Christophe, jeune homme naïf

Cécile est une petite perverse

Cécile est une petite perverse

De retour à ses études pour encore deux semaines, Cécile ne savait pas s’il fallait qu’elle parle d’Anne à Christophe. Ils ne s’étaient certes jamais juré fidélité, mais n’est-ce pas implicite dans les relations de couple, n’est-ce pas au contraire l’autorisation d’expérimenter ailleurs qui doit être explicite ? Les pensées se bousculaient dans sa tête. « C’est une fille, cela ne compte pas ? » Hum. Comment réagirait-elle si Christophe l’informait que, pour essayer, il était allé sucer un garçon, voire se faire sodomiser par lui ? Et qui plus est, comment expliquer les fessées ?

Cécile, déboussolée, décida de ne rien dire. Le soir venu, elle rejoint Christophe dans son lit, lui caressa le torse, le fit durcir, le suça un peu, puis se mit sur le dos jambes écartées. Christophe la pénétra. Cécile semblait soucieuse, et ne parvenait pas à atteindre le plaisir. Elle finit par inviter Christophe à en finir. Il plaça ses mains sous ses fesses, la maintenant en position pour mieux la pénétrer vigoureusement. Le sperme coula. Christophe se pelotonna contre elle et s’endormit bientôt.

Cécile avait à nouveau les évènements du week-end à l’esprit. Le goût du gland de Christophe dans sa bouche lui avait rappelé le goût du sexe d’Anne, moins la petite pointe d’acide de l’orifice vaginal. Elle ne comprenait plus très bien où elle en était — elle qui il y a quelques mois encore était vierge, et n’avait même jamais vu de près un sexe masculin… ou féminin, en dehors du sien.

Le lendemain soir, Cécile eut une inspiration. Après avoir commencé les caresses, elle se mit sur le ventre et écarta les jambes, une main sous le ventre, les doigts sur son clitoris. « S’il te plaît, dans le cul. » Christophe était un peu étonné, mais il la prépara du doigt avant de la sodomiser. Cécile prit son plaisir, et invita Christophe à s’épancher. Cécile s’habilla prestement pour aller aux toilettes. Quand elle revint, elle se coucha près de son compagnon.

« Je sais que c’était une demande perverse.

— Ce n’est pas grave, je t’aime comme cela, ma petite perverse ! »

Les notes de fin de semestre arrivèrent enfin, notamment celle du projet qui avait tant inquiété Cécile. Une certaine détente s’installa.

Il était temps de se préparer au départ en stage. Christophe et Cécile, avant leurs petites tensions de couple, s’étaient arrangés pour faire leur stage en entreprise dans la même ville, où ils loueraient ensemble un studio. Ils se rendraient compte si la vie totalement en commun leur conviendrait.

Les deux tourtereaux furent séparés quelques jours, le temps pour chacun de ramener ses affaires chez ses parents, de refaire des bagages et de se rendre sur le lieu de stage. C’était tout de même agréable de disposer de sa propre kitchenette, de pouvoir aller aux toilettes sans passer devant des camarades ou ses parents… Une petite vie de couple, avec les courses ensemble à la supérette, s’installa.

C’est alors que Cécile, le soir, au lit, la main de Christophe lui lutinant les fesses, fit un aveu.

« Christophe, il y a quelques semaines, j’ai été pénible.

— Oh pas tant que cela, mais c’est vrai que tu étais nerveuse.

— Mon cœur… Je sais que ça va te paraître bizarre, mais j’ai envie que tu me donnes la fessée.

— Hein ? »

Cécile se retourna.

« J’ai envie d’être sur tes genoux et que tu me donnes la fessée. »

Devant l’air déterminé de Cécile, Christophe dut s’exécuter. Il s’assit sur le bord du lit, et Cécile vint sur ses genoux, postérieur offert. Christophe lui asséna une série de petites claques.

« Mon cœur. Désolé mais ça ce n’est pas une fessée. J’ai envie que ça claque vraiment.

— Mais enfin je n’ai pas envie que tu sois une femme battue ! Ces affaires d’il y a quelques semaines c’est du passé !

— Christophe… quand je t’ai demandé de me mettre ta verge dans le sexe, je savais que cela me ferait un peu mal, mais j’avais envie. Là j’ai envie que tu me donnes la fessée. Je ne peux pas t’expliquer pourquoi, mais j’ai vraiment envie. S’il te plaît… »

Christophe claqua plus fort. En fait, jugea-t-il, ce n’est pas désagréable. Il avait toujours aimé la vue et le contact des fesses de Cécile, et c’étaient clairement des zones érogènes pour elle. Là, le souvenir des petites piques et vexations des dernières semaines lui remontait à l’esprit. Ah, elle voulait une correction ! Elle allait l’avoir. Il se mit à claquer assez fort, des deux mains, sous différents angles.

Quant à Cécile, elle exultait. Ce fantasme qu’elle avait eu depuis les fessées d’Anne se réalisait, et, alors qu’on pourrait croire que la réalisation d’un fantasme serait décevante, celui-ci tenait ses promesses. Elle sentait la verge durcie de Christophe sous son ventre…

« Christophe j’ai envie que tu me prennes.

— D’abord tu vas prendre ta fessée. »

Christophe la fit un peu mariner dans son désir, en continuant de lui asséner des claques fortes mais espacées, qui lui faisaient trembler le gras du postérieur. Il lui passa la main entre les cuisses : elle était trempée.

« Maintenant va sur le dos. »

Christophe s’installa sur elle. D’abord un doigt, à titre de contrôle superflu de sa lubrification ; puis il la pénétra. Cécile ne fut pas longue à jouir. Elle l’invita ensuite à user d’elle pour son plaisir. Il la fit mettre sur le côté, la pénétra à nouveau, pétrissant d’une main ce fessier encore sensibilisé par les claques. Comme Cécile était maintenant très, très lubrifiée, le frottement dans son vagin apportait peu de stimulation, mais cela arrangeait finalement Christophe qui prit son temps avant de s’épancher.

Une fois leurs émotions reprises, Cécile remercia Christophe :

« Merci mon cœur. Je sais que c’était pervers, mais… enfin j’ai aimé la fessée, et me faire prendre avec les fesses encore sensibles.

— Tu es ma petite perverse. »

Ce que ne savait pas encore Christophe, c’est que Cécile avait de nouveau à l’esprit l’idée de lui rendre la pareille.

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Aranam Il ya 4 ans