Fessées éducatives et familiales
8 – Leçon de gestion
Lorsque le banquier me téléphona un vendredi matin au bureau, j’eus du mal à croire à ce qu’il me disait : mon épouse avait fait un gros chèque sans provisions en arbitrant nos comptes d’épargne. Heureusement, il avait bien réagi et m’avait téléphoné avant d’effectuer les mouvements et tout fut réglé en quelques minutes.
Mais, lorsque le soir, je demandai des explications à Sylvie sur ses manipulations, au lieu de reconnaître son erreur, elle me reprocha de ne pas m’intéresser aux finances du ménage et de lui laisser tout faire seule… et conclut en disant que si je m’étais impliqué d’avantage, cela ne serait pas arrivé. Après avoir écouté ses reproches, je lui annonçai qu’étant mariés sous le régime de la séparation de biens, chacun d’entre nous reprendrait la gestion de ses finances.
Mais auparavant, j’entendais régler mes comptes avec elle en lui administrant une bonne fessée. Je lui laissai le choix du jour et de l’heure mais je la prévenais qu’elle devrait la recevoir avant la fin du week-end et plus elle attendrait, plus la fessée serait cuisante !
Sylvie choisit raisonnablement de recevoir immédiatement sa fessée au salon où je la suivis. Elle baissa les volets et tira les doubles rideaux craignant d’être vue sans ces deux remparts, tandis que je prenais place sur une chaise que j’avais apportée de la cuisine en lui demandant de venir s’allonger sur mes genoux ! Sylvie s’approcha en retroussant sa robe au-dessus de ses reins. Elle portait ce soir là, des bas au lieu de son habituel collant et à mon plus grand étonnement, elle baissa de sa propre initiative sa culotte à mi-cuisses avant de s’allonger sur mes genoux, tête en bas, fesses en l’air… et à l’air. Je ne pus m’empêcher d’exprimer non étonnement :
« Qu’est-ce qui te fait penser que je voulais te fesser culotte baissée ? »
Et bien sûr, la belle ingénue essaya de se redresser pour remonter sa culotte, mais il était trop tard car je la maintenais fermement. Elle le comprit et contracta ses fesses bien rondes d’un blanc laiteux avant que mes gifles ne les claquent vigoureusement. Je distribuai rapidement et généreusement une bonne douzaine de claques sur chacune d’elles les faisant passer du blanc au rose puis au rouge vif. Je l’invitai ensuite à se relever et à remettre de l’ordre dans sa tenue avant d’aller au cinéma comme nous l’avions prévu. Sylvie s’isola dans la salle de bains quelques minutes et, quand elle revint, elle retroussa sa robe et me tourna le dos pour m’exhiber ses fesses écarlates en disant :
« Tiens ! Regarde ce que tu m’as fait ! Je me vengerai ! »
Sa vengeance consista en une grève des câlins…
Quelques années plus tard, Sylvie effectua de nouveaux arbitrages sur nos comptes. Lorsque nous en parlâmes le soir, elle me confia, avec un sourire malicieux, qu’en signant les ordres, elle avait repensé à la fessée reçue quelques années plus tôt… et aux picotements de ses fesses !
La leçon lui a été profitable et les finances du ménage sont aujourd’hui, parfaitement gérées !