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Vues: 1747 Created: 2018.04.01 Mis à jour: 2018.04.01

La Punition de Morgann…

La Punition de Morgann…

La Punition de Morgann…

Morgann errait nonchalamment dans la forteresse froide qui était sa demeure, seuls les talons de ses bottes résonnaient aux alentours, elle se sentait abandonnée et lasse d'attendre son époux, Morvarh, ne revenait pas de la guerre qu'il était parti faire aux hommes venus du Sud, et malgré la lourde charge qu'il lui avait laissée, elle trouvait le temps long sans message de lui, elle le savait vivant, un coursier était venu du front, lui porter la nouvelle, sans plus de précisions sur l'issue des batailles, ni s'il était vainqueur, blessé, ou même malade, elle le savait vaillant, courageux, plein de force, et se disait qu'un jour, il franchirait la porte et qu'elle l'accueillerait comme se doit une épouse, de servante à maîtresse et aussi comme amante, tous les rôles à la fois, elle se voyait saillie violemment sur la couche, après tant d'abstinence sur le lieu des combats, il aurait la vigueur d'un animal en rut, l'honorant plusieurs jours jusqu'à leur épuisement, cette pensée la troublait, jusqu'à mouiller ses linges, ainsi, pendant la nuit, quand venaient ses désirs, elle se satisfaisait d'un olisbos d'ivoire, un magnifique objet en forme de phallus, offert par son Seigneur en gage de fidélité, orné de son portrait ciselé finement par un maître asiatique, elle le rentrait en elle après s'y être frottée, imitant de la main les ruades de son homme, jusqu'à s'en faire crier et tremper tout le lit, parfois insatisfaite par la voie naturelle, l'objet glissait plus bas, vers la porte interdite, Morgann aimait aussi être prise comme une bête, alors elle visitait sa sensible corolle, comme le faisait Morvarh pendant la sodomie …

Morgann trouvait d'autres plaisirs au cours de ses journées, allant dans les cuisines voir ce qu'il s'y préparait, surveillant les servantes et les jeunes valets, qui quand on les laissait, sans une autorité, s'enfilaient dans les coins au lieu de travailler… combien de fois passant au détour d'une coursive, elle n'avait pas trouvé de jeunes tourtereaux, imitant la levrette ou jouant du pipeau, alors elle houspillait et grondait sévèrement, mais pour les récidives, c'était le martinet… outil de punition depuis la nuit des temps, redouté par les jeunes mais apprécié parfois dans des jeux plus intimes, Morgann savait s'en servir de ce manche de bois aux lanières de cuir, elle menait les fautifs dans un petit cachot arrangé pour la chose et une fois troussés, les fouettait tour à tour, les gars comme les filles, cinglant les postérieurs d'une dizaine de coups, leur faisant bonne morale et leçon de respect, une fois l'affaire finie, certains partaient vite fait sans demander leur reste mais d'autres restaient près d'elle, lui embrassant les bottes pour demander pardon, elle a vu qu'un valet avait une érection… Troublée par la vision d'une belle queue bandée, elle mouilla de nouveau le linge entre ses cuisses, l'absence de Morvarh et de copulations, l'a rendait vulnérable devant la tentation, la servante complice qu'elle venait de fouetter, lui faisait mille bises, l'emplissant de frissons…

