La Directrice de L'Institut Ospif
Episode 12: "Formules de maths"
Madame Mado Lavergne assistait son collègue prof de mathématiques lors de l'examen; elle surveillait les élèves.
Soudain elle surprit Clémentine à relever subrepticement le bord de sa jupe à plis, puis à regarder le dessus de ses cuisses. Elle la tint à l'oeil. Le manège se renouvela quelques fois. Vers la fin de l'examen, quand la feuille de Clémentine était bien remplie, Madame Lavergne la fit se lever et lui donna l'ordre de l'accompagner hors de la classe.
"Je crois que vous devez aller aux toilettes, n'est-ce pas?"
Clémentine rougit fortement et se leva.
Penaude elle suit la femme vers les toilettes des professeurs. Mais au lieu de rester devant la porte de la toilette, Madame Lavergne entra avec Clémentine dans la petite pièce!
La jeune fille ne comprenait pas. Mais quand Madame Lavergne lui dit de remonter sa jupe elle comprit très vite.
A regret, les joues rouges, elle souleva sa jupe: joliment alignées, il y avait des dizaines de formules, écrites en encre noir sur le dessus des cuisses.
"Asseyez-vous." Madame Lavergne avait fermé la porte. Elles étaient seules et il y avait peu de risque qu'elles soient dérangées.
Clémentine était blême de peur. Tricher à l'examen pouvait signifier son renvoi de l'Institut Ospif.
Mais Madame Mado Lavergne avait autre chose en tête... Clémentine était une petite blonde appétissante et Mado décida de lui donner une bonne leçon - et une deuxième chance au lieu de l'envoyer chez la Directrice, ce qui signifierait certainement son renvoi...
La jupe toujours retenue autour de hanches, Clémentine s'assit sur la lunette de la cuvette. Madame Lavergne s'accroupit à côté d'elle et, sans hésiter, mit sa main sur la cuisse charnue. Doucement elle caressa les formules. Puis sa main glissa vers l'intérieur des cuisses de la jeune fille, là où la peau est très douce. Clémentine était horriblement gênée. Elle rougit fortement et regarda la main de la femme sur ces cuisses recouvertes de formules de maths.
Les ongles de la femme étaient soignés, limés en pointe et étaient recouverts d'un vernis argenté. Lentement la main se déplaça et s'approcha de la culotte.
Clémentine gémit de honte.
"Non, Madame, non... S'il vous plaît..." plaida-t-elle.
"Quel effet cela vous fait-il de tricher?"
Clémentine sursauta quand la main se plaqua avec une brusquerie calculée sur l'entrejambe.
"Alors, ma petite salope... On va faire votre fête..."
"Madame... s'il vous plaît... ne... faites pas ça...Oh..."
La fixant droit dans les yeux, Madame Lavergne se mit à lui masser le sexe à travers le coton de la culotte blanche. La main bougea lentement en rond, puis un doigt suivit la ligne qui sépare les lèvres en un allez et retour lascif, s'arrêtant à l'endroit où les lèvres se rejoignent. Là, le doigt se mit à vibrer, en augmentant la pression, puis relâchant, puis augmentant à nouveau...
Clémentine se sentait très mal à l'aise, cette femme avait quelque chose de pervers dans le regard. Un instant même elle se demanda si elle ne ferait pas mieux de se sauver et d'aller se réfugier chez la Directrice, quitte à être renvoyée de l'Institut...
Mais Mado Lavergne ne lui laissa pas l'occasion.
"Si vous ne vous laissez pas faire, je pourrais vous faire très, très mal..." En disant cela elle pinça méchamment dans le gras des lèvres. Clémentine gémit.
"Madame... je regrette ce que j'ai fait, mais s'il vous plaît, laissez-moi, je vous en supplie..." Elle était morte de honte. La main continuait a malaxer ses chairs intimes. Clémentine brûlait de repousser cette main qui la violait, mais n'osait pas, terrorisée.
Madame Lavergne se pencha, la bouche près de l'oreille de Clémentine.
"Ca fait longtemps que j'avais envie de m'occuper d'une petite salope comme vous... Croyez-vous que je ne vous connais pas? Je vous ai observée..."
La main gauche toujours sur le renflement du sexe, par dessus la culotte,
Madame Lavergne mit sa main droite sur les reins de Clémentine, puis la fit glisser dans la culotte, le bout des doigts suivant la raie des fesses.
"A la façon où vous bougez votre petit derrière on voit très bien que vous êtes une vraie salope... Avec combien de filles de cette école avez-vous déjà fait l'amour, dites? Combien de garçons avez-vous laissé chipoter sous votre jupe trop courte?"
"Arrêtez s'il vous plaît..." Clémentine sanglotait. La main qui était entrée dans sa culotte par derrière se frayait un passage vers son intimité. La jeune fille était troublée et en même temps avait envie de vomir. Cette femme était en train de la violer, là, dans les toilettes de l'Institut, d'une façon subtile mais non moins efficace. Elle haletait, de honte, de dégoût, de peur...
