L'Internat
Chapitre 5
Je restais dormir à l'infirmerie pendant un mois, j'avais mes séances de rééducation à l'extérieur et allais aux cours en atelier avec ma béquille, j'avais moins mal mais un autre problème était apparut, j'étais ballonné et j'avais du mal à aller aux wc pour la grosse commission, comme l'infirmière s'inquiétait de mes douleurs à la jambe, je lui répondais que ça allait mieux mais que j'avais mal au ventre depuis quelques temps, elle s'informa de savoir si j'allais normalement aux wc et comme je lui avouais gêné que non, elle insista en me demandant combien de fois par jour ou pas du tout, comme je lui répondais tous les deux jours, elle soupçonna que c'était sans doute un effet dû à la liste de médicaments que je prenais…
Après m'avoir auscultée le ventre jusqu'au pubis pyjamas baissé, elle proposa de me faire un clystère en me demandant si je savais ce que c'était, je n'en savais rien, pour moi ça ressemblait à un truc religieux en latin, style "Les Clystères de la Passion", à ma mine d'ahuri, elle comprenait que le mot ne me disait rien et me précisa que ça s'appelait un "lavement" en Français courant, là je comprenais mieux, je n'étais pas tombé loin des bondieuseries avec le lavement des pieds du gars qui avait mal finit, mais de là à me laver les pieds pour une constipation…?! Et puis d'un seul coup, tout m'est revenu, ma mère, sa poire rouge plantée dans mon derrière quand j'étais gosse…
J'ai rougis en comprenant qu'elle voulait me faire la même chose et sans doute aussi, en anticipant en pensées qu'elle allait de nouveau me tripoter le petit trou comme elle me l'avait fait pour le suppo, j'ai sentis ma verge et mes boules se réveiller, un frémissement indicible m'a parcouru la raie et le service trois pièces, elle me précisa d'une voix douce que ça ne faisait pas mal, au contraire, cela soulageait beaucoup, d'ailleurs me dit-elle en préparent sa poire, certains des élèves venaient la voir pour en recevoir un quand ils avaient des problèmes de transit, certains plus que d'autres précisa-t-elle en ricanant, comme une allusion à des plaisirs particuliers, puis elle me demanda de prendre la même position que pour le suppo…
L'infirmière me baisse le pyjamas avec le slip, quand elle m'écarte les fesses des deux mains, elle précise qu'elle regarde d'abord si tout vat bien de ce côté-là, la situation commence à me faire bander, puis elle me passe un doigt ganté couvert de pommade sur l'anus en me disant qu'elle vat m'ausculter "par là" pour voir si ça fonctionnait bien, le temps qu'elle me dise de pousser, son index entre déjà en moi, doucement mais certainement, j'ai une contraction réflexe, plus par pudeur que par douleur, je ne veux pas qu'elle s'aperçoive que j'aime son attouchement et mon envie d'être doigté par une femme, je sent qu'elle bouge son doigt dedans, alors je pousse encore pour qu'il entre plus loin, elle me dit "- Oui…Comme ça…"
Tout en me fouillant, elle me demande si ça me fait mal, je lui dis que non, je sens qu'elle fait plusieurs vas et viens avec son doigt, je ne sais pas si c'est réellement médical mais ça me fait bander, elle retire son doigt et le remplace par le tube tiède de la poire en me prévenant " - Je commence le lavement…", de suite le liquide chaud m'inonde l'intérieur, des souvenirs me remontent à l'esprit, des sensations oubliées aussi, je ne sais pas quelle quantité elle m'injecte mais je trouve que cela vat trop vite, déjà l'infirmière m'annonce que c'est terminé et retire le tube de mon anus en me disant de serrer les fesses pour garder le liquide le plus longtemps possible, je perd mon érection, mon ventre commence à gargouiller…
Quand je remonte mon pyjamas face à elle, ma verge est encore enflée mais sa raideur à disparue, j'arbore une demi-molle, l'infirmière voit la chose et me toise d'un regard complaisant et moqueur, comprend-elle que j'aime être touché derrière et lavementé comme ceux qui viennent la voir souvent pour recevoir ce plaisant traitement, une première envie de tout lâcher me prend dans les minutes qui suivent, je le lui dis dans un râle crispé, elle me houspille un peu en m'intiment de serrer les fesses, je contracte ma rondelle avec force et l'envie d'évacuer disparait un instant, puis elle revient encore, plus pressante cette fois, l'infirmière reste stoïque devant la porte fermée, j'ai l'angoisse de me vider au sol devant elle sans retenue…
Au bout de trois crampes intestinales et rectumiennes, elle regarde sa montre et me laisse enfin passer, je cours aux wc restituer mon lavement in extrémiste, dans la honte la plus totale bien que le soulagement soit total et l'évacuation plaisante, je me vide pendant de longues minutes attendant les dernières gouttes, une fois essuyé, je repart vers ma chambre et y trouve l'infirmière qui est restée à m'attendre pour me questionner sur mon bien être et, me faisant pencher en avant, inspecter ma propreté avec une compresse médical chaude enduite de savon bactéricide qu'elle me passe délicatement dans la raie en nettoyant mon anus avec insistance, je recommence à bander quand son autre main me saisit les testicules et les masses...
Je ne sais plus quoi penser de la situation quand ses doigts effleurent mon sexe, elle voit bien l'effet que ses attouchements provoquent sur moi et n'en semble pas outrée, au contraire, cela semble l'encourager et elle me décalotte doucement entre pouce et index, le verdict professionnel tombe alors, " - ça sent le pipi par là… il y a du laissé aller…" me dit-elle sur un ton narquois, saisissant une autre compresse imbibée de savon, elle commence un nettoyage délicat de ma verge, ce qui me durcit au plus au point, ses doigts doux entre mes fesses continuent leur action bienfaisante, surtout un qui semble vouloir encore me visiter l'orifice, elle l'enduit de pommade et le présente contre ma petit porte sans rien me dire…
A tous hasard je pousse, cela devient une habitude avec elle, c'est bien cela qu'elle souhaite car de suite elle me l'enfonce dans l'anus en me disant juste, " - Oui… Comme cela…", sa main sur ma queue fait des vas et viens savonneux et voilà que le plaisir me monte des couilles et d'ailleurs, brulant et incontrôlable, j'en ai les jambes qui flagellent, je m'ouvre au doigt qui me fouille comme un serpent gigotant dans mon rectum et je jouis à en mourir tellement que c'est bon ce qu'elle me fait, j'ai comme un sanglot en déversant mon sperme sur la compresse qu'elle maintient devant mon gland, elle me susurre juste, " - Voilà… C'est bien… C'est bien…" puis elle retire son doigt et quitte la chambre en me disant " Bonne Nuit…"
A SUIVRE…
Bonjour,
Hummmmmmm ce chapitre 5…