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Vues: 667 Created: 2020.07.25 Mis à jour: 2020.07.25

Les études de Marie-Jeanne

Décembre

L’année touchait à sa fin, et la petite routine des deux femmes continuait.

Madame Granlean avait prudemment entrepris de passer son doigt au travers de l’hymen de Marie-Jeanne, sans grands mouvements susceptibles de le briser. Ainsi, disait-elle, elle serait plus familière des sensations à ce niveau, et cela lui éviterait des douleurs le jour où elle voudrait accueillir plus gros.

Marie-Jeanne se sentait légèrement humiliée que madame Granlean l’ait sodomisée. Elle se revoyait sur le ventre, soumise, tandis que l’objet allait et venait dans son fondement… Un soir, alors qu’elle allait chercher l’olisbos d’ivoire réclamé par la veuve, elle osa :

« Madame… et si nous utilisions l’autre ?

— L’autre je ne le mets pas par là.

— C’est bien cela que je veux dire. Je vous propose de vous mettre l’autre dans le derrière.

— Hé bien… Cela fait longtemps, et puis ce ne serait que justice. D’accord.

— Je vais donc devoir vous donner un petit lavement. Voulez-vous me suivre à la salle de bains ? »

Marie-Jeanne fut contente de l’expression de surprise sur le visage de sa logeuse. Elle était très amusée par l’idée de donner un lavement à cette dame qui lui en avait tant donnés.

Madame Granlean avait certes été déstabilisée par la proposition de recevoir l’olisbos dans le postérieur et surtout la proposition de lavement, mais elle reprit vite ses esprits.

« Réglez la température de l’eau… là c’est parfait. Remplissez le bock à un quart seulement. Il ne s’agit pas de me purger mais juste de me dégager le rectum. Chassez l’air du tuyau… »

Puis elle se mit en position.

Marie-Jeanne graissa la canule et l’approcha.

« Poussez, madame. »

Le lavement fut vite administré. Madame Granlean revint pour remercier Marie-Jeanne et annoncer qu’elle n’aurait pas besoin d’un second. Elle emmena avec elle une serviette, qu’elle installa sur le lit, y posa ses fesses et se mit sur le dos jambes relevées.

« Vous vouliez me le mettre dans le derrière ? Hé bien allez-y. »

Marie-Jeanne semblait chercher quelque chose. Elle revint avec un doigtier. Petite surprise de madame Granlean.

« Madame, je n’oserais pas y aller trop vite, j’ai peur de vous blesser. Je vais vous préparer. »

Un doigt caoutchouté et graissé se posa sur l’anus (« Poussez, madame ») et le pénétra, puis se mit à masser l’anus pour le détendre. L’autre main se mit à masturber la vulve.

Enfin, Marie-Jeanne retira son doigt, passa généreusement de la Vaseline sur l’olisbos, et le présenta à l’orifice.

« Prête ?

— Oui. »

Madame Granlean avait « poussé ». Marie-Jeanne lui rentra l’engin, et se mit à le faire doucement bouger d’avant en arrière. De l’autre main elle se remit à masturber madame Granlean.

Elle inclina légèrement l’engin pour le faire enfoncer en direction du vagin. Madame Granlean poussa un petit gémissement. Encouragée, Marie-Jeanne se mit à plat ventre sur le lit et se mit à lécher le clitoris tout en agissant sur l’olisbos.

Madame Granlean fut un peu lente à jouir, mais son plaisir fut bruyant.

Lorsque son aînée fut un peu remise de ses esprits, Marie-Jeanne lui dit d’un air taquin. « Je crois madame qu’il vaut mieux que nous allions à la salle de bains, que je puisse vous laver les fesses. »

Et c’est ainsi qu’une madame Granlean un peu honteuse se retrouva sur le bidet en train de se faire savonner l’anus. De retour au lit, c’est dans les bras de Marie-Jeanne qu’elle prodigua à celle-ci ses caresses digitales.

« Marie-Jeanne, je suis vraiment très heureuse que vous viviez avec moi. »

L’émotion était partagée.

Comments

Aranam Il ya 4 ans