Charlène O
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Vues: 780 Created: 2009.09.14 Mis à jour: 2009.09.14

La Directrice de L'Institut Ospif

Episode 08: "Faisons connaissance"

Hélène était en train de lire un roman d'amour, bien au chaud dans son lit, quand la Directrice, sans même frapper à la porte, entra en coup de vent dans sa chambre.

"Bonsoir Hélène" dit-elle en prenant l'unique chaise de la chambre. Elles'assit à côté du lit.

Hélène était une nouvelle élève, et Elise, sa 'marraine' - chaque nouvelle élève était prise en charge par une aînée - l'avait prévenue de la visite probable de la Directrice. Elle avait ajouté:

"C'est un mauvais moment à passer, mais quoi, si tu ne lui déplais pas trop, ce ne sera pas trop grave. Surtout ne lui résistes pas, ne lui dis jamais 'non'! Alors elle va te réciter le sacro-saint règlement de l'Institut Ospif,

elle va te bousculer un peu, peut-être même te tripoter, et puis elle te fichera la paix..."

Et voilà que la Directrice se trouvait à côté de son lit, penchée sur elle comme un garde-malade. Son chignon lui donnait un air sévère. Avec une grimace qui devait passer pour un sourire elle prit le livre que Hélène était en train de lire et regarda la couverture. "Rempart des béguines" par Françoise Mallet-Joris. Son regard en dit long et Hélène sut que cet entretien n'allait

pas être si facile que Elise avait prédit...

"Bon, je vois. Mademoiselle Hélène, vous n'avez pas la permission de lire ce genre de roman. Cela se trouve en toutes lettres dans le règlement que vous avez signé, ainsi que vos parents, à l'inscription."

Elle soupira et continua:

"Et si vous n'avez pas la permission, cela veut dire que cette littérature vous est interdite." C'était plus une constatation qu'une question.

"De qui avez vous eu ce livre?"

Hélène ne sut pas quoi répondre. Elle avait pris le livre dans la bibliothèque de ses parents, espérant profiter du temps libre au pensionnat pour le lire, loin des yeux indiscrets.

"Rabattez vos couvertures." L'ordre était bref.

Hélène s'exécuta. Elle ferma les yeux, ne sachant pas ce qu'elle devait penser. La Directrice avait une fameuse réputation et les histoires qui circulaient dans l'école donnaient la chair de poule...

Sans hésiter la Directrice lui releva la robe de nuit jusqu'au nombril, exposant une sage culotte de coton blanc. Le corps de l'adolescente était splendide, mais il lui manquait encore quelques rondeurs.

Hélène s'efforça de ne penser qu'à ce que Elise lui avait dit "Ne pas la contredire, ne pas s'opposer..."

Mais quand la femme crocha dans l'élastique du slip et l'abaissa sur ses cuisses, découvrant la toison sombre de son sexe, Hélène eut quand même un sursaut qu'elle eut du mal à dissimuler. Heureusement la Directrice fit comme si elle n'avait rien remarqué. Hélène sentit son regard glisser sur son corps, s'attarder sur son bas-ventre, là où le soleil des grandes vacances avait dessiné le contour minuscule du bikini...

"Je vous conseille de ne pas bouger."

Même si la Directrice n'avait rien dit, Hélène n'aurait pas bougé. Elle était terrifiée. C'était comme si toute sa volonté avait glissé d'elle avec sa robe de nuit.

Sous le regard perçant de la femme, Hélène se sentit rougir. Elle avait la chair de poule et les pointes de ses seins étaient douloureux à force d'être durs.

La Directrice regarda Hélène droit dans les yeux et ses mains glissèrent vers les mamelons roses. Elle les prit entre ses doigts, les fit rouler doucement.

Ils réagirent immédiatement et Hélène sentit qu'ils durcissaient encore. Elle était horriblement gênée, en attrapait chaud et froid. L'agacement de ses seins se répercutaient dans son bas-ventre comme s'il y avait des fils électriques qui reliaient ses seins à son sexe.

Mais la Directrice serrait les pointes de plus en plus fort. D'une sensation plutôt agréable, la manipulation de ses seins devenait franchement douloureuse. Les pointes étaient sensibles de nature et n'avaient jamais subi de traitement pareil.

Hélène se mit à haleter. Ses yeux se remplirent de larmes. La Directrice pinçait, tirait, roulait les pointes, grosses comme des crayons, entre ses doigts. Sans brutalité. Sans pitié non plus, mais avec efficacité. Sans broncher: elle guettait les réactions d'Hélène comme un entomologiste regarderait l'accouplement d'un scarabée rare.

Hélène ne put éviter un gémissement. Elle transpirait bien qu'il faisait frais dans la petite chambre. La Directrice tourna lentement le bout des seins.

Toujours avec la même efficacité perverse. Hélène couina, la vue troublée par les larmes.

Ses pieds s'agitaient, sa tête roula de gauche à droite.