Madame Lavergne tapota légèrement l'entrejambe où elle sentait le renflement de la vulve. Elle avait expressément évité de glisser sa main gauche dans la culotte et pinça sournoisement à travers le coton. Du bout du doigt elle poussa le tissu le plus loin qu'elle put dans l'ouverture du sexe. A cause de son massage la culotte était chaude et humide. Personne, aucun corps ne
résiste à une main experte. Et Madame Lavergne était experte!
De son coude gauche elle écarta encore plus les genoux de Clémentine tandis que sa main droite avait atteint la protubérance de l'anus. Délicatement elle en suivit le pourtour du bout du doigt. Clémentine pleurait sans se retenir, horriblement gênée.
"Laissez-moi, s'il vous plaît... C'est mal ce que vous faites..." elle parvint à balbutier entre deux sanglots. "Vous n'avez pas le droit..."
"Ah bon, je n'ai pas le droit? C'est ce que vous croyez! Vous vous trompez Mademoiselle. Dans le périmètre de l'Institut j'ai le droit de vous corriger comme bon me semble... Je vais vous faire passer un quart d'heure que vous n'oublierez pas de si tôt...".
La femme se rapprocha à nouveau de l'oreille de Clémentine. Elle darda la pointe de sa langue dans l'oreille de la jeune fille, la faisant frissonner.
"Maintenant ma petite salope, vous allez faire ce que vous étiez venu faire: vous allez faire pipi. Un beau gros pipi... Allez-y..."
Clémentine ouvrit de grands yeux, n'osant pas comprendre ce que la femme lui avait suggéré.
"Mais je... Ma culotte?"
"Je crains que vous devrez porter une culotte trempée pour le reste de la journée... Ne me faites pas attendre, cela pourrait être très douloureux... pour vous..." et elle lui gratta légèrement l'anus du bout de l'ongle. Clémentine gémit, plus de peur que de douleur.
"Je soigne toujours bien mes ongles... Ils sont coupants comme des rasoirs...
Je peux vous faire très mal, vous savez...". Clémentine n'en douta pas. En panique elle essaya de faire pipi pour éloigner le danger immédiat, tant pis pour la culotte. Mais l'effroi la paralysa: c'est comme si son sphincter était bouché et ne lui appartenait plus. Pas moyen d'uriner...
"Ca vient?"
Hélas, non, cela ne venait pas...
"On dirait que vous avez moins de bagout... Pourtant votre corps a l'air d'apprécier, vous ne croyez pas?"
Clémentine poussa autant qu'elle put. C'est vrai que son corps réagissait,
Madame Lavergne avait du doigté...
Les doigts se firent plus pressants. Comme Clémentine continuait de pousser, son anus s'ouvrit légèrement. Madame Lavergne n'hésita pas et son doigt pénétra profondément dans le derrière de la jeune fille. Clémentine sentit comme une brûlure. Les sanglots redoublèrent.
"S'il vous plaît, arrêtez... Vous me faites mal..."
"J'attends..."
Sa main gauche massa doucement l'entrecuisse. Clémentine parvint enfin à se relaxer; un gros soupir accompagna le premier jet d'urine.
Madame Lavergne sourit en sentant la culotte s'imprégner et la frotta de plus belle. L'urine débordait des deux côtés de l'entrejambe de coton, puis coulait avec un bruit clair dans la cuvette. Elle sentit aux contractions du rectum que Clémentine faisait tout pour s'arrêter d'uriner.
"Allez-y, continuez... une vraie petite salope... Qui mouille sa culotte...
Quand vos copines sauront ça..."
Madame Lavergne continuait son lent massage. Du bout des doigts elle tâta la source d'où jaillissait l'urine brûlante. Le massage avait comme résultat que la culotte était trempée.
"Maintenant enlevez votre culotte..."
Reniflant, Clémentine agrippa l'élastique et tira mais eut de la peine à l'enlever parce qu'elle était trempée. Avec une grimace de dégoût elle la fit glisser le long de ses jambes.
"Regardez le fond... Vous savez très bien ce que je veux dire..."
Effectivement, le massage expert avait eu des suites physiologiques que l'urine n'avait pas pu effacer.
"Maintenant lèchez !"
Clémentine ouvrit de grands yeux et hésita. Madame Lavergne remit sa main sur le sexe nu. Le doigt dans l'anus se courba vicieusement. Clémentine cria.
Pleurant de honte la jeune fille avança prudemment la langue. L'odeur d'urine était puissante mais au grand étonnement de Clémentine, pas vraiment rébarbatif. Le liquide avait un goût salé, un peu comme de l'eau de mer, mais en plus fort.
"Vous transpirez Mademoiselle..." Madame Lavergne prit la main qui tenait la culotte mouillée et lui frotta le visage. Clémentine tenta en vain de se débattre et d'éviter le contact avec le linge souillé.
"Maintenant vous allez effacer le gribouillage sur vos cuisses..."
Pleurant de chaudes larmes, Clémentine se mit à frotter avec sa culotte. Elle avait l'impression que tout sentait le pipi: son visage, son ventre, ses cuisses. Une à une les formules disparaissaient. La peau rougit tant elle frottait fort.
