Les études de Marie-Jeanne
Un peu de tourisme
Le petit train-train continua : Marie-Jeanne étudiait, madame Granlean traduisait et, sur leur temps libre commun, madame Granlean lui prodiguait une éducation culturelle, sentimentale et sexuelle. De roboratives caresses le soir leur garantissaient un sommeil heureux ; parfois il y avait caresses à d’autres moments de la journée.
Madame Granlean recevait l’olisbos dans le vagin de temps en temps. « La sensation est exquise mais c’est un objet, j’aime bien aussi sentir directement vos doigts parce que c’est vous. »
Madame Granlean proposa à Marie-Jeanne de partir ensemble en week-end pour faire un peu de tourisme. Elles visitèrent un château et une église. Madame Granlean avait une grande culture et c’était intéressant de l’entendre commenter.
Il y eut un incident. Marie-Jeanne fut sifflée dans la rue alors qu’elle s’était écartée pour avoir un autre point de vue sur le clocher. Ce n’était pas la première fois que cela lui arrivait, mais cette fois-ci madame Granleau était là. Le jeune homme qui avait sifflé n’avait pas vu la veuve approcher derrière lui, et sursauta quand elle l’attrapa par l’épaule.
« Hé bien jeune homme ! Que faites-vous ! Pourquoi sifflez-vous cette jeune fille comme un chien ? Vous n’avez pas honte de manquer de respect aux femmes ? Et si votre mère vous voyait ?? »
Le jeune homme, qui quelques secondes plus tôt était fier de son attitude virile et conquérante, ne savait que dire devant cette dame vindicative. Il maugréa et battit en retraite. Madame Granlean était toute échaudée :
« Il y a des hommes décents. Mon mari en était. Malheureusement, il y a aussi beaucoup d’énergumènes qui n’ont pas compris que nous étions des êtres humains comme eux et non des chiens à siffler ou des bastions à conquérir par la force. »
Marie-Jeanne n’avait pas l’habitude d’aller au restaurant, mais madame Granlean était parfaitement à l’aise. Elle invita Marie-Jeanne a prendre un peu de vin ; la jeune-fille n’avait pas l’habitude et fut vite gaie !
Les deux femmes descendirent à l’hôtel. Madame Granlean demanda une chambre avec deux lits simples. Pour les tiers, il ne s’agissait que de deux dames voulant un peu économiser sur le coût du voyage. Ce que les tiers ne virent pas, c’est comment l’aînée emmena, main sur les fesses nues sous la chemise de nuit, la jeune femme à la salle de bains pour sa toilette intime, ni comment, une fois la jeune fille propre du « bas », ce fut au tour de l’aînée de s’asseoir sur le bidet jambes écartées pour subir le nettoyage, ni comment, agenouillée sur un coussin, la jeune femme alterna entre des léchages et des enfoncements de doigts pour amener l’aînée au plaisir, ni comment les deux femmes se serrèrent ensuite sous les couvertures et les doigts de l’aînée firent merveille entre les jambes de la jeune femme, ni comment elles recommencèrent les caresses le lendemain matin au réveil… après l’inévitable prise de température, que Marie-Jeanne aurait pu oublier mais qui lui fut rappelée, thermomètre en main, par son initiatrice.
Une deuxième journée de tourisme, et ce fut le retour. Marie-Jeanne était aux anges. Quant à madame Granlean, elle avait dit qu’il faudrait qu’elles se refassent des petits séjours comme celui-ci. La routine reprit.
Un soir, sortant l’olisbos en ivoire afin d’en faire profiter le vagin de madame Granlean, Marie-Jeanne remarqua, à propos de l’autre, celui en bois laqué plus fin.
« Tout de même madame. Je suis surprise que vous mettiez cette chose dans le fondement pour le plaisir.
— Vous êtes surprise, Marie-Jeanne ? Je suggère que ce soir cela soit votre tour.
— Heu enfin…
— Taratata. Vous pouvez bien sûr refuser, mais je suis sûr que cela sera instructif pour vous. Allez, suivez-moi à la salle de bains. »
Marie-Jeanne fit la moue, mais suivit. Madame Granlean commença à préparer le bock.
« Madame, est-ce bien nécessaire ?
— Pas forcément, mais vous aurez l’esprit plus libre pour vous consacrer à vos sensations si vous ne craignez pas la saleté. Et puis, faire une bonne selle ne vous fera pas de mal. »
Les paroles de madame Granlean résonnaient dans la tête de Marie-Jeanne alors que, fesses en l’air, elle recevait son petit lavement. « Faire une bonne selle » ! Cette femme commandait à ses fonctions les plus intimes ! Et cela pour la soumettre à la pénétration par cet objet…
« Allez-y. Si cela ressort sale, revenez me demander un autre lavement. »
Peu de temps plus tard, Marie-Jeanne revint des toilettes. Regardant le sol, elle dit
« Je crois madame que j’ai besoin d’un autre lavement. »
Une fois au lit, madame Granlean n’aborda pas directement Marie-Jeanne par la face postérieure. Les deux femmes se caressèrent. Marie-Jeanne se sentait bien, et était fort excitée, quand madame Granlean lui demanda de se mettre sur le ventre. Madame Granlean sortit l’olisbos fin et se mit à le graisser. Marie-Jeanne, la tête de côté, la regardait du coin de l’œil d’un air un peu apeuré. Madame Granlean oignit le fondement de Marie-Jeanne, puis plaça une main sous son ventre, doigts sur le clitoris, et commença à la masturber. De l’autre main, elle approcha l’olisbos et posa la pointe arrondie sur l’anus.
Elle commença par travailler doucement en poussant légèrement l’objet, le retirant, le poussant… tandis qu’elle continuait de s’occuper du clitoris et de la vulve. Marie-Jeanne finit par se détendre un peu. L’olisbos s’insinua alors légèrement dans son anus, et repartit.
« Poussez, Marie-Jeanne. »
Marie-Jeanne obéit. L’olisbos la pénétra lentement. Il fut bientôt enfoncé jusqu’à la poignée.
« Aaah.
— Vous ai-je fait mal ? Dois-je arrêter ?
— Non. C’est surprenant. Je sens mon trou bien ouvert.
— C’est le but. Laissez-vous aller. »
Madame Granlean reprit la masturbation, accompagnée de mouvement de l’olisbos. Marie-Jeanne se détendit, les mouvement s’amplifièrent. Madame Granlean appuyait un peu à l’intérieur du corps. C’était assez inconfortable, un peu humiliant, mais en même temps bon. Quand Marie-Jeanne sentait qu’elle approchait du plaisir, elle sentait son anus serrer l’intrus. Elle finit par jouir curieusement, les sensations anales s’ajoutant aux sensations du sexe.
« Madame, c’était bon mais très bizarre.
— Oui, c’est bizarre, et même parfois un peu douloureux.
— Là ça allait même si c’était plutôt inconfortable par moments.
— Regrettez-vous d’avoir essayé ?
— Non. Et… j’ai honte de le dire mais je pense que je recommencerai. »
Ah enfin !
Suis sur que maintenant qu…
Et voilà une initiation qui se complète…