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Vues: 188 Created: Il ya 7 mois Mis à jour: Il ya 7 mois

Curiosités malvenues

La veuve poignet

Le jeune François Meunier, 18 ans, était chanceux : il pourrait repousser son service militaire afin de faire des études supérieures. Et quelles études ! Le droit, avaient raisonné ses parents, lui permettrait d'atteindre aux positions sociales bourgeoises, dans la lignée de ses parents. Il était le petit dernier choyé. Ses trois sœurs aînées, dans les idées de l'époque (mai 68 n'était pas encore passé par là) devaient se marier et faire des enfants, mais lui représentait l'avenir de la famille.

Autant dire que maman Meunier n'avait aucune envie, lorsque son fils s'en fut étudier à la grande ville, que celui-ci tombe dans les travers des étudiants qui fréquentent les débits de boisson, les _surprise-parties_, les filles de mauvaise vie, ou encore compromettent des filles de bonne famille. Non non non, il n'y aurait rien de tout cela. Elle s'était arrangée pour que François loge chez une veuve de toute confiance, Mme Salein, qui lui fournirait gîte et couvert (sauf le midi en semaine, où il serait à l'université)… et surveillerait ses sorties. Que voulez-vous, à cette époque, à 18 ans on était encore mineur…

François, jeune homme assez timide, était donc passé des jupes de sa mère à celles de Mme Salein, et, après tout, cela lui convenait assez bien. Il aurait, bien sûr, bien cherché à fréquenter des filles, mais cela était bien compliqué ; il se contentait de séances de masturbation essuyées à l'aide de mouchoirs dont il assurait lui-même la lessive, habitude prise chez lui (il se souvenait d'une bonne fessée reçue quand sa mère l'avait surpris en pleine séance d'onanisme).

Au moins de décembre, François tomba malade. Mal de tête, suées alternant avec du froid, pas de doute, il n'allait pas bien. Mme Salein, revenant avec un thermomètre, le lui tendit, et l'invita à se prendre la température. François, comme à son habitude en famille, s'allongea et se mit le thermomètre au creux de l'aisselle.

« François, ce n'est pas une méthode fiable. Que ce soit pour moi ou mes enfants, j'ai toujours privilégié la voie rectale.

« Rectale ? Vous voulez dire… dans le derrière ?

— C'est cela, oui. C'est la meilleure méthode, votre mère ne faisait pas ainsi ?

— Si, quand j'étais petit, mais maintenant je prends sous le bras.

— Hé bien dans cette maisonnée on prend dans le derrière. Allez, mettez vous sous les couvertures.

— Mais c'est que, madame… Je ne l'ai jamais fait ! »

« Quel empoté », se dit Mme Salein. « Et donc, voulez-vous que ce soit moi qui vous le fasse ? », le défia-t-elle. Elle ne s'attendait certainement pas à sa réponse : « s'il vous plaît, oui ». Un peu interloquée, mais ne pouvant reculer, elle lui demanda de baisser son pantalon et son slip et se coucher sur le côté. Il s'exécuta. Elle s'apprêtait à lui écarter les fesses pour lui mettre le thermomètre quand elle eut une inspiration : « attendez, si c'est moi qui le fais ce sera plus facile en graissant le thermomètre ». Elle revint après avoir mis un peu de margarine sur le bulbe. Il était toujours sur le côté, fesses nues. Elle lui tira la fesse supérieure, lui demanda de pousser comme pour aller à la selle, et lui enfonça le bout fin du thermomètre dans l'anus.

« Vous voyez, ce n'est rien. Je reviendrai dans trois minutes. »

Et trois minutes plus tard, elle revint, retira le thermomètre, et le lut (« 38,5 ! » annonça-t-elle). S'avisant que François ne se renculottait pas, elle lui tapota les fesses deux fois et l'invita à remonter son bas de pyjama.

« Demain matin, au réveil, je vous montrerai comment le faire sur vous-même. Là, je crois qu'il vous faut une aspirine et du sommeil. »

Et donc, le lendemain, quand François fut levé, Mme Salein revint avec le thermomètre. « Allez, couchez-vous sur le côté et baissez ce pyjama. »

François se coucha. Cependant, ce faisant, il fit bouger le lit, qui fit bouger la table de nuit, et… le verre d'eau posé sur celle-ci tomba. François entendu le bruit, voulut le rattraper, et se retourna, bien sûr trop tard. Le verre était heureusement tombé sur une descente de lit, sans se briser. Il y avait de l'eau par terre et sur la descente de lit…

« Ce n'est pas grave, je reviendrai avec une serpillère. »

C'est alors que François se rendit compte qu'il était pyjama baissé devant Mme Salein, sexe bien visible. Il remonta prestement son pantalon « Oh pardon Madame ! ». Mme Salein eut un petit rire.

« François, François… J'ai eu un mari et deux fils, autant dire que j'ai déjà vu des zizis. »

François, embarrassé, se mettait sur le côté pyjama baissé comme demandé, dos à Mme Salein.

« Et puis, vous savez, ces trois enfants, ils ne me sont pas venus par opération du Saint-Esprit. »

L'embarras de François grandit. Chez lui, on ne parlait pas de « ces choses-là ».

« Tendez-moi la main. Prenez ce thermomètre. Maintenant mettez-vous le bout dans l'anus… Ça ne doit pas faire mal. Poussez comme pour aller à la selle pour ouvrir l'orifice. »

En suivant ces instructions, François mit en place l'instrument. Il se sentait ridicule, fesses nues, thermomètre inséré, devant sa logeuse. Celle-ci quitta la pièce en lui tapotant deux fois les fesses. Trois minutes plus tard, elle revint avec de l'alcool et un petit chiffon.

« Rendez-moi le thermomètre… 38°. Maintenant, je l'essuie avec de l'alcool avant de le ranger. Vous voyez, c'est facile ! »

Le soir, au coucher, Mme Salein remit le thermomètre à François, avec consigne de se le mettre à l'endroit idoine. Cinq minutes plus tard, elle revenait pour le récupérer. Eut-elle un regret de ne pas avoir vu son fessier encore une fois ?

Cette nuit-là, comme la précédente, François et Mme Salein se masturbèrent chacun dans sa chambre, en repensant aux scènes insolites qu'ils avaient vécues. La respectable Mme Salein était en effet, en privé, adapte des doigts qui taquinent le berlingot… et qui rentrent dans l'orifice. Il faut bien s'occuper, quand on est veuve.