"Bon. A présent je vais vous punir. Levez-vous. Ouvrez la bouche."
Madame Lavergne prit la culotte et la fourra dans la bouche de la jeune fille. Le goût salé envahit sa bouche, l'odeur d'urine l'incommodait. Clémentine n'osa pas s'opposer. Elle avait une peur viscérale de Madame Lavergne, la sentant sûre d'elle-même et prête à tout.
A nouveau ce goût et ce parfum interdit. Troublant. Et humiliant, justement parce que Clémentine sentait que cela la troublait malgré elle. Dans un éclair elle se vit, petite fille, assises sur la toilette, la main sous elle, la main qu'elle ramena trempée vers son visage... une odeur troublante... puis la langue qui s'avance prudemment... ce même goût légèrement salé... ce même trouble délicieux mais qui fait peur...
Clémentine s'ébroua, retomba dans le présent.
"Retournez-vous, et appuyez-vous sur la lunette."
Comme un automate, Clémentine obéit. Elle se pencha en avant et appuya ses mains sur la lunette blanche de la toilette.
"Ecartez les pieds. Mieux que cela."
Clémentine bougea ses pieds. Elle avait déjà été cravachée deux fois depuis qu'elle était à l'Institut. Elle détestait avoir alors les jambes ouvertes; c'était comme si les coups étaient plus douloureux que quand elle serrait les cuisses. Ou était-ce l'humiliation de montrer son entrejambe à celle qui la cravachait qui augmentait la douleur?
Clémentine entendit un glissement quand Madame Lavergne enleva la ceinture de sa jupe et pensa "Ouille, pas la cravache, mais la ceinture..." La cravache était beaucoup plus maniable, étant créée pour frapper, mais avec la ceinture on ne savait jamais où elle allait atterrir, et comment: parfois elle tournait et c'était le bord mince de la ceinture qui frappait la chair, et non le côté plat...
Clémentine retint son souffle, ferma les yeux.
L'instant après la douleur l'aveugla: la ceinture ne l'avait pas frappée sur les fesses comme elle l'attendait, mais entre les cuisses! Sa vulve était en feu, touchée de plein fouet. La ceinture l'avait mordue de l'anus jusqu'au pubis, suivant la courbe de son corps, la léchant comme une langue de feu.
Elle dut s'agenouiller contre la cuvette pour ne pas tomber. Heureusement qu'elle était bâillonnée, sinon son cri aurait été entendu dans toute l'école.
"Relevez-vous, ce n'est pas fini. Je vais vous apprendre à tricher."
A contrecoeur Clémentine se redressa, les jambes tremblantes, et reprit la position.
Elle se retourna une fraction de seconde, juste assez longtemps pour voir Madame Lavergne se tenir prête, la fine ceinture de cuir pendant de sa main droite comme un serpent noir.
Les muscles de la jeune fille se crispaient dans l'anticipation de la douleur horrible qui allait venir. Elle ne supporterait plus beaucoup de coups pareils; la douleur irradiait encore dans son ventre, en rapides pulsions.
Le deuxième coup était encore bien plus douloureux que le premier: Madame Lavergne avait trouvée la bonne manière de lancer le bras. La ceinture claqua entre les jambes de la jeune fille. Clémentine faillit s'étrangler avec son bâillon et se prit le sexe à deux mains. Avec horreur elle les retira toutes mouillées. Ce n'était heureusement pas du sang: par la douleur elle s'était mise à uriner sans s'en rendre compte.
Madame Lavergne visa soigneusement. La ceinture claque une troisième fois.
Comme un zombie Clémentine se releva. Le troisième coup lui avait donné l'impression d'être coupée en deux: c'est le bord de la ceinture qui l'avait touchée. Sa chair intime était rouge-sang. Elle avait glissé par terre et avait perdu connaissance pendant quelques instants.
Madame Lavergne l'avait aidée à se relever. Puis elle avait lui retiré la culotte de la bouche et l'avait obligée de la remettre. Clémentine avait touché le fond de l'horreur: la culotte trempée d'urine et de salive collant sur sa vulve douloureuse à hurler, était la pire des choses qui lui étaient arrivées jusqu'à présent.
L'urine coulait toujours, en un petit filet, sans que Clémentine puisse l'arrêter: elle ne se contrôlait plus, ne sentant que l'affreuse douleur entre ses jambes. "Je suis incontinente... Elle a touché quelque chose et je suis incontinente... Je ne sais plus m'arrêter de faire pipi, je ne sens plus rien,
tout fait si mal entre mes jambes..." Les pensées s'entrechoquèrent dans sa tête.
Clémentine passa le restant de la journée à l'infirmerie, dans le lit cage, les mains attachées pour qu'elle ne puisse pas se toucher; l'infirmière avait enduit sa vulve d'une crème contre les hématomes, puis lui avait enfilé une couche-culotte. Clémentine avait protesté contre ce traitement humiliant, mais Madame Lavergne et l'infirmière avaient ignoré ses cris et ses injures.
Jusqu'à ce jour Clémentine n'a plus essayé de tricher aux examens.