Avisant que la porte était bien verrouillée, elle se laissait aller aux caresses flatteuses, se disant qu'après tout, au fin fond d'un cachot, qui pourrait bien savoir qu'elle cède à ses pulsions… Le valet est debout et lui montre sa verge, elle regarde le dard, hésite à le toucher, la servante perverse, sous sa jupe est passée et sa langue vicieuse sur ses nymphes s'est posée, Morgann se saisit de la bite tendue, ça fait tellement longtemps qu'elle n'en pas vue, elle admire la chose avant de la branler, touchant aussi les bourses, rondes et pleines à craquer, la coquine lécheuse sur sa fente fait merveille, elle écarte les cuisses pour qu'elle vienne au plus près, la langue se faufile, tel un serpent mouillé entre ses chairs ouvertes, Morgann alors se courbe pour sucer le valet, la lécheuse en profite pour lui doigter l'œillet, Morgann est affamée de cette tige de viande, qui a encore sur elle l'odeur de la servante, ils baisaient tous les deux, quand elle les a surpris mais ne sait de quel trou il était ressorti, au diable se dit-elle, j'en ai bien trop envie, elle embouche la chose, la suce et la masturbe, l'homme gémit de plaisir sous les douces caresses…

La servante effrontée visite vulve et anus, elle en est à deux doigts branlant chaque orifice, Morgann n'en peut plus, elle veut être saillie, elle ordonne au valet de lui faire son affaire, la cochonne brouteuse vient la déshabiller, elle ne garde sur elle, que sa guêpière de cuir, un cadeau de Morvarh qu'elle aime tant porter quand ils jouent tous les deux avec le martinet, elle s'agenouille au sol sur la paillasse humide, tendant sa belle croupe à la queue du valet, il l'enfile d'un coup, lui déchirant les chairs, il la sabre entièrement, enfonçant tout son membre, Morgann en pousse un cri, de surprise et de joie, enfin une vraie bite la baise comme il se doit, la servante coquine, devant elle vient s'asseoir, elle écarte les cuisses sur sa motte velue, Morgann comprend de suite, la muette demande et se penche en avant pour lui manger la fente, odorante et trempée, elle sent bon la femelle, Morgann a déjà eu des relations lesbiennes et déguste le jus qui lui souille la bouche, elle descend même plus bas, lui renifler l'anus, il est propre et moelleux, elle y passe la langue, le valet besogneux dans sa chatte fait merveille, il la fourre en puissance, la baise comme une chienne, elle a le cul ouvert par le pouce qu'il lui met, elle exige maintenant de se faire enculer…

- Maîtresse…! dit la servante, - Cela vous n'pouvez faire…! - Un valet ne peut pas, prendre la Reine par derrière… - Votre Noble orifice, au Roi est réservé…!

- Apprend, jeune gouinette, que le mien vaut le tient… - Ce à quoi il nous sert, n'est pas de la Noblesse… Un valet peut aussi, venir jouir en mes fesses…

- J'entends bien Bonne Reine… - Mais s'il l'apprenait, que dirait notre Roi…? - Il nous fouetterait surement, pour manque de respect…!?

- Et à Moi, ma mignonne…? - qu'est-ce que le Roi ferait…? - Apprenant qu'un valet, m'a bien sodomisé…?

- Il vous battrait ma Reine…? - Sans doute, il vous fouetterait…?

- Tu n'as pas tort, Brouteuse, j'aurais un châtiment… - Alors je te l'ordonne, punis-moi donc maintenant… Prend le chat à neuf queues et frappe-moi séant…

- Si ma Reine l'ordonne, je ne peux qu'obéir… - Fouettée pour une faute, c'est être pardonnée… - Une fois punition faite, vous serez enculée…

- Allez brave servante, vingt coups nous suffirons … - Frappe-moi sans retenue… - Elle n'en s'ra que meilleure, cette belle queue dans mon cul…

Le martinet en main, telle une garde chiourme, la servante flagelle, Morgann à tour de bras, attachée par les mains, à un anneau du mur, elle reçoit sans broncher, les lanières de cuir qui cinglent sa peau de blonde, laissant à chaque coups, des zébrures rouges vif, le valet dans un coin, se régal de la scène, branllottant d'une main sa verge gluante de mouille, il attend impatient, le moment savoureux, où il va la rentrer dans l'anus de Morgann, ce n'est pas tous les jours qu'on encule une Reine, un Royal trou de balle réservé au Seigneur, cette occasion pense-t-il, n'aura lieu qu'une fois, il entend sa Maîtresse, qui commence à gémir, elle fait pipi sous elle, et cette ondée intime, augmente son désir, son dard devient plus dur, prêt à être enfilé, la servante frappe encore, les seins, le dos, les fesses, elle varie les plaisirs pour finir par les cuisses, comptant les coups donnés pour arrêter à vingt, Morgann n'est plus que plaies en s'affalant au sol, mais elle reste digne, elle doit tenir son rang, se mettant à quatre pattes, imitant la levrette, elle réclame son dû, en s'écartant les fesses…

