Christophe, jeune homme naïf
Telle est prise qui croyait prendre
Une nouvelle semaine studieuse débuta. Cécile et Christophe avaient adopté un rythme d’étude et de loisirs efficace, avec des activités sensuelles plus ou moins approfondies suivant les disponibilités. Rien de tel qu’un bon orgasme pour faire dormir.
Dimanche soir fut très classique : doigts et bouche. Il était déjà tard. Lundi soir, ils avaient plus de temps. Christophe commença par un long massage du dos et des fesses de Cécile, qui appréciait beaucoup ces caresses. Il lui embrassa le postérieur, s’en servait comme d’un oreiller. Cécile trouvait cela très excitant. Lors des caresses, le doigt de Christophe lui passait dans la raie. Puis, ce qu’il ne lui avait jamais fait, le doigt s’arrêta sur l’anus et se mit à le masser.
Cécile ne releva pas, préférant, avant d’approuver ou désapprouver, analyser un peu les sensations produites. Ce mouvement se transmettait jusqu’à son sexe. Il était toutefois un peu irritant.
« Mon cœur je trouve ça pas mal d’expérimenter, mais je crois qu’il faudrait lubrifier. »
Christophe retira son doigt. Il embrassa le postérieur, et alla chercher dans ses affaires, sous le regard intrigué de Cécile. À grand mal, il ouvrit une boîte de gants fins jetables, et en passa un.
« Tu… tu veux me mettre tes doigts dedans ?
— Et pourquoi pas ? Tu me l’as bien fait à moi.
— Oui, mais tu l’avais demandé.
— Mais je n’avais pas demandé les suppositoires. Avoue que tu avais envie de me mettre un doigt dans le derrière ! »
Cécile hésita.
« Oui. En effet… Je reçois ton doigt dans mon vagin chaque jour, après tout, j’avais envie de t’explorer moi aussi. Et puis j’avais entendu que les garçons, enfin certains, aimaient recevoir un doigt là. Mais je ne crois pas que ça s’applique aux filles.
— Et tu n’as pas envie d’essayer ?
— Par équité envers toi… oh et puis tu as raison, si on n’essaye rien… »
Cécile s’installa sur le ventre, jambes légèrement écartées. Christophe se lubrifia le doigt, et commença à masser l’anus. Il passa son autre main sous le ventre de Cécile, et le bout de ses doigts se posèrent sur son clitoris. Il commença à la masturber ainsi.
« Ça va ?
— Continue. »
Son doigt commença à rentrer un peu, puis de plus en plus. À force, il pénétra totalement. Cécile subissait son premier toucher rectal!, pensait-il (à tort). Christophe hésitait sur la course à adopter, puis se dit que masser en direction du nombril, comme il faisait dans le vagin, pouvait donner de bons résultats. De l’autre main, il tripotait le clitoris. Il embrassait les fesses. Cécile respirait fort.
Cécile finit par avoir un sursaut et se saisit de sa main qui portait son clitoris.
« Tu… tu as joui ?
— Oui. Tu peux retirer ton doigt. C’est moins bon que dans l’autre trou, c’est un peu inconfortable mais ça a un quelque chose de spécial. »
Cécile eut l’embarras de se faire essuyer le sexe mouillé, puis l’anus.
Ensuite Christophe, le doigt ganté un peu souillé en l’air, la taquina : « la prochaine fois, mademoiselle, vous irez à la selle avant d’aller au lit, ou alors gare au suppo ! ». Il rit, et elle aussi. Décidément, c’était bien de ne pas faire un drame de tout cela !
Le mardi, Cécile voulut une petite masturbation rapide le matin, et les câlins du soir furent plutôt oraux. Mercredi, elle demanda à Christophe de s’occuper de son derrière, « et je viens d’aller aux toilettes ! ». Le plaisir fut plus laborieux à atteindre que lundi, mais l’inconfort moindre.
Le jeudi soir, Cécile suggéra que c’était le tour de Christophe de se faire explorer, mais Christophe dit qu’il avait une idée et d’un air faussement autoritaire lui demanda d’aller à la selle « ou sinon c’est le suppo ! ». Cécile fit la moue, mais s’exécuta.
Au lit, elle se laissa faire. Elle avait maintenant l’habitude. Christophe lui mit un doigt, puis deux.
« As-tu envie de recevoir ma verge ?
— Par derrière ?! Mais ça ne rentrera pas, c’est trop gros !
— J’arrêterai immédiatement si cela fait mal.
— J’ai peur, mais je te fais confiance. »
Christophe retira sa main active sur le clitoris pour se lubrifier la verge, tout en continuant de s’occuper de l’anus de sa compagne. Il monta sur elle et dirigea son gland vers l’orifice, puis appuya. Cécile savait qu’elle devait « pousser » pour s’ouvrir. Le gland rentra doucement. Puis, par une série de mouvements lents et progressifs, Christophe enfonça le reste de sa verge.
« Je ne peux pas facilement te toucher, tu devrais passer une main sur ton clitoris. »
Cécile obéit. Alors commença un étrange rapport, lui bougeant doucement dans son fondement, elle se touchant. Il ne fut pas long à éjaculer. Il se retira.
À sa grande surprise, Cécile passa rapidement un pyjama.
« Que fais-tu ?
— Ça m’a donné une grosse envie d’aller aux toilettes ! »
Il fut planté là et alla se laver la verge. Quand elle rentra, elle avait l’air toute troublée.
« J’imaginais autrement mon dépucelage. Prise par derrière !
— Je ne voulais pas te chagriner.
— Tu ne m’as pas chagriné. Je l’ai accepté. J’ai même aimé, même si c’était inconfortable, ça avait quelque chose de grisant. Je crois que si je m’étais frottée un peu plus j’aurais eu un orgasme.
— Tu veux que je m’occupe de toi ?
— Là je voudrais juste un câlin dans tes bras. »
C’est au matin que la langue de Christophe fut conviée à accomplir son devoir.
Cher Aranam, Cécile a été très obéissan…
Délicieux et passionnant ?
Juste un re…