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Vues: 249 Created: Il ya 9 mois Mis à jour: Il ya 9 mois

Madame Joux

Un coup de sonnette

Jean-Pierre m'avait dit d'aller voir Mme Joux, au 11 rue Grazières. Je connaissais cette dame de vue, je lui disais parfois bonjour à l'épicerie, quand je ramenais les courses pour maman.

J'étais tout de même bien intimidé quand j'ai sonné. Elle était étonnée de me voir. Je lui dis que je venais pour lui parler de la part de Jean-Pierre. Elle me fit rentrer.

« Alors ?

— Hé bien… Jean-Pierre m'a dit que… enfin, que vous… heu… »

Mme Joux, veuve un peu replète, la cinquantaine bien sonnée, eut un petit rire.

« Que je pourrais m'occuper de toi comme je m'occupe de lui ?

— Oui, voilà.

— À la bonne heure. J'ai un peu de temps, là. »

Elle m'amena jusqu'à sa chambre.

« Hé bien, montre le moi, ce zizi. Baisse moi tout ça. »

Cela faisait longtemps que je ne m'était pas déculotté devant une dame… la dernière fois ce devait être maman qui m'avait donné la fessée, ou la doctoresse qui m'avait examiné ? Mais j'obéis.

Mme Joux s'assit sur le lit, me regarda le sexe, fit jouer ma peau.

« Ce n'est pas très propre et ça ne sent pas bon. Tu ne sais pas qu'on ne se présente pas comme cela devant une dame ?

— Heu désolé madame.

— Déshabille toi complètement. »

J'obéis. Mme Joux me dirigea alors vers la salle de bains en me tapotant les fesses. Je sentis ma verge se durcir… c'était la première fois qu'une femme me mettait une main aux fesses !

Elle me fit prendre place dans la baignoire, me savonna le sexe et le rinça. Avec toutes ces manipulations, j'étais devenu raide…

« Tant que j'y suis, tourne toi. Je parie que si le devant est sale alors le derrière aussi. »

Je n'avais pas été lavé là depuis la petite enfance, mais il fallut bien y passer. Mme Joux me sécha.

« Maintenant tu vas t'allonger sur mon lit. »

Mme Joux s'assit près de moi et s'empara de ma verge. Celle-ci était déjà dure et il ne lui fallut guère d'efforts pour obtenir ce que mes copains et moi appelions une belle trique. Elle se pencha sur moi et me suça le gland.

J'avais beau être inexpérimenté, j'avais entendu parler de la « pipe » et je m'attendais à ce que la succion se poursuive, mais Mme Joux voulait juste me lubrifier le sexe. Elle reprit sa manipulation manuelle tout en me regardant dans les yeux.

Elle jouait avec mon excitation, sentant à mon regard, à ma respiration, quand j'approchais du plaisir. Elle eut un petit sourire, accéléra, et je lui éjaculai sur la main.

En femme expérimentée, elle avait prévu un mouchoir pour s'essuyer et m'essuyer, et me ramena à la salle de bain pour un nettoyage plus poussé. Puis je me rhabillai.

« Pourras-tu passer samedi à 16 heures ?

— Oui, je crois. »

Je rentrai chez moi. J'étais à la fois très enthousiaste et déçu. Enthousiaste car jamais une fille ne m'avait fait ce qu'avait fait Mme Joux. Déçu car j'avais à l'esprit qu'elle me dépucèlerait…