Vues: 617 Created: 2017.10.21 Mis à jour: 2017.10.21

L'Internat

Chapitre 3

Dans les semaines qui suivirent, Serge et moi étions devenus très confidents sur les sujets de sexe et notre intimité, parfois on se masturbait mutuellement la nuit, d'autres fois il allait aux wc s'adonner à d'autres plaisirs avec les troisièmes année, plusieurs fois il m'avait demandé la fellation que je lui devais mais j'hésitais encore à lui faire ce truc de fille, il ne m'en avait pas fait une autre depuis et continuait à sucer le grand René qui, me racontait-il, espérait de lui qu'il se laisse faire par derrière, Serge était aussi hésitant sur son dépucelage anal que moi sur ma première pipe, pourtant, il me l'avait avoué, il ne détestait pas se faire toucher l'anus pendant les sucettes aux wc, il avait déjà goutté au doigt du grand René…

C'était une nuit où, lui ayant offert une fellation faite par son deuxième année, le grand René lui avait caressé la raie et l'anus pour y entrer un doigt, Serge avait aimé cette caresse et s'était laissé faire si bien que le grand René lui avait enfoncer entièrement son index dans les fesses pour lui masturber la rondelle, il avait jouis plus fort qu'à son habitude et depuis réclamait cet attouchement ou se le faisait tout seul, de son côté, le grand René ayant vu que Serge prenait supérieurement son pied avec un doigt dans le cul, avait ajouté son majeur à l'index pour lui assouplir l'entrée et le conduit, Serge ayant reçu l'élargissement sans protester et en y ayant prit du plaisir, le grand René pensait la voix ouverte pour son engin…

Serge me disait que l'on ressentait du plaisir par l'anus, c'est pour cela qu'il m'avait touché là pendant sa pipe aux vestiaires, pour me faire découvrir la chose, ce soir là, je ne sais pourquoi, j'acceptais d'aller aux wc avec lui pour le sucer, pendant mes caresses buccales, il m'a prit la main pour la diriger entre ses fesses, je n'osais pas, déjà qu'avec ma copine je n'approchais pas de son petit endroit, alors avec un gars, j'avais encore plus de mal, il a mouillé lui-même sa raie et sa rondelle de salive puis m'a instruit sur la façon de caresser l'ouverture, s'est lui-même qui s'est rentré mon index dans l'anus en guidant ma main, une fois dedans, je n'ai eu qu'à faire des vas et viens en le suçant, il m'a prévenu avant de jouir…

Satisfait par ma prestation de débutant, il m'en a fait une de suite après, prétexte à me faire goutter aux caresses anales, avec ses doigts mouillés, il a su me décontracter malgré mes réticences et après de longs effleurements et titillement de mes plis, j'ai sentis que je ne pouvais plus retenir mon resserrement, progressivement, mon sphincter s'ouvrait à son doigt sans je puisse l'en empêcher, la salive de Serge aidant, j'ai sentis la chose me pénétrer sans douleur, un glissement chaud et progressif, sa bouche sur ma que faisait des merveilles et je me suis rendu compte que je poussais pour recevoir son doigt au plus profond, lui aussi s'en est sans doute aperçu et s'est mit à bouger en mon rectum, j'ai aimé la sensation de suite…

Serge m'a pompé et léché en m'enculant de son doigt, le mot était lâché en mon esprit, je me faisais sodomiser par un gars, certes ce n'était que son doigt mais il l'enfonçait dans mon cul, et cela s'appelle bien Enculer, au moment de jouir et d'éjaculer, je ne savais plus ce qui provoquait ma jouissance, les caresses de sa bouche sur ma verge ou le vas et viens de son index dans mes fesses, comme mon corps prenait plaisir aux deux, je laissais monter l'orgasme dans la grande confusion, ayant juste le temps de prévenir Serge que j'allais lâcher la purée, cette fois là, il n'a pas cherché à éviter le jet de semence et m'a gardé en bouche pour tout avaler, cela aussi m'a bouleversé mais aussi écœuré, un gars qui avale du foutre…

Serge n'était pas un mal-élevé ni un frimeur, il avait du tact et une certaine élégance dans ses attitudes et propos si bien qu'après ma première fellation et ce premier touché rectal, nous sommes allés nous pieuter sans en parler, ni le soir, ni les jours suivants, pour ma part, j'avais besoin de diriger mon abandons à de nouvelles pratiques et je penses que Serge aussi connaissait cet état d'esprit et ce passage à vide emplit de questionnement qui suit après de pareils attouchements entre gars, nous sommes restés quelques temps sans nous tripoter, le plaisir est resté solitaire, sous les draps ou sous la douche, avec une différence pour celle-ci, j'accompagnais maintenant ma masturbation d'un doigt légèrement savonneux dans l'anus...

Ce n'est qu'à l'occasion d'un état grippal et bronchiteux, dans lequel je me suis retrouvé pendant l'hiver, que Serge m'a proposé un suppositoire dont il avait eu une boîte par sa mère, m'ayant convaincu de son efficacité à soigner, je suis allé aux douches avec lui et une fois enfermés, il m'a fait pencher en avant et m'a baisé la culotte, l'ayant fait chauffer et légèrement fondre entre ses doigts, il m'a dit de "pousser" et m'a rentré le suppositoire dans l'anus en l'enfonçant de la totalité de son doigt pousseur, malgré mon état souffreteux, j'ai ressentis du plaisir par les fesses une nouvelle fois, en remontant mon slip, Serge a vu que j'avais une demi molle et m'a branlé, je l'ai branlé aussi, on a éjaculés par terre puis on a pissés ensemble..

Une parenthèse d'ailleurs à ce sujet, souvenez-vous, j'avais surpris Serge en train de me regarder la verge pendant ma miction penché au dessus de l'urinoir, je l'avais pensé pervers dégoutant, vicieux, cochon, tel les "soupeurs" que j'avais aperçu dans les vespasiennes étant plus jeune, mais rapidement, j'avais découvert que beaucoup de gars jouaient avec leur pipi, d'abord sous forme de jeux de puissance et longueur de jet, comme les concours de bites, mais s'en s'arrêter à cela, certains se la tenaient mutuellement le soir aux wc, alors que d'autres en essuyaient les petites gouttes pendantes du prépuce avec un mouchoir qu'ils conservaient pour renifler pendant la branlette, certains les essuyaient avec la bouche...