Maddy en visite chez des amis
Camomille
Ce premier lavement avait été fort embarrassant pour Maddy. La position d'administration lui avait fait exposer non seulement son petit trou, mais aussi sa zézette, et avait donné l'occasion à Louise de constater un certain manque d'hygièneà ce niveau. L'eau savonneuse lui avait donné d'irrépressibles coliques, et elle avait failli tout lâcher avant d'atteindre les toilettes. L'expulsion du lavement avait été un grand moment d'indignité, de même que le constat de l'abondante quantité de « caca » dans la cuvette, et l'essuyage des fesses comme d'une gamine de trois ans avait été la cerise sur le gâteau.
Cependant, Maddy n'était pas encore tirée d'affaire. Robert arriva en indiquant que la camomille était prête.
« Très bien. Maddy, retourne sur le lit et attends-nous. »
Maddy se demandait quel sort allait lui être réservé. Elle entendait des bribes de conversation
« Cette fois-ci je vais utiliser la canule de rétention… Tout à l'heure elle a failli avoir un accident, ne prenons pas de risques. Attends que je la monte bien… »
Maddy vit arriver de la cuisine Robert portant une cuvette odorante, la fameuse camomille de toute évidence, tandis que Louise portait l'appareil à lavement, mais cette fois-ci équipé d'une drôle de canule, dont pendaient deux poires à gonfler.
« Comme tout à l'heure, tu t'allonges les fesses ici et tu remontes tes genoux sur ta poitrine. »
Maddy ne bougea pas. Louise passa un gant et enduisit la canule de lubrifiant en la regardant d'un air quelque peu ironique, mais non dénué de tendresse.
« Robert, veux-tu bien l'aider ? »
Robert se saisit des chevilles de Maddy, et avant que celle-ci ne se fût décidée à franchement résister, elle se retrouva les cuisses ouvertes et les genoux sur la poitrine. Maddy se sentait à la fois embarrassée, et étrangement excitée de montrer sa zézette ainsi à Robert.
Louise lui plongea un doigt ganté et lubrifié dans l'anus. La lubrification achevée, la doigt retiré, ce fut le tour de la canule, clairement plus épaisse que celle de tout à l'heure, qui fut insérée sans brutalité mais sans hésitation. Maddy s'habituait à peine à sentir cet engin dans son rectum que Louise se mit à appuyer sur la poire pneumatique, et Maddy sentit alors la canule gonfler. Une fois le ballon interne gonflé, Louise gonfla aussi un ballon extérieur. Maddy comprit alors le dispositif : son anus serrait la canule entre le ballon gonflé dans son rectum et celui gonflé entre ses fesses, et aucune fuite ne serait possible.
Robert reposa les chevilles sur le lit. De toute façon, la canule ne risquerait pas d'être délogée ! Mais déjà Louise pompait la camomille dans le ventre de Maddy.
Le lavement était plus facile à prendre que le premier : le ventre de Maddy était déjà bien dégagé, et la camomille était apaisante tandis que l'eau savonneuse était destinée à faire « aller ». Louise massait le ventre de Maddy pour la détendre. La pression montait toutefois, Louise donnant un coup de poire de temps en temps pour injecter plus de solution.
« Hé, mais, attends… »
Le doigt de Louise, de sa main non gantée qui caressait le ventre, se posa sur la vulve de Maddy.
« Mais tu es mouillée ! Mais, quelle petite cochonne ! Ça t'excite de te faire donner un lavement ? »
Louise enleva son gant, qui avait pénétré le rectum, et enfonça un doigt dans le vagin de Maddy.
« Mais oui ! Ben dis donc ! »
Louise entreprit de masturber Maddy, le majeur droit pénétrant le vagin, et lui masturbant le clitoris de la paume, tandis que l'autre main massait le ventre. Parfois les doigts de la main gauche descendaient directement sur le clitoris. Louise insista dans cette position, et Maddy poussa un petit glapissement.
Maddy avait joui. Louise continua le massage, et même remit des doses de camomille. Celles-ci achevèrent Maddy.
« J'ai mal au ventre, je dois y aller !
— D'accord. »
Louise accompagna Maddy à la salle de bains, tenant l'appareil à la main. Elle fit mettre la patiente au dessus de la cuvette des toilettes, prête à s'asseoir, et dégonfla alors le ballon externe, puis le ballon interne, avant de retirer l'appareil. Maddy sentit déjà du liquide partir alors que la canule n'était pas encore finie de retirer. Elle rougit. La canule complètement retirée, se retenant du mieux qu'elle pouvait, elle put s'asseoir et enfin se soulager.
Maddy expulsa la camomille… et aussi urina, car une partie du liquide avait dû être absorbé au travers de l'intestin. Pendant cette double vidange, elle ne put pas soutenir le regard de Louise et Robert et regardait ses pieds.
« Fini ? Penche toi et tends les fesses, que je te torche. »
Une fois essuyée, Maddy dut marcher un peu dans la salle de bains, tandis que Robert et Louise inspectaient sa production. Elle ressentit à nouveau le besoin de se vider.
Louise s'approcha.
« Écarte les cuisses. »
Maddy s'exécuta, et Louise lui essuya la vulve. « Il faudrait laver tout ça, tu sens le pipi comme une petite fille, mais nous verrons cela plus tard. »
Puis elle se leva et fut à nouveau torchée.
« On l'envoie à la sieste ?
— Oui, elle semble bien fatiguée avec les lavements et l'orgasme. Prépare une couche. »
Maddy vit avec horreur Robert déplier une couche format adulte.
« Mais ! Je ne suis plus un bébé !
— Tu viens de prendre un lavement et des petites fuites sont possibles pendant ton sommeil. Tu ne veux pas risquer de faire dans ta culotte ? »
Maddy fut invitée à poser ses fesses sur la couche et à remonter ses cuisses, tandis que Louise refermait la couche.
« Voilà. Maintenant, une bonne sieste pour te remettre de tes émotions. »
Maddy ne tarda pas à s'endormir.
Bravo pour ces deux étapes.