Hélène gémit sans discontinuer, sans même faire d'effort pour se retenir. Elle ne savait plus penser, la douleur lui coupa le souffle.

Puis tout aussi soudainement que cela avait commencé, la Directrice lâcha les pointes. La douleur diminuait lentement...

"Tournez-vous sur le ventre."

Hélène n'hésita pas et, contente de pouvoir cacher son sexe, se retourna, les fesses en l'air.

"Je vais prendre votre température, puis je me vois dans l'obligation de vous faire subir une légère punition, tant pour vos lectures, que à titre préventif, pour vous faire sentir ce à quoi vous vous exposez..."

La Directrice enfila des gants de chirurgien, puis rabaissa encore un peu plus la culotte de l'adolescente. L'instant suivant Hélène sentit que la femme lui écartait les fesses. Morte de honte, elle enfouit sa tête dans l'oreiller.

Sans un geste superflu la Directrice examina l'entrejambe de son élève. Le renflement circulaire de l'anus se contractait dès que ses doigts le tâtèrent.

La vulve était d'un rose pâle et l'ouverture du sexe laissait suinter un liquide transparent. Elle écarta les grandes lèvres pour examiner la corolle formée par les petites lèvres, puis tira dessus pour exposer le clitoris. Le prépuce glissa et le petit bouton nacré apparut, légèrement érigé.

Comme l'examen gynécologique approfondi étant prévu pour la semaine prochaine, ce premier contrôle était suffisant.

La Directrice enduit ses doigts de vaseline. Elle rapprocha sa chaise et, appuyant son bras gauche sur le dos de la jeune fille, lui écarta à nouveau les fesses. Hélène se laissait faire, incapable de bouger. Elle se rendit compte que la Directrice appliquait une crème épaisse sur le pourtour de son anus. Puis elle sentit une légère douleur, un peu comme une brûlure, et un

doigt glissa dans son rectum vierge. Elle gémit à nouveau, dans son oreiller.

Cette fois-ci ce n'était pas la douleur qui la faisait gémir, mais cette sensation horriblement humiliante de ces doigts qui fouillaient son intimité:

la Directrice avait recourbé son doigt et palpait la parois ultrasensible du rectum. Avec horreur Hélène se rendit compte que cet attouchement contre nature ne lui était pas désagréable, que ce lent va-et-vient dans son derrière l'excitait sexuellement.

La jeune fille respirait à peine, morte de peur pour ce qui allait suivre. La Directrice, s'aidant de sa main gauche, réussit à insérer un deuxième doigt dans le conduit étroit. Elle les écarta pour ouvrir l'ouverture, ce qui provoqua une nouvelle série de gémissements.

Quand elle estima que le sphincter était bien lubrifié, elle retira ses doigts, laissant à Hélène la désagréable sensation que son anus restait entrouvert. Avant que le muscle ne se soit rétracté, la femme y inséra son thermomètre rectal, qui n'était en fait rien d'autre qu'un thermomètre de vétérinaire. Elle possédait bien entendu un fin thermomètre digital à lecture quasi instantanée, mais dans un cas pareil elle préférait de loin le gros tube de verre qu'elle pouvait enfoncer jusqu'au fond du rectum.

Hélène poussa un petit cri, vite étouffé par l'oreiller, quand le bout du thermomètre vint heurter le fond du rectum, là ou commence le virage du sigmoïde. L'intestin est très peu sensible, excepté à l'étirement, et c'est ce qu'elle ressentait maintenant. La Directrice n'insistait pas et laissa le thermomètre en place. Il dépassait des fesses de l'adolescente comme une verge grotesque qu'on aurait fiché dans son derrière.

Entre-temps elle inspecta le dos et l'arrière des cuisses de la jeune fille.

Après un temps qui parut très long la Directrice retira le thermomètre. Hélène se contracta involontairement: elle avait l'affreuse impression de ne plus contrôler ses muscles intimes.

"36,6. Un peu bas pour le soir, mais je crois que ça va monter bientôt..."

"Mettez les mains dans la nuque. Je vais vous administrer quelques coups de cravache, en signe de bienvenue. Comme ça vous saurez ce qui vous attends si vous ne respectez pas le règlement."

La Directrice s'était levée et avait fait glisser la culotte le long des jambes d'Hélène pour la lui enlever. Puis elle lui écarta les jambes. Hélène était comme paralysée. Elle se rendit vaguement compte que son sexe était horriblement exposé entre ses cuisses ouvertes. Elle entendit un sifflement, suivi de près d'un claquement sec. Puis la douleur du coup de cravache

l'envahit et elle hurla. La Directrice lui poussa la tête dans l'oreiller:

"Si vous faites du bruit, je vous étouffe, et je continue jusqu'à ce que votre postérieur soit en sang. Compris?"

Hélène fit oui de la tête. Elle essayait de reprendre sa respiration: la douleur lui avait coupé le souffle.

