Commençé à 12-13 ans en chipant une poire qui devait faire 250 ml. Je la remplissais plusieurs fois, donc je devais faire mon litre sans difficulté.
J'ai persévéré à 20 ans quand j'ai acheté mon premier bock de deux litres dans une pharmacie. Les deux litres d'eau savonneuse étaient alors ma norme, suivi de 2 litres d'eau claire pour rincer.
A 30 ans, j'ai découvert que sur Ebay, on pouvait dénicher des merveilles... La collection de bocks émaillés et anciens s'est étoffée, le tout est de les trouver en bon état et sans éclat dans l'émail qui provoque invariablement l'arrivée de la rouille. Jusqu'au jour où j'ai déniché le Saint Graal : un bock émaillé de 4 litres en parfait état (usage vétérinaire je pense). Donc il y a eu l'envie de tester le jouet : avec un peu d'entrainement, en contrôlant bien ma respiration et couché sur le dos, et en placant le bock 50 cm plus haut que mes fesses, je suis arrivé à 4 litres sans douleurs excessives... Et une fois l'Everest conquis, je n'ai plus essayé.
Aujourd'hui, enfin assagi, je me contente de deux litres, parfois 2,5 litres si je suis bien détendu.
Et quand je joue au docteur, en s'y prenant bien, avec patience, caresses et encouragement, toutes mes patientes sont arrivées à 2 litres sans inconfort. En général c'est à partir de 2 litres que ça commence à rouspéter... Et selon que mon humeur est d'être complice ou autoritaire, je joue un peu avec la frontière des deux litres.