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Vues: 662 Created: 2020.07.27 Mis à jour: 2020.07.27

Les études de Marie-Jeanne

Inattention touristique

Avec le retour de temps moins gris et de journées plus longues, madame Granlean suggéra plusieurs sorties touristiques. Marie-Jeanne était très heureuse de découvrir des villes, des monuments, des paysages qu’elle ne connaissait pas ou seulement de nom ou par des photographies. Comme précédemment, les deux dames descendaient à l’hôtel, prenant une chambre à deux lits simples.

Un des châteaux visités comprenait une petite exposition d’objets ayant appartenu aux propriétaires du temps de sa splendeur au dix-huitième siècle. Il y avait de la vaisselle, de l’argenterie, et même des affaires de toilettes, dont des pots de chambre et… une seringue à clystère. Marie-Jeanne ouvrit de grands yeux et fixa l’objet, de sorte que la guide s’impatienta et dit d’un air dédaigneux

« Ah, ça… il faudrait le mettre en réserve, de nombreux visiteurs posent des questions. »

La visite finie, madame Granlean taquina Marie-Jeanne.

« Alors, Marie-Jeanne ? Le clystère vous inspirait ?

— Euh… enfin je me disais que cela devait être embarrassant à recevoir.

— En effet. D’ailleurs on avait créé des seringues coudées afin de permettre de s’administrer le clystère à soi-même, et des dispositifs pour ne montrer que l’orifice anal à l’apothicaire. Mais sinon, oui, on montrait son derrière à un domestique du même sexe. Mais vous savez, aussi, le rapport à la pudeur de l’époque n’était pas le même qu’aujourd’hui, la Princesse Palatine raconte comment il était difficile de « chier », comme elle disait, à la cour du Roi Soleil. Vous vous imaginez accroupie sur un pot de chambre tandis que votre servante, qui vous a donné le clystère, attend pour vous torcher et emmener le pot à vider ?

— Quelle horreur ! »

Madame Granlean rit de l’indignation de Marie-Jeanne, d’un petit rire cristallin de jeune fille que démentait son âge.

Lors de la troisième sortie, lors d’un trajet en voiture, les deux femmes faillirent avoir un accident. Madame Granlean parlait avec animation de circonstances historiques lorsqu’elle fut interrompue par un bruit de freinage puis un grand coup de klaxon.

« Ah ! Quelle mauvaise conductrice je fais ! Je pensais que notre route était prioritaire et en fait ce croisement était une priorité à droite… J’aurais dû laisser passer cette voiture.

— Heureusement qu’il a pu freiner !

— Oui… pardonnez-moi, j’aurais dû moins parler et prêter plus d’attention à la route. »

D’ailleurs madame Granlean, toute remuée par le coup de klaxon et aux réflexes un peu diminués, freina un peu brutalement pour laisser passer des piétons sur un passage clouté.

« Il faut vraiment que je me concentre sur la conduite. »

Le reste de la journée se passa sans autre incident.

À l’hôtel, Marie-Jeanne aborda le sujet de l’accident évité.

« Madame, tout à l’heure vous avez été inattentive en conduisant.

— C’est vrai. Je devrais être plus prudente.

— Que s’est-il passé lorsque vous m’avez reproché mon inattention, d’où les clefs égarées ?

— Je vous ai… je vous ai donné la fessée. Oh… mais Marie-Jeanne… vous ne voulez tout de même pas… enfin… à mon âge.

— L’âge n’y fait rien, madame. Ne vous sentez-vous pas fautive ? Et si cette voiture n’avait pu nous éviter, elle nous serait rentrée dedans… sur la droite côté passager.

— Ah Marie-Jeanne n’en parlez plus ! Je frémis à l’idée de vous avoir fait prendre un risque. Je… enfin… Voulez-vous me la donner maintenant dans cette chambre ? Les murs sont en papier…

— Mais non madame, nous attendrons d’être rentrées et je vous la donnerai à votre coucher. »

Cette nuit-là, madame Granlean s’agenouilla pour donner du plaisir à Marie-Jeanne. En revanche, elle déclina l’invitation à la réciproque et préféra que Marie-Jeanne la serrât contre elle et lui frottât le clitoris.

Le tourisme du lendemain fut sans incident. Tout au plus il sembla à Marie-Jeanne que par moments madame Granlean était perdue dans ses pensées.

Le soir venu, de retour, après un dîner rapide et la toilette, Marie-Jeanne entendit qu’on frappait à la porte de sa chambre.

« Entrez. »

Madame Granlean, en chemise de nuit, avait l’air embarrassée.

« Je… enfin, je viens pour ma fessée.

— Très bien. Venez devant moi que je vous déculotte.

— Avez… avez-vous besoin du martinet ?

— Pas pour cette fois, non. Mais effectivement, la négligence en conduite automobile peut avoir de graves conséquences et cela pourrait à mon avis être adapté à la hauteur de la faute. Toutefois, puisque vous m’y faites penser… Sortez de vos pantoufles. »

Marie-Jeanne ramassa une des pantoufles. Madame Granlean balbutia et regarda ailleurs. Marie-Jeanne descendit la culotte de madame Granlean et la fit s’installer sur le lit de sorte que ses fesses étaient tournées vers sa main droite.

Marie-Jeanne commença par fesser madame Granlean à la main, pas trop fort, en couvrant bien toute la superficie du postérieur un peu ample qui s’offrait à elle.

« Alors madame, pensez-vous qu’il faille regarder la route ou se laisser entraîner par son discours ?

— Regarder la route, Marie-Jeanne.

— Bien. Et pour vous rappeler cela, je vais vous donner une bonne fessée. »

Comme madame Granlean l’avait fait, Marie-Jeanne se mit à frapper plus fort, utilisant d’ailleurs ses deux mains afin de donner un peu de repos à la dextre, qui chauffait aussi. En dehors des claquées, on entendait la respiration de madame Granlean, avec des à-coups quand un coup particulièrement fort l’avait marquée. Son postérieur lui cuisait quand Marie-Jeanne s’arrêta.

« Vous souviendrez-vous de cela quand vous conduirez ? De prendre garde ?

— Oui… oui Marie-Jeanne.

— Bien. Et pour que vous vous en souveniez, un petit bouquet final. »

Cette fois-ci, ce fut avec la pantoufle que Marie-Jeanne appliqua une courte rafale de coups bien marqués. Madame Granlean, n’y tenant plus, poussait de petits cris.

« Voilà. Vous pouvez vous relever. »

Le visage de madame Granlean était rouge et ses yeux fuyaient ceux de Marie-Jeanne. Celle-ci prit madame Granlean par la main et la ramena à sa chambre, la culotte toujours sur les jambes forçant à de petits pas.

« Regardez-vous. »

Madame Granlean dut admirer le travail de la jeune fille : son postérieur avait pris une belle couleur.

Marie-Jeanne la renculotta.

« Voilà. Une fessée et au lit. Couchez-vous. »

Marie-Jeanne fit des baisers à madame Granlean comme on l’eût fait d’un enfant que l’on met à dormir et que l’on borde.

Comments

clyso Il ya 4 ans