La servante bien gênée, d'avoir battue sa Reine, vient se glisser sous elle, pour se faire pardonner, se mettant tête-bêche, pour lui manger la chatte, le valet s'agenouille, derrière les fesses Royales, et présente son gland à l'ouverture rectale, la servante salive sur les plis de l'œillet et l'homme sans ambages, lui rentre son gros objet, Morgann l'accueille en elle par un râle douloureux, cela fait si longtemps qu'elle n'a pas été prise, à part son olisbos, elle n'a pas reçu mieux, son antre en est étroite et la chose monstrueuse, elle lui déchire le cul quand l'homme s'enfonce en elle, avançant doucement jusqu'à toucher la garde, son anus la brûle, il est écartelé, mais l'aimable brouteuse, sait le faire oublier, sa langue habile et tendre sur sa vulve se promène et ses lèvres gourmandes lui tètent le bouton, le valet très dévoué, s'inquiète pour sa Reine, lui demandant s'il peut, maintenant la besogner, Morgann se sentant prête, à se faire ramoner, lui autorise la chose, dont elle a tant rêvé, l'homme s'active en elle, par petites poussées, elle exige "Plus Vite…!", il lui met sa secouée, la gouinette la broute et Morgann comblée, lui descend à la cave pour aussi l'honorer, le parfum de sa foune finit par la griser, elle lape ses mouillements et glisse vers sa grotte, elle y enfonce sa langue, au plus profond qu'elle peut, voyant que sa rosette, s'entrouvre sous la caresse, elle y enfonce un doigt, de suite bien accueilli…

Morgann n'est que plaisir, elle jouit de toutes parts, la servante sous elle, lui masse aussi les seins, elle en pince les pointes en lui léchant la figue, l'homme dans son derrière, lui donne du bonheur, son chibre la remplit, par coups de reins successifs et fait monter l'orgasme, du tréfonds de son être, sentant venir la lave, le valet respectueux, demande à sa Maîtresse, s'il doit se retirer ou peut jouir dans ses fesses, Morgann lui répond, qu'il "doit" juter en elle, elle veut sentir le sperme lui gicler dans le cul, c'est à ce moment là, qu'elle perd presque connaissance, l'orgasme est tellement fort qu'elle en croit défaillir, elle jouis par saccades et gicle encore sous elle, arrosant la servante, qui boit tout ce qu'elle peut, le valet lui aussi, jouit et puis se déverse, elle reçoit sa semence qui se répand en elle, lubrifiant son conduit pour les dernières ruades, la servante fontaine, par trois doigts enculée, jouis sous les coups de langue, de sa Reine adorée elle lui gicle au visage, une marque de respect, pour le plaisir donné, le valet se retire, des fesses de sa Reine, elle s'essuie le fondement d'une poignée de paille, tous le monde se rhabille et sans retourne vaquer, Morgann leurs fait promettre, de garder le secret, si un seul d'eux en parle, alors ce sera le fouet…

Mondoi29 FIN…

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raff Il ya 7 ans  
Latex66 Il ya 7 ans  
mondoi Il ya 7 ans  
tursiop Il ya 7 ans  
mondoi Il ya 7 ans  
Rabban the Clyst Il ya 7 ans  
clyso Il ya 7 ans  
mondoi Il ya 7 ans  
arthur Il ya 7 ans