient au bain nous leur faisions faire coucou zizi , ils n'ont pas été traumatisés par ce premier décalottage , et du fait de ce petit exercice ils n'ont jamais eu de problème d'hygiène ou lors de leur premières relations sexuelles . C'est aussi naturel et indolore chez eux que de se laver les dents .

A refaire nous referons la même chose pour un garçon .

J'ai sans doute dû être décalotté enfant par le pédiatre mais je n'en ai aucun souvenir. Par contre je l'étais à chaque visite scolaire. La plus ancienne dont j'ai le souvenir remonte à l'année où j'étais en classe de de CM2 dans le milieu des années 70 .Je devais avoir dans les 11 ans. Le médecin n'expliquait rien de ses examens et je me souviens qu'il m'avait retroussé le prépuce sans m'en avertir lorsque j'étais allongé . Etant déjà serré à l'époque il avait dû forcer d'un coup sec du poignet et j'avais eu très mal. J'avais d'ailleurs pleuré. Heureusement ma mère était présente et elle m'avait consolé.

Je ne me souviens pas trop de tout cela. Toutefois, je me souviens que quand j'avais 5 ou 6 ans, j'avais peur de me décalotter dans la douche pour laver mon zizi, car.... j'avais peur qu'en retroussant la peau, le gland ne tombe ! (Apparemment, je n'avais pas conscience qu'il était accroché au reste du zizi...) Pour me faire peur et que je me lave bien, mon père m'avait fait entendre que si je ne me lavais pas bien le zizi, on risquait de me le "couper" (il fallait entendre couper la peau du prépuce, soit circoncire pour raison médicale...).

J'ai l'impression que le décalottage était systématique il y a une trentaine d'années en arrière à chaque visite médicale que ce soit chez le toubib de famille ,aux visites médicales de l'école , etc ...

Pour ma part ,enfant et adolescent, j'ai toujours trouvé cet examen vraiment gênant et désagréable ,d'abord parce qu'il était généralement pratiqué sous le regard des parents qui assistaient à la visite médicale ajouté au fait d'être nu devant eux, se voir baisser le prépuce et dégager le gland .Tout ceci rendait l'examen vraiment humiliant , surtout pour un grand adolescent.

De plus la sensation de serrage lors de la descente du prépuce était désagréable,le pire était quand le toubib recommençait l'opération plusieurs fois.

Phil1980, non il ne l'était pas vu qu'on ne me l'a pratiqué qu'une seule fois (et pas lors d'une visite scolaire mais lors d'une viste privée chez un médecin).

Runner up,

bizarre,pour moi jusqu’à 25 ans environ c'était systématique et ce chez plusieurs médecins (pédiatre, généraliste ,médecin scolaire, armée).Après sauf cas particulier , on ne me l'a plus fait.J'avais aussi remarqué que quand j'étais jeune ,même à la vingtaine, on me faisait souvent mettre tout nu pour m'examiner.(Peut-être mon côté beau gosse...lol).D'ailleurs je me suis toujours demandé si certains médecins ne kifferaient pas les corps de jeunes garçons tout juste sortis de l'adolescence.J'ai eu ce sentiment lors de plusieurs visites à cette époque, mais sans en avoir la certitude. Depuis, lorsque je vais chez un médecin, la plupart du temps je n’enlève même plus mon pantalon.