Maddy en visite chez des amis
Eau savonneuse
Maddy avait convenu avec Robert et Louise qu'elle passerait chez eux une semaine de vacances. Ayant pris le train tôt le matin, elle pouvait ainsi arriver pour le déjeuner. Cependant, la jeune femme semblait manquer d'appétit. Louise finit par lui demandait si elle allait bien.
« Ce n'est rien j'ai juste… le ventre un peu chargé.
— Que veux-tu dire ? Des gaz ?
— Un peu et puis… enfin je suis constipée. Ce n'est pas grave.
— Depuis combien de jours n'es-tu pas allée à la selle ? ».
Maddy rougissait de devoir parler de choses pareilles.
« Au moins quatre jours.
— Au moins quatre jours ! Et peut-être plus ! Qu'as-tu essayé pour faire passer ça ?
— Rien de spécial.
— Très bien. Tout à l'heure, je te donnerai un lavement. »
Maddy rougit encore plus.
Le repas fini et desservi, l'heure fatidique arriva. Louise déboucha dans la chambre d'amis où logeait Maddy, et installa une feuille caoutchoutée sur le lit.
« Il va falloir que tu quittes ton pantalon et ton slip. »
Louise repartit, et revint portant une cuvette d'eau savonneuse, qu'elle posa sur la feuille.
« Hé bien, pas encore déshabillée ? »
Louise repartit encore et revint avec du matériel, dont un étrange tuyau avec un bulbe au milieu, qui devait servir de pompe. Maddy l'attendait, pantalon et culotte enlevés, mains devant le pubis, le visage rougissant, le regard fuyant ailleurs.
« À la bonne heure. Allonge-toi sur le dos, les fesses par là… »
Louise passa un gant de latex. Sur ces entrefaites, Robert arriva, annonçant qu'il en avait fini de la vaisselle. Maddy se serait bien passé d'un spectateur !
« Remonte tes genoux vers ta poitrine, sans les serrer. »
Maddy rougit à l'idée de la posture qu'elle allait devoir adopter, et du spectacle qu'elle offrirait,, mais elle obéit. Louise s'approcha, se pencha, et acheva de lui écarter les fesses.
« Bon tu n'as pas l'air d'avoir l'anus blessé… par contre ça ne sent pas la rose, depuis combien de temps ne t'es-tu pas lavé la zézette ?
— La zézette ? Je ne sais pas !
— Bon ! Nous verrons tout cela. D'abord ta constipation. Pousse comme pour faire caca. »
Maddy obéit. Louise lui enduisit l'anus de lubrifiant, puis plongea son doigt gant à l'intérieur. Un embarrassant toucher rectal s'ensuivit. Le doigt se retira enfin.
« Oui, on sent des selles dures au fond. Hé bien ma petite nous allons te déboucher. »
Louise amorça la pompe en pompant l'eau de la cuvette vers la cuvette, puis lubrifia la canule.
« Relève tes cuisses à nouveau. »
Maddy s'exécuta, et Louise introduisit la canule dans l'orifice lubrifié, avant de commencer à pomper. Maddy sentit l'eau commencer à arriver. Elle était à température du corps ou légèrement plus élevée, ce n'était pas désagréable.
« Tu peux reposer tes pieds sur le lit. »
Maddy suivit la suggestion. Louise plaça une main sur le ventre de Maddy pour la masser, tandis que de l'eau elle continuait à pomper lentement. Maddy commençait à ressentir une sensation bizarre dans son ventre. Maddy s'alarma quand elle sentit que son rectum commençait comme à vouloir spontanément expulser le liquide.
« Louise je dois y aller !
— Allons essaye de tenir un peu plus. » dit Louise en donnant un coup de poire supplémentaire.
Maddy passait un moment inconfortable.
« Louise ! J'ai peur de me faire dessus !
— Bon d'accord. Tu peux y aller. »
Maddy se rua vers les toilettes. Le temps qu'elle se relève en faisant attention de ne pas céder à la pression, elle avait toutefois été précédée dans la salle de bain par Louise, qui, avec un petit sourire ironique mais également emprunt de tendresse, la regarda expulser son lavement.
Maddy tendit la main pour saisir le papier toilette, mais le rouleau était dans la main de Louise.
« Lève-toi et penche-toi. »
Torchée comme une gamine ! pensa Maddy, tandis que Louise lui nettoyait les fesses.
Avant de jeter le papier dans la cuvette, elle en observa le contenu.
« Hé bien on dirait que tu avais bien besoin de ce lavement. »
et elle tira la chasse.
Mais déjà une colique reprenait Maddy, qui dut s'installer à nouveau pour expulser encore du liquide diarrhéique, puis des gaz.
Quant elle sentit que c'était vraiment fini, elle dut encore une fois présenter son postérieur à Louise pour l'essuyage.