Fessées éducatives et familiales
7 – Odile
Après que Sylvie m’eut présenté sa sœur aînée Odile, j’ai pensé très vite qu’elle était une « vraie peste » qui se plaignait sans arrêt, critiquait tout et tout le monde et lançait des piques à tout vent tant et si bien, qu’exaspérée, Sylvie me confia un jour :
« Tout ce qu’elle mérite, c’est une bonne fessée ! Nos parents ont été trop bons avec elle et lui ont toujours laissé faire tout ce qu’elle voulait. Heureusement pour elle qu’elle n’est pas mariée avec toi ! Quand je pense à toutes les fessées que tu me donnes, à moi qui suis bien plus facile qu’elle ! »
Des mois et des années passèrent et un jour où Sylvie et ses parents étaient partis faire des courses en ville me laissant seul avec ma belle-sœur, ce qui devait arriver… arriva ! Après avoir affûté sa langue de vipère, Odile repartit dans ses critiques tandis que je bouillais en entendant ses médisances. Au bout de quelques minutes, n’y tenant plus, je vidai mon sac :
« Tu as été une enfant trop gâtée et tu n’as pas reçu ton compte de fessées lorsque tu étais petite. Je suis d’accord avec Sylvie quand elle dit qu’il n’est pas trop tard pour rattraper le temps perdu et qu’une bonne fessée de temps en temps te ferait le plus grand bien ! »
Ce discours ne manqua pas de la faire rire tandis que j’ajoutai en plaisantant :
« Tu as de la chance qu’on n’est pas ensemble car Sylvie a déjà payé ses caprices et ses colères de quelques bonnes fessées sur mes genoux. Elle n’en est pas morte et les fessées l’ont assagie ! »
Debout bras croisés et me fixant droit dans les yeux, Odile me lança :
« Eh bien, j’aimerais bien voir ça ! »
C’en était trop, il y avait trop longtemps que je supportais ses sarcasmes ! Tant pis pour elle ! Et puis fière et orgueilleuse comme je la connaissais, j’étais sûr que cette mégère n’irait pas se vanter de ce qui allait lui arriver ! Je me dirigeai vers elle, l’enserrai par la taille et l’entraînai au salon malgré sa résistance. Là, je m’installai sur le canapé et renversai ma chère belle sœur sur mes genoux en lui annonçant :
« La première fois que j’ai donné une fessée à Sylvie, je me suis contenté de retrousser sa jupe pour que ça claque mieux ! Mais pour toi ma chérie, je vais faire mieux ! Je vais aussi baisser ton collant et ta culotte pour te montrer qu’à 30 ans passés, il n’est pas trop tard pour être reprise en main et recevoir une bonne fessée déculottée ! »
Joignant le geste à la parole, d’une main je maintenais fermement sur mes genoux une furie qui se débattait, et, de l’autre, je retroussai sa jupe moulante dont la doublure se déchira et tirai collant et culotte jusqu’à ses genoux. Sans attendre et sourd à ses protestations auxquelles firent bientôt place des cris de douleur et de rage entrecoupés de sanglots, je faisais crépiter sur le derrière laiteux d’Odile plusieurs dizaines de claques bien assénées, claquantes et cuisantes. La belle tenta bien de protéger ses rondeurs qui rosissaient sous ma main vengeresse transformée en battoir, mais je l’en empêchais en saisissant ses poignets et les maintenant fermement au creux de ses reins.
Quand son derrière fut devenu écarlate, estimant la fessée suffisante, je poussai Odile en larmes hors de mes genoux. Elle se retrouva sur le tapis, les jambes entravées dans son collant et la jupe au dessus de la taille. Les pleurs ayant fait couler son maquillage, je lui conseillai de sécher ses larmes, de remettre de l’ordre dans sa tenue et de se refaire une beauté, avant que nous allions rejoindre la famille.
Sans prendre soin de rabattre sa jupe et de remonter ses dessous, Odile se précipita à la salle de bains exposant dans toute leur nudité, ses fesses rouges comme une tomate. Elle réapparut quelques minutes plus tard, les yeux encore rouges mais remaquillée et vêtue d’une autre jupe.
Dans la voiture, je la mettais en garde :
« Odile, j’espère que cette fessée te servira de leçon ! Je te préviens gentiment que si tu continues à tout critiquer, la prochaine fois je te fesse en public comme ta sœur l’a fait à ta cousine Claudine il y a quelques années. J’aiderais aussi Sylvie qui en meurt d’envie, à te donner une bonne fessée tandis que moi, je regarderais tes fesses rosir et rougir sous sa main ! »
Depuis Odile s’est mariée et, si j’en crois Sylvie, son mari a su la prendre en main… au sens propre comme au figuré !