6 members like this


Vues: 288 Created: Il ya 7 mois Mis à jour: Il ya 7 mois

Curiosités malvenues

Pierrick, exception en France

Pierrick sortait depuis peu avec Sophie. Celle-ci était mignonne, vive, et plutôt active au lit. Elle formait avec ses amies Anne et Sylvie un trio redoutable.

Ce soir, Sophie avait invité ses deux amies au studio qu'elle partageait avec Pierrick. La conversation passait d'un sujet à l'autre. Anne racontait son expérience de stage aux États-Unis, son passage un week-end dans un parc naturel avec des rangements à nourriture à l'épreuve des ours, certaines coutumes bizarres…

« Un truc que j'ai appris là-bas : presque tous les hommes américains sont circoncis à la naissance !

— Pourquoi font-ils ça ?

— Hygiène, apparemment.

— En France, il n'y a que les juifs et les musulmans, non ?

— Pas tout à fait », intervint Sophie, « il y a aussi des raisons médicales, par exemple c'est le cas de Pierrick. »

Pierrick, pour qui le sujet de la circoncision était sensible, s'était déjà détourné dès son évocation au prétexte d'aller aux toilettes. Il sursauta quand sa copine révéla ce détail intime. Assis sur les WC, il regarda son gland bien dégagé…

« Ah oui il me semble avoir entendu parler d'une opération sur le zizi de mon cousin. En tout cas jamais vu de bite circoncise. »

C'était quelques années avant que l'accès généralisé au Web ne permette à chacun ou chacune de satisfaire sa curiosité…

« Peut-être Pierrick voudrait-il nous montrer ? » rit Sylvie.

Pierrick ne savait plus où se mettre quand il revint. Sophie l'accueillit d'un air goguenard.

« Mon chou, figure-toi qu'Anne et Sylvie n'ont jamais vu de bite circoncise. Tu sais comme j'avais moi-même été surprise. Dans l'intérêt de la science et de l'éducation, voudrais-tu leur montrer ? »

Pierrick crut passer à travers le plancher, et ouvrit de grands yeux.

« Oh oui Pierrick, montre-la nous. » minauda Sylvie.

« Pour la Science ! » ajouta Anne d'un air triomphant. Décidément, les études universitaires et l'alcool montaient à sa tête !

Pierrick jeta à Sophie un regard implorant.

« Rho la la Pierrick enfin, elles ne vont pas te manger ! Je suis sûr qu'elles admireront ! »

Anne se rappelait de la fin de l'enfance, où certains de ses camarades subissaient la « mise à l'air » — qu'elle avait rarement observée. Elle n'aurait jamais pensé revivre pareillee scène une fois adulte !

Pierrick la regarda encore une fois. Ne voulant pas passer pour un rabat-joie, ils défit sa braguette et libéra le petit oiseau au crâne déplumé.

« Contentes ? Vous avez vu ? »

Il commençait déjà à se rhabiller quand Sylvie intervint.

« Heu, en fait, j'aimerais regarder de plus près. Pourrais-tu t'allonger sur le lit ?

— Oui, laisse les un peu satisfaire leur curiosité », lui dit Sophie.

Pierrick soupira, s'allongea sur le lit et sortit sa verge.

Sylvie s'avança, la regarda de près, puis, s'enhardissant, la souleva pour inspecter l'envers.

« Tiens c'est bizarre, là.

— Je crois que c'est ce qui reste du… du frein. » s'enhardit Anne, qui avait dû s'informer sur le sujet suite à une histoire de déchirure de cet organe.

Anne observa elle aussi la verge, tirant même sur la peau pour voir jusqu'où elle se déroulait, comparant avec ses souvenirs.

Pierrick faisait face maintenant à un autre problème : ces manipulations induisaient une érection, une de ces érections fortes qu'on a quand on a la petite vingtaine d'années, malgré l'alcool. Sophie observa « Tu vois que finalement cela ne te déplaît pas ! ». Quand à Sylvie, après un « je peux, moi aussi ? » elle se mit aussi à manipuler la peau. Pierrick atteint une érection complète. On voyait clairement le trait de la cicatrice séparant la peau d'un petit cylindre rosé, lisse et tendu, sous la couronne du gland. Sylvie et Anne voyaient maintenant la différence avec leurs "ex" en érection…

Sophie avait une étincelle dans le regard. « Bin dis donc, Sylvie, au point où tu en es tu pourrais le branler.

— Hein ? Moi branler ton copain ?

— Pourquoi pas ? J'ai mes règles, le pauvre chou devra se passer de pénétration, ça serait pas mal qu'il ait une petite satisfaction ! »

Pierrick ne savait plus où se mettre. D'un côté, au point où il en était il avait effectivement envie d'être soulagé, de l'autre l'idée de se faire branler en public comme ça, devant sa copine qui observerait, lui semblait trop bizarre. Mais déjà Sylvie s'activait.

Pierrick fit alors la grimace. Sophie interrompit Sylvie. « Alors là tu lui fais mal. Moi aussi ça m'arrivait… Si tu t'y prends comme avec les mecs intacts, comme si tu pouvais faire coulisser la peau, tu vas frotter sur la cicatrice et la blesser.

— Alors comment faut-il faire ?

— Le mieux est de lubrifier.

— Tu as quelque chose pour ça ? De… de la Vaseline, peut-être ?

— Non… Tu sais que moi je ne prends pas dans le cul, même si Pierrick aimerait peut-être essayer. Il te suffit de sucer un peu et de sucer à nouveau si ça se déssèche.

— Sucer ton mec ?? Mais… je…

— Ne fais pas ton innocente. Il ne te fait pas envie ? »

Sylvie se pencha et prit son gland dans la bouche, en déposant une bonne dose de salive. Puis elle reprit la masturbation, qui était maintenant plus confortable. « Ne serre pas trop », lui conseilla Sophie. Sylvie expérimenta diverses façons de frotter, en regardant le visage de Pierrick pour voir si cela lui convenait. Le pauvre garçon gardait les yeux mi-clos, n'osant croiser les regards. Il fallut lubrifier à nouveau deux fois. La respiration de Pierrick se fit plus rauque. Puis, malgré les circonstances intimidantes, sa verge fut parcourue de spasmes et du sperme jaillit, sur la main de Sylvie et sur les draps.

Pierrick se réveilla en sursaut. Il avait envie d'uriner. Sophie le vit « mon pauvre chou ! tu devais être crevé ! tu sais que tu as rêvé ? ça tombe bien que tu te réveilles, Anne et Sylvie sont censées arriver dans dix minutes ! ».

Comments

michel013 Il ya 7 mois