Nadia, comme chaque vendredi soir, s'en retourne en Normandie par l'autoroute après une semaine parisienne fatiguante et stressante d'un emploi du temps surchargé et de longues heures passées dans les embouteillages. D'origine antillaise, c'est une jolie femme élancée aux yeux rieurs, aux cheveux crépus assez courts qui lui donnent l'air d'une lionne sous son serre-tête. Très coquette, elle est célibataire à 26 ans mais recherche encore son prince charmant en fréquentant quelques soirées libertines parisiennes. Elle n'a pas froid aux yeux et une sexualité plutôt débridée. Pour boucler les fins de mois, il lui arrive aussi de s'exhiber sur des sites internet. Le covoiturage lui permet également de limiter ses frais de déplacement et, justement, elle a fixé un rendez-vous sur son chemin à une jeune femme qui souhaitait également se rendre à Caen par l'autoroute.

Vers 18 h, comme convenu, elle s'arrête pour récupérer sa passagère. C'est une jeune femme d'une trentaine d'années blondes aux yeux bleus, taille mannequin, aux faux airs de Claudia Schiffer l'égérie du célèbre Lagerfeld. Habillée dans un style décontracté, jeans, chemise ouverte et petite veste colorée, elle s'installe sur le siège passager avec beaucoup de grâce. La conversation entre les deux femmes s'engage et le courant passe plutôt bien. Le covoiturage permet de temps en temps de belles rencontres. Elle s'appelle Monette ("comme ma grand-mère") pense Nadia en se remémorant avec nostalgie son enfance à quelques kilomètres de Pointe-À-Pitre. Cela lui donne envie de parler de son île et elle lui demande si elle peut écouter des airs du groupe Kassav tout en roulant sur l'autoroute. Le climat est décontracté dans la voiture et l'on discute assez facilement entre filles, des garçons, de ce qu'ils provoquent d'envies et de rigolades entre ces deux jolies célibataires. Le trajet se passe dans une très bonne ambiance. Elles se racontent leur vie avec des moments de rire très coquins. Nadia pense tout de même au corps de celle belle blonde très bien faite assis à coté d'elle car il lui est arrivé quelques aventures homosexuelles très agréables. Tout oppose physiquement Nadia et Monette mais des petits sourires coquins sont échangés au moment des quelques révélations intimes de leurs conversations mutuelles.

Vers 20h30, alors que la nuit est déjà tombée, un témoin lumineux s'allume au tableau de bord de la voiture. Il faudra s'arrêter à la prochaine aire d'autoroute annonce Nadia car elle n'a pas envie de faire appel à une dépanneuse. Garée rapidement sur un parking à l'écart de la station-service, Nadia ouvre la boîte à gants pour lire le manuel technique. Elle n'y connaît rien en mécanique. Elle propose à Monette, qui n'est pas pressée ce soir, d'aller lire tout ça en prenant un café à la station. Attablées toutes les deux, elles essayent de comprendre ce manuel bien trop compliqué lorsqu'elles remarquent un homme en tenue de service qui range des articles dans le rayon de la boutique. Elle décide d'aller lui demander s'il connaît un peu la mécanique en évitant de trop faire croire au coup de la panne. Le type est athlétique musclé avec les cheveux longs attachés en arrière. Il se retourne avec un large sourire et vient discuter avec les deux femmes autour du petit livre technique. Les deux filles matent sans le dire le torse visible par le col de sa tenue légèrement entrouverte et les bras musclés de l'employé de service qui a une allure de mécanicien très sexy. Il pourrait être mannequin pensent elles sans se le dire! Elles échangent même des regards très complices pendant que le gars, qui ne se doute de rien, est plongé dans la lecture.- "C'est un problème de bougies" : dit il en conseillant de les changer dès maintenant. Il se propose même de les aider car le charme et les voix douces de ce binôme féminin en détresse ont fait leur effet! C'est un mâle alpha pense Nadia et il les regarde en souriant. L'une comme l'autre suivent avec attention les coups d'oeil de ce bel étalon qui se pose alternativement sur les fesses ou la poitrine des deux copines d'un soir.