Avant qu'elle ait pu récupérer, la cravache s'abattit une deuxième fois en travers de ses fesses. Puis une troisième fois. La morsure de la cravache dessinait chaque fois une nouvelle ligne rouge. La douleur irradiait dans son bassin et se transformait en chaleur. Hélène ne savait plus ce qui était le plus horrible: la douleur cuisante, l'humiliation de la fessée, ou son sexe

béant exposé entre ses cuisses écartées. Curieusement, la fessée augmentait son excitation d'un cran: elle se sentait ulnérable, exposée, et surtout, incapable de s'opposer à la volonté de cette femme à la poigne de fer. Son corps réagit à la chaleur de son derrière martyrisé et elle sentit son sexe gonfler, ce qui l'humiliait encore plus.

La Directrice frappa encore plusieurs fois, dessinant un joli motif géométrique sur les fesses rebondies. Puis elle dit sur un ton sans réplique:

"Bien. Retournez-vous sur le dos."

Hébétée, Hélène se retourna. La fraîcheur relative des draps lui fit du bien à ses fesses torturées.

"Relevez les genoux. Vous êtes droitière? Posez votre main droite sur votre sexe."

Hélène ne comprit pas où la Directrice voulait en venir. Sa main se posa sur sa vulve et presque sans qu'elle s'en rende compte son médius chercha le renflement du clitoris.

La voix de la Directrice la sortit de sa torpeur:

"Maintenant montrez-moi comment vous vous caressez."

L'adolescente se réalisa enfin ce que la Directrice voulait, ouvrit les yeux avec horreur et secoua la tête. Se caresser devant cette femme? Jamais! Tout devenait clair à Hélène maintenant... La torture de ses seins, les coups de cravache sur ses fesses... tout cela n'avait qu'un but: briser sa résistance, la repousser dans ses derniers retranchements, pour en arriver à ceci... La Directrice voulait voir comment la jeune fille se caresse, comment elle jouit, c'est à dire, comment elle est réellement... Car c'est bien connu: c'est dans l'abandon et dans l'ivressede la jouissance qu'on révèle sa personnalité

réelle...

"Je peux recommencer la séance de la cravache si vous y tenez..."

Avant même que Hélène ait pu répondre, la Directrice abattit la cravache de toutes ses forces sur le bas-ventre de l'adolescente, là où le renflement du sexe faisait une bosse. Hélène hurla de douleur, choquée. Une longue ligne rouge se dessina de l'une hanche à l'autre, interrompue par la touffe de poils pubiens.

"De toute façon, c'est la première chose que vous auriez fait dès que j'aurais quitté cette pièce... Alors, allez-y... Ce n'est que le début qui est difficile..."

Morte de honte Hélène glissa une main entre ses cuisses. Elle ferma les yeux, la vue barbouillée par les larmes. A son étonnement elle trouva son sexe trempé et très vite ses doigts se mirent en marche.

La Directrice regarda avidement le jeu des doigts entre les lèvres gonflées.

Elle bougea sa chaise, se pencha entre les cuisses de l'adolescente. Son médius chercha l'anus encore lubrifié et s'y enfonça d'un coup. Hélène salua cette pénétration dans son intimité par un nouveau gémissement, de plaisir celui-ci. Elle se mit à haleter, la bouche mi-close. Ses doigts dansaient un ballet frénétique. Toute sa réserve avait disparu: les jambes largement

ouvertes, elle montra sans plus aucune gêne son sexe ruisselant.

La Directrice mit sa main gauche sur le visage de la jeune fille et frotta légèrement les lèvres de son doigt ganté. Sans hésiter Hélène prit le doigt en bouche et se mit à le sucer comme un nourrisson tête le mamelon de sa mère.

Sa respiration s'accéléra et devint saccadée. Elle gémissait maintenant sans discontinuer.

La Directrice retira à moitié son médius du sphincter anal, et revint à la charge avec deux doigts. Hélène se mit à avancer son bassin à petits coups pour mieux s'empaler sur les doigts.

"Encore..." parvint elle à murmurer "...encore un..."

La Directrice ajouta un troisième doigt et glissa son pouce dans le vagin inondé. Elle se mit à malaxer les parois ultrasensibles du vagin et du rectum,

pinçant le périnée entre ses doigts musclés. Le résultat ne se fit pas attendre: Hélène partit comme une flèche. Elle bascula son bassin d'une façon absolument obscène, s'arrêta brutalement de respirer, puis serra de toutes ses forces ses cuisses autour de la main de la Directrice et se mit à trembler de la tête aux pieds, en proie à un des plus beaux orgasmes de sa jeune vie...

Après un temps qui semblait interminable, le corps de Hélène se détendit. Elle retomba comme une poupée désarticulée.

Avec une douceur qu'on ne lui soupçonnait pas, la Directrice retira ses doigts du rectum de Hélène. L'adolescente suçait toujours sur le doigt ganté. La femme l'observa encore quelques instants, puis retira son doigt. Rapidement elle borda la jeune fille, éteignit la lumière et quitta la chambre sans faire de bruit.