Mathilde à la belle époque
Chapitre 1: Mathilde monte à Paris
Cette histoire se passe vers les années 1900. Mathilde était la fille d'un tonnelier de Pessac et sa mère était blanchisseuse à Bordeaux. D'une famille de six enfants, c'était la dernière et la vie était bien difficile dans la métropole régionale. Elle avait été à l'école religieuse des filles jusqu'à 14 ans et savait très bien lire. Elle fréquentait en cachette déjà depuis ses seize ans quelques garçons coureurs des quartiers de Bordeaux qui lui avaient déjà montré le loup! Ses parents ne le savaient pas car cela aurait été scandale dans le milieu ouvrier dans lequel évoluait son père. Elle aidait souvent sa mère dans le travail de lingère mais rêvait d'une autre vie. Mathilde était une magnifique jeune femme de vingt et un ans avec les formes bien placées, de jolies hanches, une poitrine au galbe parfait et une peau blanche qui plaisait car on lui avait déja demandé de poser à l'école des beaux arts de la ville. Un jeune artiste peintre de vingt-deux ans avait même eu le coup de foudre et c'est lui qui l'avait défloré à ses 18 ans. Elle se souvenait avec excitation des fins d'après midi avec lui après les séances de peinture, des corps à corps amoureux dans les odeurs de peinture à l'huile de l'atelier. Elle aimait poser nue et parfois de façon très osée quand il lui demandait d'écarter les cuisses pour voir le rose nacré de sa petite fente. Elle s'amusait très coquine à voir le désir monter chez ce garçon amoureux et qu'il la prenne parfois assez vigoureusement dans un délire érotique sur la chaise où elle posait en petite robe légère. Son fougueux peintre lui avait parlé de Paris et se ses amis de Montmartre et cela la faisait rêver. Un jour, elle décida de monter à Paris de quitter ses parents et cette vie familiale bordelaise difficile et après 9 heures de train, elle arriva à la gare d'Orsay qui avait été inaugurée pour l'exposition universelle. Une nouvelle vie parisienne commencait. Un marchand de vin que connaissait son père, lui avait conseillé un médecin qui recherchait quelques domestiques. Elle se présenta donc avec une lettre de recommandation à une adresse rue de la Paix entre la place Vendôme et l'opéra Garnier en plein dans les beaux quartiers de Paris dans une cour intérieure qui avait l'allure d'un petit chateau. Elle fut reçue par Mariette la première domestique qui la fit patienter en lui disant que le Docteur Martin Granville allait la recevoir dans son cabinet pour l'entretien d'embauche.
Le Docteur Martin Granville était un médecin réputé à l'hôtel Dieu, l'hôpital renommé parisien de l'île de la cité. Sa spécialité était la gynécologie et l'obstétrique. Il avait 43 ans et il avait déjà soigné et sauvé un bon nombre de parisiennes à une époque où les notions d'hygiène et d'aseptie n'étaient pas encore dans les moeurs médicales. Il avait compris que la propreté était indispensable aux soins et à l'hygiène corporelle en général. Ses succès médicaux venaient de là, à une époque ou les antibiotiques n'existaient pas encore et que les travaux de Pasteur se démocratisaient dans les universités! Il avait toujours été fasciné par les femmes et il avait découvert sa passion de gynécologue dans l'assistance médicale qu'il avait apporté dans ses études à des jeunes femmes qui venaient accoucher à l'hôpital. Il en avait sauvé un grand nombre, aidé des sages femmes en incisant, recousant, cautérisant des déchirures vaginales d'accouchements compliqués ou d'abcès très mal placés. Il avait compris que dans les circonstances d'urgence gynécologiques, il fallait agir vite et sans pudeur face à une dame qu'il devait soigner les cuisses ouvertes dans sa partie la plus intime, son sexe et parfois même son anus! Il aimait l'anatomie, la comparaison des corps, l'examen attentif visuel, la palpation et l'idée de chercher ce qui ne tournait pas rond dans le ventre d'une fille le passionnait! Sans doute cela le rapprochait il aussi de ses patientes, qui après avoir été sauvées l'admiraient et même parfois tombaient amoureuse d'un homme bien plus délicat avec leur sexe que bon nombre de maris de l'époque qui n'y connaissaient absolument rien en sensibilité féminine! Martin savait également tout ce qui fait le plaisir sexuel et il aimait cela! Son épouse Françoise l'adorait car il savait la faire jouir à tous les coups et elle se doutait bien qu'il avait appris cela en examinant d'autres femmes. Elle n'était pas du tout jalouse et même lui posait des questions sur ses patientes lors des moments intimes et il aimait confier à sa femme les résultats de ses recherches. Ils vivaient dans un bel immeuble parisien aux allures de château et ils avaient trois domestiques une cuisinière, une femme de chambre et un valet. Il recherchait donc une 4ème personne et avait des idées assez précises sur le recrutement. Ce devait être une femme, jeune, n'ayant pas eu d'enfant, célibataire et si possible entreprenante sur le plan sexuel car il avait des idées d'expériences médicales sur l'orgasme qu'il ne pouvait pas conduire à l'hôpital. Tous les domestiques à son service savait que Martin pouvait leur demander à participer à quelques expériences confidentielles et qu'ils ne devaient pas en parler sous peine d'être renvoyés. En échange, leurs salaires étaient bien supérieurs à la moyenne parisienne et tous ses employés étaient ravis et heureux!
