Charlène O


Vues: 744 Created: 2009.09.14 Mis à jour: 2009.09.14

La Directrice de L'Institut Ospif

Episode 18: "Punie!" (2/2)

A regret elle retire sa main de mon sexe et m'indique une chaise près du mur.

Les mains toujours sur la tête, je grimpe dessus. Son visage est à hauteur de mon ventre.

"Déshabille-toi. D'abord la blouse."

Un à un je défais les boutons. J'essaie de gagner du temps. Tôt ou tard la Directrice viendra et alors je serai débarrassée de ces deux peaux de vaches.

"Avance, on n'a pas que ça à faire!"

J'enlève ma blouse, puis ma jupe, ne gardant que mon soutien-gorge blanc et ma culotte de gymnastique bleue.

"Le soutien-gorge."

"T'étais pas au premier rang, hein, quand on a distribué les doudounes?"

Fièrement elle tire ses épaules en arrière, faisant saillir une poitrine trop importante pour son torse. Il est vrai que j'ai la poitrine plutôt modeste.

Le regard gourmand fixé sur mon ventre, elle dit enfin ce que je craignais depuis que je suis montée sur cette chaise:

"La culotte, maintenant..."

Rapidement, le regard droit devant moi, j'enlève le sous-vêtement.

"Alors, montre-nous si elle est propre!"

J'ai l'impression de m'enfoncer vers le centre de la terre. J'ai un petit espoir que j'ai mal entendu, qu'elle ne va pas insister si je fais comme si je n'avais pas compris.

"Alors, ça vient? Tu vas nous montrer ta culotte. Maintenant, mignonne Cassandre."

Je tends la culotte devant moi sans la regarder.

Dorothée respire bruyamment, je vois qu'elle est en colère. Elle s'approche, puis "Aaahhh!" Elle m'envoie son poing dans le ventre, juste au-dessus de l'os pubien. Ca fait un bruit mat, je manque tomber de la chaise. Iris me retient.

Ca fait mal, très mal. Des larmes brouillent ma vue. A grand peine j'arrive à respirer. Heureusement que je n'ai pas fait pipi, il s'en est fallu de peu.

Sur mon ventre on ne voit rien, à peine une marque rose, à l'endroit où elle a frappé.

"Tu vois qu'on peut faire très mal sans laisser de marques... Maintenant, fais ce qu'on t'a dit."

Respirant toujours lourdement, je déplie la culotte. Bien entendu, il y a une marque blanchâtre qui ressort clairement sur le coton bleu foncé. La marque est plus grande que je ne l'avais craint, à cause de ses attouchements, bien entendu. Elle avait bien préparé son coup, elle savait d'avance ce qui allait se passer.

"Tu vois quelle sale gamine tu fais?" Dorothée semble de plus en plus se prendre à son jeu. De me frapper d'abord, puis de m'humilier en suite a fait tomber sa colère. Les assistantes s'amusent comme des petites folles, c'est certain.

"Mets-la sur te tête. Non! L'intérieur contre ton nez, que tu te rendes compte qu'elle sale fille tu fais!"

Comme un automate j'obéis. Comme prévu, ma culotte dégage une odeur assez corsée. J'essaie de ne plus penser, plus sentir, plus entendre. Mais mon calvaire ne fait que commencer. Je ne me suis encore jamais sentie si nue que debout sur cette chaise. Instinctivement je serre les cuisses, pour surtout ne lui donner aucun prétexte pour m'humilier encore plus.

Dorothée va chercher une deuxième chaise qu'elle met à côté de l'autre.

"Ton pied gauche sur cette chaise!"

J'obéis à contrecur. Je dois ouvrir fortement les jambes. Je ne peux m'empêcher de sangloter, je ne me suis jamais sentie si misérable.

Je vois les deux femmes chipoter avec des élastiques et de fins bâtonnets, comme on emploie pour faire des brochettes. Elles se tournent vers moi.

"Penche-toi, qu'on puisse te garnir les seins."

Je me penche, manquant perdre mon équilibre à cause de mes jambes écartées sur les deux chaises.

