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Les études de Marie-Jeanne

Le retour d'Yvonne Granlean

Le retour de madame Granlean posait quelques problèmes pour Marie-Jeanne. Bien que les deux femmes ne se fussent pas promis fidélité, elle se sentait coupable de ses expérimentations. Elle n'eut cependant pas le temps d'avoir des états d'âme : Mme Granlean lui mit la main aux fesses dans la cuisine, Marie-Jeanne se sentit toute chose (et mouillée de l'entrecuisse) et les deux femmes ne tardèrent pas à passer au lit après le repas.

Les lèvres et les mains des deux femmes se portèrent partout sur leurs corps nus. Elles n'avaient même pas pris le temps d'une toilette du soir, et certaines odeurs piquaient un peu les narines ; mais elles n'en avaient cure. Marie-Jeanne enfonça un, puis deux doigts dans le vagin de Mme Granlean et lui administra un massage interne. La respiration de Mme Granlean s'accéléra, son corps se secoua et elle repoussa la main de Marie-Jeanne.

Marie-Jeanne avait plus de difficultés à se laisser aller aux caresses. Les jeux avec Agnès lui revenaient à l'esprit ; elle songeait, par exemple, à comment elle n'avait pas osé pénétrer la jeune fille.

« Vous semblez soucieuse… Quelque chose ne va pas ? »

Cette question, bien intentionnée, affolait encore plus la jeune fille : devait-elle ou non parler d'Agnès ? Elle était toute tendue…

« Des problèmes dans vos études ? »

« Oh non, » se disait Marie-Jeanne, « qu'elle cesse de poser des questions ! »

Mme Granlean, afin de détendre l'atmosphère, risqua une plaisanterie « Allons, Marie-Jeanne, si vous continuez de ne pas vouloir me dire ce qui ne va pas je vais vous donner la fessée ! »

À la grande surprise de Mme Granlean, Marie-Jeanne, rougisseante, répondit que cela lui ferait peut-être du bien. Mme Granlean lui jeta un regard intrigué, puis eut un petit sourire.

« Je reviens dans une minute. »

Mme Granlean revint avec une trousse de toilette, qu'elle posa à côté d'elle tandis qu'elle s'asseyait sur le lit. Elle pointa ses cuisses.

« En position, mademoiselle. »

Marie-Jeanne se retrouva allongée sur le lit, le milieu du corps sur les cuisses d'Yvonne Granlean. Pourquoi cette trousse de toilette ? Le nez sur l'oreiller, les fesses bien exhibées, elle entendit la fermeture éclair et des bruits de préparation, puis eut la réponse à ses interrogations quand elle sentit ses fesses être écartées et un thermomètre lubrifié pénétrer son anus.

« Vous avez un comportement bizarre, je vais vérifier si vous n'êtes pas malade. »

Marie-Jeanne eut droit à un interrogatoire détaillé : avait-elle mal à la gorge, à la tête, au ventre, rappelez-moi les dernières menstruations, comment s'étaient-elles passées, et le transit intestinal… ?, tandis que la main de madame Granlean reposait sur ses fesses en tenant le thermomètre.

Quand le délai de trois minutes fut fini, Mme Granlean retira le thermomètre et essuya l'anus. « 37,4°C, pas de fièvre ». Marie-Jeanne sentit une odeur d'alcool.

« Bien, passons aux choses sérieuses. »

La fessée commença. Il ne s'agissait pas, comme on aurait pu le penser, de petites claques douces à la limite des caresses. Sans y aller démesurément fort, elle donnait une vraie fessée qui claquait.

« Je me suis fait mal à la main en bricolant tout à l'heure. Je pourrais bien sûr vous faire vous installer dans l'autre sens, mais, en allant récupérer le thermomètre, j'ai repensé à une chose que j'avais lue… Je vais essayer quelque chose. »

De nouveau les bruits de trousse de toilette qu'on ouvre.

Marie-Jeanne sentit une bonne claque, bien sonore, sur sa fesse droite, bientôt suivie de l'identique sur sa fesse gauche. Les deux coups avaient laissé une impression cinglante dans le fessier déjà bien chauffé par la main. Elle se tourna pour voir ce qui l'avait frappé. C'était une brosse à cheveux en bois !

Mme Granlean n'avait pas besoin de frapper fort avec cet instrument. Variant les angles, elle acheva de donner une couleur rosée au postérieur de Marie-Jeanne, qui poussait maintenant des petits cris plaintifs.

« Vous vouliez une fessée ? Vous l'avez eue. »

Son fessier semblait à Marie-Jeanne chaud, sensible et comme pris d'une démangeaison générale. La main de Mme Granlean le caressait, et cela provoquait d'étranges sensations.

« Écartez les jambes. »

Marie-Jeanne s'exécuta. Tandis que la main gauche de Mme Granlean lui caressait les fesses, et même parfois l'anus, sa main droite lui caressait la vulve et le clitoris. Marie-Jeanne imaginait son postérieur surélevé, dont la peau irradiait encore de la fessée, comme exhibé. Elle eut la pensée d'une fessée en public, devant d'autres femmes, montrée comme une vilaine fille. Le doigt de Mme Granlean pénétra avec précaution le vagin mouillée, puis se retira, revenant au clitoris.

Marie-Jeanne jouit.