La porte s'ouvrit et Mathilde fut priée d'entrer. Martin qui était un homme galant se leva pour aller l'accueillir et lui présenta une chaise pour s'asseoir et retourna derrière son bureau. Cette pièce ressemblait à un cabinet de consultation médicale et Mathilde fut un peu surprise.
« - Bonjour Mademoiselle Mathilde, vous arrivez de Bordeaux et vous m'avez été recommandée. Je recherche une femme de chambre jeune dynamique et en bonne santé à qui je vais demander quelques taches supplémentaires que je vais vous expliquer et qu'il conviendra d'accepter sinon je rechercherai une autre personne. Vous savez que je suis médecin à l'Hotel Dieu et que je suis spécialiste dans tous les sujets de santé concernant les femmes et je mène quelques expériences médicales particulières que je ne peux pas réaliser à l'hôpital. Je dois en effet trouver des femmes jeunes en très bonne santé sur le plan sexuel. Je vais être très direct avec vous. Vous serez très bien payée et vous aurez une grande liberté dans cette maison. Tous nos domestiques pourront vous le confirmer. Mais une chose est fondamentale, c'est de garder le secret sur tout ce que vous pourrez faire ou entendre dans cette maison. J'ai donc besoin de votre accord et que vous otiez toute notion de pudeur avec moi. Je suis médecin avant tout mais je suis un homme amoureux avec ma femme que vous rencontrerez bientôt et nous sommes très libertins tous les deux. Ainsi va la vie du monde à Paris une ville formidable que vous allez découvrir rapidement ! Etes vous d'accord pour travailler dans notre maison et que je devienne aussi votre médecin dans votre intimité cela va de soit? »
La question et la présentation était très directe et Mathilde regarda droit dans les yeux cet homme charmant et très intelligent. Jamais elle n'avait eu accès à la vraie médecine pour elle même ! Elle pensa même à son jeune peintre en imaginant quel amant ce docteur pourrait être avec les femmes puisqu'il se disait libertin et amoureux...
« -Oui Docteur, j'ai besoin de travailler et la vie familiale à Bordeaux me pesait c'est pourquoi j'ai voulu venir à Paris.
-Très bien dans ce cas vous êtes engagée mais afin de mener mes expériences avec votre accord, je dois procéder à votre examen médical poussé. Avez vous déjà consulté un confrère à Bordeaux et avez vous déjà eu des rapports sexuels je ne voudrais pas vous effrayer mais dans cette maison il ne vaut mieux pas être vierge!
- J'ai déjà été un peu malade mais je n'ai jamais consulté car à Bordeaux cela coûte très cher pour mes parents de voir le médecin. J'avais un ami peintre des beaux arts depuis 2 ans et j'ai déjà couché avec des garçons. Je ne suis plus vierge Docteur.
-Très bien avant que vous montiez vous installer dans votre chambre, je vais vous examiner complètement et vérifier votre bonne santé. N'ayez aucune pudeur avec moi. Déshabillez vous entièrement et allongez vous sur cette table d'examen.»
Mathilde fut un peu gênée mais pris son courage à deux mains. Ce travail et cette vie parisienne qui commençait méritait quelques sacrifices. Le Dr Martin Granville était un homme charmant avec beaucoup de délicatesse et il lui semblait qu'on pouvait lui faire confiance. Pendant qu'il allait se laver les mains, Mathilde se déshabilla et nue comme au premier jour, alla s'allonger sur la table. Elle avait un peu froid et senti le regard de Martin se poser sur elle. Elle en fut un peu troublée car il y a une heure à peine elle n'aurait pas imaginée être nue devant cet homme en allant chercher un travail !
«-Vous êtes jeune et jolie Mathilde mais il faudra raser votre pubis car pour mes expériences, je vais utiliser des crèmes lubrifiantes et il ne faut pas de poil ! »
Mathilde ne s'était jamais rasé la chatte mais elle promis de le faire dans une réponse timide.
«-Je mène des expériences d'une grande nouveauté sur le plaisir et l'orgasme féminin et je développe un peu en secret de nouvelles machines électriques appelées vibromasseurs. En effet j'ai remarqué que peu de femmes aboutissent à la jouissance dans les relations conjugales. Je voudrais qu'avec ces nouveaux appareils l'orgasme devienne une formalité ! Et vous Mathilde ? Puis je vous tutoyer lorsque nous serons en séance de travail dans mon laboratoire ou en consultation privée ? » Elle acquiesça.