Les pointes de mes seins sommeillent, et cela n'a pas l'air de plaire à mes bourreaux: Dorothée pince sournoisement une pointe, me faisant gémir; Iris n'hésite pas et prends l'autre sein dans sa bouche. Mes jambes se mettent à trembler. C'est la première fois qu'on me suce les seins et cette sensation est affreusement troublante - je sens à nouveau que j'ai très envie de faire pipi. Je ne peux m'empêcher de haleter. C'est humiliant, et j'ai honte, mais d'un autre côté mon corps réagit - je sens la pointe se gonfler, gonfler... - et cela ajoute à mon trouble. Comme avant, quand Dorothée avait sa main entre mes jambes, ces femmes sont en train de m'exciter par pur sadisme. Je sens mon sexe qui réagit - bon Dieu que je dois faire pipi! J'essaie de contracter mes cuisses pour mieux me contrôler, mais avec les jambes écartées, ce n'est pas du tout évident.

Les pointes de mes seins semblent suffisamment gonflées pour ses dames. Elles s'approchent, chacun avec une pince-maison': elles ont réuni deux bâtonnets avec deux élastiques. Iris observe comment Dorothée écarte les deux bâtonnets

et y glisse le doigt, les tenant écartés. Puis elle s'approche de mon sein. Je gémis, comme si j'avais mal rien que de voir quel instrument de torture elle va employer. Habilement elle tire la pointe érigée dans la pince, puis retire son doigt. La pince se referme sur la pointe. "Ouch!" C'est comme quand on pince les seins avec ses doigts assez fort, avec la différence que la douleur ne part pas, mais continue. La pince tient toute seule, parallèle à mon torse.

Je me contorsionne pour rejeter la pince, mais je n'y arrive pas. Iris fait la même chose de l'autre côté. Je souffle fort, pour ne pas gémir. Ce n'est pas à hurler de mal, mais douloureux quand même; les bouts de me seins ne sont plus

irrigués et rapidement ils deviennent mauves.

Je frémis quand j'entends Dorothée enfiler des gants de latex - ces gants me rappellent toujours des séances plutôt désagréables chez le médecin.

Son horrible sourire canaille aux coins de la bouche elle s'approche de moi.

"La Directrice a dit 'une fouille complète'... Iris, tu t'occupes du verso, moi je 'ferai' le recto..."

La sensation du caoutchouc froid sur mon sexe est une des sensations les plus désagréables que je connaisse. Dorothée à dû le remarquer, car elle attend avant de commencer, jusqu'à ce qu'elle voie à nouveau briller des larmes à mes yeux. Alors elle se plante devant moi, le visage tout près de mon minou.

Je m'arrête de respirer. Involontairement je serre les fesses, geste dérisoire. Elle ouvre ma fente de deux doigts, puis de l'autre main, cherche le clitoris. Je manque de hurler. C'est douloureux et surtout ignoble, cet attouchement. Clinique, rien de sexy. Elle n'y va pas de main morte:

brutalement elle frotte l'organe ultrasensible, déclenchant des crampes douloureuses dans mon bas-ventre. Je halète comme un coureur de fond. Des éclairs parcourent mon ventre. Je bouge mon bassin fébrilement pour essayer d'échapper à ses doigts, mais elle ne lâche pas prise. Je ne peux m'empêcher de crier doucement. Cela semble la stimuler car elle se met à me frotter le petit bouton frénétiquement, comme si elle voulait me faire jouir - je me demande si après ce viol brutal je pourrai encore jamais jouir? Sans arrêter son manège, elle enfonce deux ou trois doigts de son autre main dans mon vagin. Avec un 'han' triomphateur ils disparaissent dans mon intimité. C'en est trop, je perds les pédales, tout tourne autour de moi. Dans un brouillard j'entends le ricanement de Dorothée 'Elle est trempée comme une fontaine, la salope!' Puis je sens une chaleur se dégager entre mes jambes. J'entends encore Iris s'exclamer 'Fais gaffe, elle te pisse dessus!', puis je tombe en avant, sur Dorothée.

