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Vues: 529 Created: 2017.02.11 Mis à jour: 2018.11.15

Soizig

Soizig 8

Dans les jours qui suivent, la maison de Malo devient un lupanar, surtout sa chambre quand sa mère est là, Soizig nous y rejoint dès qu'elle est libre en dehors de ses cours, la maman de Malo est assez large d'esprit et l'accepte sans poser de question, bien qu'elle doive se douter que ce n'est pas pour jouer aux cartes qu'elle monte dans la chambre mais elle est très tolérante, elle a connue l'opprobre, l'intolérance et la haine après s'être mariée à un soldat Allemand resté prisonnier en France après la fin de la guerre, une fois libéré, il n'a pas voulu retourner au pays et est resté fonder une famille ici, mes potes étaient donc des fils de "boche" et leur mère une "salope collabo", pour vous dire elle avait connu le pire…

Je suis au chomdu à l'époque et Malo attend son départ à l'armée, nous passons du temps ensemble, surtout chez lui, musique, bd, on glandent en attendant Soizig et quand elle arrive, c'est la fête à ses fesses et à nos queues, Malo me redit que la mienne est un beau morceau, cela me gêne, je me demande s'il n'est pas un peu aussi de "l'autre bord", et Soizig semble l'encourager dans ce sens, un soir, pendant une fellation, elle refait ce qu'elle a tentée avec moi, elle le prend par la nuque et le dirige vers ma verge et là, surprise, il ne refuse pas de faire ce qu'elle demande, il se met à me lécher le sexe avec elle puis quand elle me décalotte, il prend mon gland en bouche et me suce, Soizig a comme un sourire victorieux…

Ma gêne doit se voir, d'ailleurs je commence à débander, Soizig me jette un oreiller au visage en me disant de ne pas regarder si ça me gêne et de me laisser faire, je garde l'oreiller sur les yeux et les caresses recommencent, je ne sais plus qui me touche, me masturbe ou me suce, je pense reconnaître la douceur des caresses de Soizig, je rebande, j'ai honte d'aimer ce que l'on me fait, surtout de savoir que Malo me le fait, mais je prend gout aux doubles caresses, je ne différencie plus les langues des bouches et des doigts, ma verge est totalement enveloppée par un milieux humide et chaud, on m'écarte les cuisses pour me lécher les boules, une bouche me les gobe, un doigt glisse entre mes fesses et me caresse l'anus…

J'hésite un instant à tout arrêter tellement cette attouchement précis me bouleverse, Soizig me l'a déjà fait une ou deux fois, donc je peux imaginer que c'est son doigt qui me touche, mais elle montre par le fait à Malo que j'aime ça, que vat-il penser, qu'il peut aussi me le faire, et si c'était son doigt en ce moment, je suis perturbé par l'envie de me laisser faire et la peur d'y prendre gout, la sensualité et la douceur des caresses que l'on me prodigue ont raison de mes hésitations à me laisser aller vers d'autres plaisirs, je détend ma rondelle puis j'écarte les cuisses, le doigt mouillé entre doucement dans mon anus, je serre de mes deux bras l'oreiller sur mon visage, je ne veux pas qu'on voit que j'aime ce doigt en moi…

L'émotion est trop forte, autant que le plaisir d'être doigté et sucé sans savoir qui le fait, je ne peux retenir la brûlure de l'orgasme et me laisse venir dans la bouche qui me pompe, l'orgasme est fulgurent et me laisse sans vie, quand quelques instants après je reprend connaissance, j'entend les gloussements d'un coït près de moi, je retire l'oreiller qui me cache la scène et vois que ma Soizig se fait manger la motte assise sur le visage de mon pote Malo, qui lui rentre deux doigts au fond de son derrière, elle lui branle la queue pendant qu'il la déguste, puis viennent les grandes eaux qu'elle gicle dans sa bouche, il avale tout le bougre, avec délectation, il lèche les dernières gouttes et l'entrée de l'anus d'où il enlève ses doigts…

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Rabban the Clyst Il ya 6 ans