Fessées éducatives et familiales
3 – Catherine
J’ai terminé mes études secondaires comme pensionnaire dans un établissement mixte. Bien qu’en Terminale nous soyons presque tous majeurs, notre tenue vestimentaire était restée très classique et les filles portaient encore en classe la tenue des jeunes-filles sages de l’époque (cheveux souvent longs réunis en queue de cheval ou retenus par un serre-tête, pull ou gilet bleu sur un chemisier clair, jupe plissée, chaussettes blanches et chaussures plates ou à petits talons).
L’école était équipée d’un laboratoire de langues isolé sous les combles auquel nous avions librement accès en prenant et rapportant la clé à la conciergerie mais pratiquement seuls les internes l’utilisaient le mercredi après-midi. Ce jour là, ma camarade de classe Catherine, m’avait demandé de l’aider à y travailler son anglais. Après une bonne heure de travail studieux, Catherine commença à me taquiner et se vanta d’arriver à me « pousser à bout » (moi qui ne m’énervais jamais !). A force d’insister, elle y parvint et, lorsque que je lui annonçai que j’allais certainement me « venger » si elle continuait, elle s’enfuit en fermant à clé la porte de la pièce derrière elle. Je restais ainsi prisonnier de longues heures enrageant de perdre mon temps et ma colère montait au fur et à mesure que le temps passait !
Enfin, la clé tourna dans la serrure, la porte s’ouvrit et une nouvelle Catherine apparut toute souriante du mauvais tour qu’elle m’avait joué. La lycéenne en uniforme avait fait place à une jeune femme cheveux défaits et vêtue d’un pull rouge, d’un kilt court, de collants bleu marine et d’escarpins. Elle m’annonça qu’elle était sortie en ville mais prise de remords – ce que je ne crus pas un seul instant ! – elle revenait me libérer. Je lui déclarai que malgré ses 19 ans, elle n’était qu’une sale gosse et qu’elle avait bien de la chance d’être une fille car mes principes m’interdisaient de battre une femme ! En souriant et se moquant visiblement de moi, elle rétorqua :
« C’est sûr qu’il ne faut jamais battre une fille même avec une rose, mais on peut toujours la fesser ! Si tu veux te venger, tu n’as qu’à donner une fessée à la sale gamine que je suis ! »
La fessée… la fessée pour Catherine… Je trouvai cela à la fois amusant et un peu excitant, mais je lui avouai n’avoir jamais fessé personne et encore moins une fille de mon âge… Avec un sourire de plus en plus coquin, elle m’avoua avoir envie de tenter l’expérience mais que je devais me dépêcher avant qu’elle ne change d’avis… Après tout pourquoi pas ?… La situation devenait de plus en plus excitante !
Catherine sortit vérifier qu’aucun bruit ne filtrait dans le bâtiment désert avant de revenir, de verrouiller la porte derrière elle et d’éteindre la lumière. Elle installa une chaise dans un coin éloigné des fenêtres, m’invita à m’y asseoir et m’annonça la règle du jeu : ignorer ses cris, suppliques et ruades et arrêter la fessée dès qu’elle me le demanderait.
En s’allongeant à plat ventre en travers de mes cuisses, sa courte jupe remonta si haut que je pouvais apercevoir ses plis fessiers… J’avais son derrière à portée de ma main ! D’une main, je la maintenais à la taille pour qu’elle ne risque pas de glisser et de tomber, mais aussi pour l’empêcher de se relever et de s’échapper, tandis que de l’autre, je me mis à tapoter le fond de son kilt tendu sur son derrière… Mais la tentation étant trop forte, j’y cédai en accélérant la cadence et la fermeté des claquées. Catherine qui n’avait pas réagi jusque là m’apostropha :
« Dis-moi Sylvain, tu manques vraiment d’audace ! Ce n’est pas une fessée ça : je ne sens rien avec mon kilt ! Tu ne sais donc pas qu’une bonne fessée se donne aux filles jupe retroussée ? Qu’est-ce que tu attends ? »
L’occasion était trop belle et je me lançais sans me le faire répéter ! Ma main glissa sur ses jambes gainées de nylon et retroussa amplement sa courte jupe jusqu’à la taille, avant de la rabattre au creux de ses reins. Je devinai alors une ravissante petite culotte blanche sous son collant opaque puis, le rouge aux joues, je me mis à frôler ses fesses que je sentais chaudes, fermes et tendues mais Catherine me fit retomber sur terre :
« Tu ne devais pas me donner une bonne fessée ? Qu’est-ce que tu attends ? Vas-y ! Claque-moi ferme et applique-toi ! »
Je n’avais d’autre choix que de m’exécuter. Je levai bien haut mon bras et le bruit que fit la première claque tombant sur son derrière tendu me surprit et je ne dus pas être le seul si j’en crois le « aïe ! » que poussa Catherine. Puis je me pris au jeu et, la tenant fermement par la taille, je lui claquai alternativement une fesse puis l’autre. Elle répondait à chaque gifle par un petit cri plaintif en serrait les fesses tout en les tendant vers moi.
Ma main s’abattait sur chacune de ses rondeurs avec entrain et fermeté et bientôt elles, si fermes au début, devinrent plus molles et ne se contractaient plus après chaque claquée tandis que, malgré l’opacité de ses dessous, je les voyais se teinter de rouge. Avec le rythme soutenu et la sévérité de la fessée, Catherine gigotait de plus en plus tout en battant énergiquement l’air de ses jambes, elle en perdit même une chaussure !
Cela faisait de longues minutes que je la fessais lorsqu’elle me demanda d’arrêter. Respectant la règle établie au départ, je cessai immédiatement mais non sans regret ! Toujours allongée sur mes genoux, Catherine, se massait à deux mains le derrière tout en commentant sa fessée affirmant qu’elle n’aurait jamais pensé qu’un garçon « aussi gentil et aussi poupon » que moi puisse avoir une telle poigne. Moi, je profitais du spectacle qu’elle m’offrait et j’admirais mon œuvre en constatant que ses fesses semblaient bien rouges à travers le bleu marine du collant et le blanc de la culotte !
Catherine se releva en rechaussant son escarpin pour s’asseoir sur mes genoux. Elle posa sa tête contre mon épaule comme pour se faire pardonner et me chuchota à l’oreille que sa mère lui donnait encore la fessée malgré ses 19 ans lorsqu’elle rapportait un mauvais bulletin de notes et qu’elle ne se contentait pas de retrousser sa jupe mais que le plus souvent elle lui baissait aussi la culotte…
Je serais bien resté ainsi des heures mais l’heure de dîner avait sonné. Nous nous dirigeâmes vers le réfectoire où nous nous sommes installés l’un en face de l’autre et pendant tout le repas, je voyais Catherine bouger sur son tabouret en grimaçant !