Je la renverse et tombe sur elle, de tout mon long. Elle a lâché prise, l'horrible massage brutal de mon clitoris s'est arrêté, mais la chaleur entre mes jambes continue. Je me rends compte que je vide ma vessie: la stimulation brutale a eu raison de mes sphincters, je fais pipi sous moi. Je sens Dorothée gigoter pour se dégager, mais je suis trop lourde pour elle.

"Elle me mouille, Iris, elle me pisse dessus, Iris, fais quelque chose!"

Mais Iris non plus n'arrive pas à me faire bouger. Assommée par le traitement que ces femmes m'ont fait subir, mon corps savoure l'absence de ces mains fouineuses entre mes jambes. Même si je voulais je ne pourrais pas bouger, je suis anéantie, incapable de réagir, la douleur du viol résonne encore dans mes entrailles.

Dorothée s'en rend compte et tire profit de la situation. Elle ouvre ses jambes entre les miennes et croche ses pieds derrière les miens. De cette façon elle peut me tenir les jambes largement ouvertes et m'empêcher de les fermer. Elle glisse un bras sous mon épaule droite et se met à me serrer dans un kata gatame, une prise de judo, m'immobilisant tout à fait.

"Iris, je la tiens. Je suis trempée, c'est comme si moi j'avais fait pipi, elle va me le payer cher. Iris, je veux que tu lui fouilles le rectum, comme moi je l'aurais fait: qu'elle ne puisse plus s'asseoir pendant une semaine. Iris, tu m'entends?"

"Tiens la bien. Je m'en occupe. Elle a un beau petit trou rond..."

Dorothée a arrêté de se trémousser sous moi, je respire difficilement, tant elle me serre la poitrine, mes jambes sont comme dans des étaux. Soudain je sens qu'on m'écarte les fesses. Je me débats, mais Dorothée est bien plus forte que moi et je dois laisser faire sa collègue. J'essaie de me relaxer au maximum pour ne pas trop souffrir, mais la peur me bloque les muscles, les

contractant. Elle me glisse un doigt dans le derrière. Ce n'est pas douloureux, juste désagréable, humiliant. Je m'efforce de respirer à fond et je bascule mon bassin afin d'offrir le moins de résistance possible, et de faire le plus de place possible.

Un deuxième doigt rejoint le premier. Elle a dû les enduire d'une crème quelconque car les doigts glissent sans heurts. Je gémis de honte quand je sens son souffle sur mes fesses, j'ai le sexe béant, horriblement sensible à cause du traitement qu'il a subi, au point où je sens même la respiration d'Iris sur mes chairs intimes.

Après le troisième doigt je me sens remplie au maximum, mon corps est recouvert de transpiration. Il y a une sensation de brûlure quand ses doigts forcent le passage chaque fois qu'elle les enfonce dans mon rectum. Quand elle les retire j'ai l'impression que la muqueuse reste collée à ses doigts et sort de mon corps 'C'est ainsi qu'on attrape des hémorroïdes', je me dis dans un brouillard de douleur.

Je suis à demie inconsciente. Iris continue sa 'fouille'. Je me rends compte que j'aurai droit à un 'fisting anal' comme mes copines appellent cela en rougissant. Je ne peux m'empêcher de crier quand la douleur dans mon anus monte d'un cran; Iris a joint son pouce et son petit doigt aux autres et en respirant lourdement elle essaye de faire rentrer son poing dans mon derrière.

J'ai le cul en feu, comme si on y avait coulé de la lave en fusion. J'ai un éblouissement quand elle se laisse tomber sur moi de tout son poids, encouragée par Dorothée. Son poing entre d'un coup dans mon rectum, je sens quelque chose qui se déchire, puis la douleur diminue. A nouveau je fais pipi sous moi, mais je m'en fiche, je suis dans un état second. Je sens que Iris

prend son rôle très au sérieux et me malaxe le ventre de l'intérieur, la main ouverte dans mon rectum. Quand elle se met à frapper mes fesses de sa main libre pour me faire contracter les muscles de mon ventre autour de sa main, une douce torpeur m'envahit et je m'enfonce dans de l'ouate vers un monde où il n'y a plus de douleur...