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Vues: 207 Created: Il ya 9 mois Mis à jour: Il ya 9 mois

Madame Joux

La langue

Je revins à l'heure dite. Mme Joux m'attendait. Cette fois-ci, elle m'offrit de prendre un café ou un thé. Je ne connaissais pas cette dernière boisson et acceptai, à titre de curiosité. « Earl Grey ? » dit elle. Je ne savais pas de quoi elle parlait, j'avais peur de paraître gourde.

Pendant que la tasse infusait, elle ne perdit pas son temps. Les persiennes du salon avait été tirées, personne ne pouvait nous voir et elle me demanda de me déshabiller, bien sûr totalement. Je m'exécutai. Elle me pelota les fesses, comme j'avais vu des garçons faire à des filles, Je me mis à bander. Elle me soupesa les bourses, puis me décalotta la verge. Elle se sentit la main, puis s'agenouilla pour me prendre le gland dans la bouche. Elle me suça un temps, puis se releva.

« Tu vois ? Si tu te présentes poliment devant les dames, elles peuvent te rendre la politesse. »

Je m'étais effectivement lavé le sexe, et même l'entrefesse, avant de venir. Elle me tendis la tasse.

Pendant que je buvais ce breuvage dont je n'étais pa familier, elle me demanda.

« Tu penses que je vais te dépuceler aujourd'hui ? ».

Je crus m'étouffer avec le liquide. Mme Joux, un peu goguenade, semblait jouer avec moi. Je ne savais que répondre.

« Tu le voudrais ? ».

Que faire ? J'opinai de la tête, mes yeux ne rencontrant pas son regard.

« Hé bien ce ne sera pas pour aujourd'hui, mon grand. »

Ma déception devait être terriblement visible ! Mme Joux eut un petit rire.

« Mais je ne crois pas que tu vas t'ennuyer pour autant. Viens. »

Troussant sa robe courte, elle s'assit dans un grand fauteuil. Elle acheva de relever son vêtement. Elle ne portait pas de culotte, je voyais bien sa toison, qui comme ses cheveux était veinée de blanc. Elle écarta grand les jambes.

« Agenouille toi et regarde. »

Je n'avais jamais vu de sexe de femme, si ce n'est un vague schéma dans une encyclopédie. Elle me fit un petit cours : les grandes lèvres, les petites lèvres, l'entrée du vagin, le clitoris, dont elle précisa qu'il était comme mon gland.

« Et maintenant, lèche moi. Surtout le clitoris. Ne t'inquiète pas, je suis passé sur le bidet avant que tu ne viennes. »

J'obéis. Ce n'était pas désagréable, à part parfois les poils rèches sous la langue, et un peu de fatigue de cet organe, pas habitué à cet exercice. Je devais parfois reprendre ma respiration, ou reposer ma langue en faisant des petits baisers sur le sexe bien présenté. Mme Joux guidait ma tête. J'entendis sa respiration se faire plus rauque, puis elle me repoussa.

« Merci, mon petit. Tu apprends vite. »

Je compris que j'avais fait jouir Mme Joux. Une grande fierté m'envahit.

Mme Joux se releva, laissa retomber sa robe, et me dit que je pouvais me rhabiller. Ma déception, là encore, dut être bien visible sur mon visage.

« Hé bien ? Quelque chose ne va pas ?

— C'est que, madame, j'aimerais que… vous… enfin comme la dernière fois. »

Elle me regarda d'un air bienveillant, s'assit et me fit signer d'approcher. Elle se pencha en avant pour me sucer la verge.

« Ton cul est propre ?

— Je me suis lavé avant de venir.

— Très bien mon garçon. »

Elle me fit asseoir sur ses genoux, en travers, et entreprit de me masturber. Là encore, il ne fallut pas trop de temps pour que j'éjacule.

Comme la dernière fois, elle m'essuya et me fit une petite toilette avant de me faire rhabiller.