« -Donc Mathilde arrives tu à jouir facilement lors des rapports sexuels que tu as eu et sais tu même ce qu'est l'orgasme? »
-Je ne sais pas Docteur, moi je n'arriverais jamais à vous tutoyer. J'ai eu du plaisir avec mon ami à Bordeaux mais je n'ai jamais pensé à tout ça en faisant l'amour !
-c'est normal tu es jeune et un peu naive. Je vais te montrer tes points sensible qui sont situés dans ton sexe laisse moi faire et détend toi je vais te faire jouir à ma façon et tu verras que tu seras surprise »
Il lui plaça les jambes dans les étriers de la table d'examen et lui attacha fermement les chevilles avec de petite sangles en cuir. De façon à bien écarter ses cuisses. La fente de Mathilde était de ce fait accessible mais elle se sentait prisonnière du docteur les jambes ouvertes et cela l'excita un peu. Un fois sanglée, Martin mis un peu d'huile sur ses mains et lui palpa les seins le ventre. Il pris un thermomètre et lui enfonça directement dans l'anus en lui demandant de le tenir. Pendant ce temps, il ausculta avec soin au stéthoscope les bruits de son cœur. Mathilde sentait un plaisir incontrôlable monter en elle et dans cette position son sexe devenait humide de plaisir et elle en avait presque honte lorsqu'il la touchait ! Naissait en elle des envies de sexe et de pénétrations avec tout ce que ce beau docteur lui avait raconté ! Elle se demandait même si le docteur bandait et elle essayait de deviner discrètement la bosse dans le pantalon.
« -Tout est normal vous êtes en parfaite santé, pas de fièvre, voyons ton joli sexe poilu qu'il faudra me raser absolument pour demain ! »
Il s'installa sur un petit tabouret et mis une sorte de casque avec un éclairage sur son front et deux trous à la place des yeux à travers un miroir concave qui cachait une partie du visage. Avec le pouce et l'index il écarta ses lèvres intimes et lui introduisit un puis deux doigts assez profondément. Mathilde ne pu s'empêcher de gémir. Elle était trempée !
« -Je vois que tu es toute mouillée ! C'est de bonne augure pour toutes les expériences que nous ferons. En fait tu es excitée naturellement ! Regarde, je vais toucher un point sensible à l'intérieur de ton vagin et le masser vigoureusement et je te demande de me montrer comment tu arrives à jouir avec tes doigts en même temps. Branle toi maintenant pour me montrer ta technique de massage pendant que j'appuie à l'intérieur de ton sexe avec mes deux doigts. »
Jamais un homme ne l'avait touchée comme cela. Elle commença à branler son clitoris qui avait bien gonflé pendant que le docteur faisait de petits va et vient en appuyant dans son sexe à un endroit qu'elle ne connaissait pas. En quelques minutes, elle senti monter en elle une onde et perdit le contrôle et dans un plaisir violent, poussa un cri de jouissance en lâchant un petit jet sur le poignet du docteur !
« - Et bien en parfaite santé et en pleine forme sur le plan sexuel ! C'est parfait ! Je te détache ! N'aie pas honte surtout, tu as découvert toute seule une nouvelle façon de jouir n'est ce pas ?
Oui Docteur jamais je n'avais ressenti autant de plaisir !
Tu apprendras plein de choses sur toi même avec moi. Va chercher une serviette éponge pour essuyer toute cette belle inondation de mouille et d'urine et rhabille toi. Tu n'oublieras pas de boire tous les jours au moins deux litres d'eau pour bien pisser, je t'expliquerai pourquoi plus tard ! Retourne voir Mariette qui te montrera ta chambre au dernier étage et te donnera toutes les consignes de vie dans cette maison. Ici tu porteras le tablier mais jamais de culotte sauf pendant tes règles de façon à être toujours prête pour mes expériences gynécologiques. J'attends de toi d'être toujours disponible quand je te demanderai. As tu aimé ce premier examen médical et cette jouissance particulière?
Oui Docteur c'était incroyable! Je ferais de mon mieux pour ne pas vous décevoir ! »
Elle quitta la pièce et retrouva ravie Mariette dans l'escalier qui lui fit un sourire complice en lui faisant comprendre qu'elle l'avait entendu crier et que elle aussi devait rendre visite au docteur régulièrement et qu'elle adorait ses consultations spéciales mais que tout cela devait rester secret et ne pas s'ébruiter dans Paris ! Elle remarqua en montant l'escalier que Mariette qui était une très jolie blonde de cinquante ans n'avait pas de culotte sous sa petite jupe. Comme elle la suivait un peu en contrebas, cela laissait entrevoir une jolie fente parfaitement lisse. Dans cette maison les employés étaient donc au service « spécial » du docteur Granville!
Excellent
Mais la suite se fait atten…
A ceux qui ne croient pas que le lubri…
Sérieusement 🥰💯🍅des lubrifiants en 1…
Dommage ... j'aurais vraiment bien aimé…