Après notre petit rendez-vous secret, une semaine complète s'écoula sans que l'on reparle de ce qui s'était passé avec Sabrina. Je n'osai pas la relancer, mais avais très envie qu'elle revienne vers moi pour me proposer un autre rendez-vous. Par anticipation, je gardai toujours avec moi mon petit nécessaire dans le sac, juste au cas où.

Un soir, en fin d'après-midi, il n'y avait plus grand monde au bureau. Mon téléphone vibra et je reçu un message de Sabrina. C'était un message temporaire, qui s'effaçait après lecture, et celui-ci était plutôt clair : pas de texte, juste une photo, celle d'un suppositoire, probablement récupérée sur internet.

Je me levai et traversa le couloir jusqu'à son bureau, où elle était seule. Elle releva aussitôt la tête vers moi.

-On va prendre un café ? Dit-elle d'une voix élancée.

J'acceptai. Elle se leva et me précéda pour aller rejoindre la salle de pause. Aujourd'hui, elle portait des collants et une jupe mi-longue noire qui lui allait plutôt bien. Elle se servit un café et s'installa en face de moi après que j'eus fait de même.

Puis elle surveilla qu'il n'y avait personne en vue. C'est bon, on était seuls !

-Je me sens un peu constipée ! Fit-elle, à voix basse par précaution.

Je lui répondis, moi aussi à voix basse.

-Tu as besoin d'un petit traitement ?

Sabrina se mit alors à souffler, comme si elle était agacée, ou embêtée, je ne pouvais le dire.

-J'ai pas trop envie, fit-elle, mais je crois que je ne vais pas trop avoir le choix...

Je compris alors qu'elle s'amusait en jouant la comédie.

-Effectivement, il vaut mieux soigner ça sans perdre de temps, lui dis-je en rentrant dans son jeu.

Elle prit cette fois une mine embêtée, en plaçant une main sur son front.

-Le truc, reprit-elle, c'est que je n'arrive pas à prendre mon traitement seule.

-Si c'est juste ça, je veux bien t'aider, la rassurai-je.

-C'est vrai ? Alors je préfère ne pas perdre de temps. Tu peux venir m'aider juste après le café ? Même endroit.

Elle termina de boire son café, et s'en alla dans le couloir en direction des escaliers sans rien ajouter de plus.

Comprenant que c'était le moment, je pris le chemin du bureau pour récupérer mes affaires, et repartis à sa recherche. Comme la dernière fois, je la trouvais seule dans les toilettes des femmes, debout face au miroir.

-Service médical ! Plaisantai-je comme je nous savais seuls. Alors, on a un petit bouchon ?

Etant plus à l'aise que la dernière fois, et sentant que c'était le cas pour elle aussi, je déposai directement mon petit sac sur le bord de l'évier et sortis un emballage de suppositoire, que j'ouvris.

-Oui, fit-elle, je ne tiens plus !

En me voyant venir derrière elle comme l'autre fois, elle attrapa le bas de sa jupe, et la remonta petit à petit jusqu'en haut. Le collant qui couvrait ses jambes était un modèle qui couvrait également ses fesses.

-Attends, je vais t'aider à retirer ça, fis-je en m'accroupissant derrière elle et en portant mes mains pour l'agripper.

Mais Sabrina m'arrêta.

-Non, déchire-le directement au bon endroit

-Tu es sûre ?

Cette fois, elle parut réellement agacée.

-Puisque je te le dis ! Fit-elle.

Ne me faisant pas répéter, je m'exécutai. J'attrapai son collant de part et d'autre vers le bas de ses fesses, et tirai de chaque côté, assez fort, jusqu'à ce que ça cède. Un bruit de tissu déchiré retentit dans la petite pièce, tandis que j'ouvrais suffisamment son collant au niveau de ses fesses pour les faire apparaitre.

-Allez ! Mets-moi vite mon traitement, je ne tiens plus ! Répéta-t-elle.

J'allais porter le suppositoire entre ses fesses, quand je me rendis compte que j'avais oublié de le passer sous l'eau.

-Je m'en occupe tout de suite, répondis-je en me relevant.

Je passai rapidement le médicament sous l'eau du robinet, puis revins derrière elle.

En écartant ses fesses, il faisait malheureusement toujours trop sombre dans la pièce pour distinguer clairement son anus, mais je pouvais toutefois le localiser. Je posai la pointe du suppo, l'enfonçai légèrement comme la dernière fois jusqu'à ce que mon doigt touche son petit trou, puis poussai.

Mon doigt tendu enfonça la petite fusée dans son rectum, bien profondément. je sentis là aussi son intimité tiède tandis que je faisais l'aller-retour dedans. Une fois mon doigt ressortis, je relâchai ses fesses qui se refermèrent l'une sur l'autre sous la pression qu'exerçait encore son collant.

-C'est mis ? Fit-elle.

-C'est mis ! Répondis-je.

Je rangeai mon sac, prenant cette fois un peu de temps, au cas où elle aurait envie d'aller un peu plus loin. Je me risquai même à engager à nouveau la conversation.

-Tu n'as pas eu mal ? Demandai-je. J'y ai été peut-être un peu fort...

-Non t'inquiètes. Maintenant laisse-moi !

Je compris alors qu'elle était redevenue sérieuse, et voulait se retrouver seule dans les toilettes. Alors je quittai la pièce et la laissai tranquille.

C'était quasiment l'heure de rentrer, et Sabrina ne repassa pas par son bureau ce soir-là. Elle avait dû partir directement depuis les toilettes après s'être soulagée. Je ne reçu pas non plus de texto de sa part cette fois-ci. Je fus tenté de lui en envoyer un, mais me dit qu'il valait mieux la laisser tranquille.