Une fois les bougies achetées et payées, tout ce joli trio se dirige vers le parking. Le capot de la voiture est rapidement ouvert et le jeune homme démonte avec soin les quatre bougies sous le regard attentif de Nadia et Monette qui n'en perdent pas une miette. Appuyées l'une contre l'autre sur l'aile de la voiture, leurs mains délicates et féminines se rencontrent finalement, se croisent, se délient puis se retrouvent et la complicité née dans la voiture, se transforme finalement en un baiser fougueux féminin devant le mécano qui n'en revient pas! Elles savent toutes les deux provoquer le désir mais sont rapidement attirées l'une par l'autre dans un élan sexuel incontrôlable.

-"Vous êtes bi?" ose le garçon en terminant de serrer la dernière bougie?

- "Oui!" répond Monette avec une petite voix langoureuse.

- "Mais nous aimons aussi les garçons et on te trouve plutôt beau gosse tu sais!" enchaine Nadia avec un petit sourire coquin en lui ôtant la clé à pipe de sa main et en l'attirant sur sa poitrine, le regardant droit dans les yeux. Nadia pensait direct à un corps à corps avec ce beau mâle trouvé dans cette station-service et la pointe de ses seins se durcit instantanément quand il lui malaxa doucement la poitrine. La blonde se rapprocha aussi et un trio se forma finalement quand Monette osa glisser sa main, elle aussi, sur le torse musclé de l'employé. Les mains s'entrecroisaient sur leurs corps dans le souffle des bouches et des langues qui s'embrassaient l'une après l'autre. La partie s'annonçait chaude dans cette nuit un peu fraiche sur ce parking à moitié désert.

- Comment t'appelles-tu mon beau mécanicien? murmura Monette.

- Max à votre service mesdames! répondit-il avec un sourire charmeur.

Pendant qu'elle embrassait Monette, Nadia commença à se caresser inconsciemment les seins au travers de sa robe... Ses tétons ne tardèrent pas à darder fièrement sous le tissu, devenant rapidement presque trop sensibles... Elle s'inclina un peu sur le capot refermé et tiède pour se mettre à l'aise et remonta délicatement sa robe le long de ses cuisses. Du coin de l’œil, tout en caressant les deux filles, le mécanicien put bientôt distinguer la toison parfaitement taillée et la fente sombre de Nadia qui commençait à perdre le contrôle.Quand Nadia a écarté ses cuisses, ses lèvres se sont ouvertes telles les pétales d'une fleur de luxure qui éclot, mettant à nu son pistil de plaisir et libérant cet effluve de stupre qui mit le type en transe. Monette commença à se caresser aussi, n'ignorant pas qu'ils étaient visibles à l'extérieur par le fait que d'autres automobilistes puissent surprendre une fraction de seconde ces moments de lubricité et ce fut une source d'excitation supplémentaire pour elle...Monette se pencha vers l'avant pour mieux entendre le clapotis des doigts du mécano qui entraient et sortaient maintenant de la chatte détrempée de Nadia. À un moment il lui tendit ses doigts ruisselants pour lui faire goûter sa liqueur intime. Ils furent avalés goulûment, Monette aspirant jusqu'à la dernière goutte de ce nectar féminin. Nadia continua en se caressant son bouton gonflé et rouge de désir jusqu'à sentir ses cuisses frémir, trembler et la jouissance puissante l'envahir complètement dans une extase qui la secoua de soubresauts incontrôlés. De son côté, l'entrejambe de l'étalon commençait à se sentir particulièrement à l'étroit, battant la chamade dans sa tenue d'employé de station service...

Avide d'encore plus de plaisir, Nadia sortit de son sac un petit lush, jouet high-tech qu'elle a toujours avec elle pour les situations d'urgence sexuelle. Elle l'enfonça en elle sous les encouragements et les regards étonnés de Monette qui la trouvait décidément très à son goût comme fille. Une des mains de Max quitta la poitrine de Nadia qu'il pétrissait pour dézipper son pantalon vraiment trop serré et commencer à caresser son sexe à travers le tissu de son boxer. De son coté, Nadia faisait entrer et sortir son jouet, rythmant l'ambiance d'un tempo aux sonorités humides. Sentant le désir monter d'un cran, elle lécha ses doigts pour les faire glisser sur ses tétons dressés, elle les roula et les pinça en laissant s'échapper des gémissements. Alors, le rythme de sa pénétration s'accéléra. Elle pressa le bouton du jouet pour qu'il vibre et fasse trembler encore plus son corps. Elle le rentrait et le sortait à cadence soutenue dans son sexe dégoulinant. Elle voulait jouir et le beau mécanicien musclé le sentit. Alors de sa main libre, il sortit son membre tendu, exhibant aux deux femmes sa formidable érection et son gland gonflé de désir. À cette vue, Nadia jouit, lâchant un profond « oui » de soulagement et échappant de ses lèvres intimes une vague humide de plaisir qui ruissela sur la carrosserie sur laquelle elle s'était assise. Folle de désir, la main de notre jolie blonde recueillit à l'entrée de la grotte de Nadia cette rosée voluptueuse pour caresser le sexe fièrement dressé de Max. N'y tenant plus, il demanda à Nadia d'ôter son sex-toy de sa petite fente rose, une passion et un désir fou dans les yeux. Il enfila un préservatif et la pénétra sans ménagement dans un râle presque animal. À peine remise de sa jouissance, Nadia l'accueillit volontiers, tellement heureuse de posséder enfin le sexe de cet étalon entre ses cuisses d'ébène. Elle ondulait son bassin et se contractait autour de la verge palpitante, la recrachant pour mieux l'avaler de nouveau...

Elle embrassa goulûment Monette en même temps que Max allait et venait dans sa chatte. Pour changer de position les filles demandèrent au garçon de s'allonger sur le capot de la voiture et Nadia se retrouva alors assise sur son partenaire, empalée sur son sexe chaud qui entrait au plus profond d'elle. Les bras de Max torse nu l'enserraient avec force et elle aimait cette danse d'amour. Dans une même pulsion indécente, les regards de Monette se portèrent sur l'entrejambe uni, admirant le ballet de cette large tige s'engouffrant au creux des lèvres gonflées et brillantes de Nadia pour ressortir dans un clapotis obscène...Nadia sentait le gland brûlant de son mécano d'un soir masser les points les plus sensibles de sa fente rose en transe. Quant à Max, il se délectait de sentir le sexe détrempé de sa partenaire vibrer autour du sien jusqu'à des spasmes annonciateurs d'une jouissance imminente. Elle aussi percevait maintenant le durcissement accru de la verge qui la comblait encore davantage, la remplissant désormais complètement, ce qui la mit dans un état second. Sur le parking, on n'entendait plus que râles et gémissements, entrecoupés de bruits des voitures qui passaient au loin dans la nuit.Monette approcha son visage des deux sexes emboités de Nadia et de Max et s'enfila le lush dont Nadia n'avait plus besoin. Elle ne connaissait pas cet appareil high-tech mais fut surprise lorsqu'il glissa en elle au contact de son point G. Elle devint comme folle de désir et voulut aussi profiter de cette bite qui pénétrait la vulve de sa conductrice à quelques centimètres de son nez. Elle voulut sucer ce sexe de bonne taille et Nadia qui en avait bien profité se rendit compte de la situation. Elle laissa Max sur le capot, la bite tendue vers le ciel et d'un mouvement rapide ôta la capote pour présenter cette verge qui allait exploser à la bouche de Monette qui en avait envie. Elle passa derrière elle et doucement lui écarta les fesses pour lui glisser le lush cette fois dans son petit trou brun malléable pendant qu'avec sa bouche et ses doigts elle s'occuperait de la chatte ruisselante et du clitoris de Monette qui pompait avidement Max allongé sur le capot. La blonde adorait sucer!

Le mécano jouit par saccades dans la bouche de Monette qui avala ce flot de sperme chaud avec délectation pendant que Nadia déclencha les hautes vibrations du lush enfoncé dans le cul de son amante et que ses doigts et sa langue s'appliquèrent à branler la petite chatte de la blonde Monette qui elle aussi explosa dans un cri de jouissance incontrôlée.

Ainsi sur ce capot de voiture dans la nuit de Normandie, haletant du plaisir qu'ils s'étaient donnés les uns aux autres, ils prirent conscience de leur folie lubrique, de l'indécence de la situation, et cela les fit beaucoup rire en s'essuyant avec le paquet de lingettes de la boîte à gant qui tombait à point nommé!Après quelques salutations polies et remerciements à Max la mécanique, elles reprirent leur route vers la Normandie vers 21h30. Le voyant de la batterie était éteint mais celui du corps de nos deux copines devenues très intimes sonnait déjà l'alarme pour le week-end à venir !