Cédric et Isabelle partaient pour la première fois en vacances ensemble. Mais, hélas, une fois arrivés sur le lieu de villégiature, Cédric tomba malade le premier jour. Il se sentait fatigué, un peu nauséeux, mal à la tête… et ce fut donc Isabelle qui partit faire les courses seule.

Elle revint avec les courses, rangea les provisions, et déclara

« Bien. Maintenant, puisque tu es malade, nous allons vérifier ta température. Tu vas enlever ton pantalon, te mettre sur le côté et baisser ton slip.

« Mais ? Tu ne vas tout de même pas…

— Te prendre la température ? Mais si !

— Mais enfin il y a d'autres méthodes… genre ces machins qu'on met sur le front.

— J'ai acheté le modèle de thermomètre simple et fiable. »

Isabelle agita le thermomètre électronique à bout fin devant Cédric.

« Ben ça, ça peut aussi se mettre dans la bouche… ou peut-être aussi sous le bras ?

— Mais rectal c'est plus fiable. Et pour parler franchement, plus tu fais le gamin plus j'ai envie de te la prendre comme à un gamin. Montre-moi tes fesses ! »

Cédric, la mise boudeuse, obtempéra : il enleva son pantalon, se mit sur le côté, et baissa son slip.

« Contente ?

— Ne fais pas ta mauvaise tête. J'ai pris du gel lubrifiant, tu ne vas rien sentir. »

Cédric sentit sa fesse supérieure être soulevée, un petit temps d'attente et un bout flexible et lubrifié de thermomètre s'insinuer dans son anus.

« Tu fais ça pour t'amuser…

— Tu veux que je parle franchement ? Oui. J'ai fait les courses toute seule après que tu aies passé la moitié de la journée à maugréer que tu étais malade. Donc traitement pour gros bébé malade. Et puis ce n'est pas comme si tu n'avais pas suggéré que tu aimerais mettre ta bite dans mon cul…

— C'est pas pareil…

— Oui. Le thermomètre est fin et fait pour rentrer dans ce trou, ta bite est bien plus épaisse et pas faite pour rentrer là. »

Disant cela, Isabelle bougea légèrement le thermomètre dans l'anus de Cédric, qui bippa, signalant la fin de l'examen. Isabelle lut la température « 38,2°C ! Effectivement tu as de la fièvre. Couche-toi et repose-toi, je prépare le dîner. »

Isabelle s'affaira, puis appela Cédric. Celui-ci se leva, en slip, mais, à peine avait-il commencé de manger, il dit qu'il n'avait pas vraiment faim.

« En fait ça me donne la nausée.

— Ah… bon ne te force pas. Peut-être vaut-il mieux que tu te couches… tiens va faire ta toilette maintenant, que ça soit libre pour moi ensuite. »

Cédric partit pour la salle de bain. Isabelle dîna rapidement, puis fit la vaisselle, tandis que Cédric s'était couché.

« Toujours mal à la tête ?

— Oui…

— Bon, je vais te donner du paracétamol. Tu es allé à la selle ce soir ?

— Mais enfin pourquoi me demandes-tu cela ?

— Parce qu'il faut avoir le rectum vide pour recevoir un suppo.

— Un suppo ? Mais enfin ne pouvais-tu pas acheter des comprimés ?

— J'en ai pris, mais la pharmacienne m'a fait observer que si tu es nauséeux tu risques de vomir le médicament oral et qu'ensuite on ne saura pas quelle dose tu as absorbé, et m'a aussi vendu des suppos. Donc ce sera suppo tant que tu seras trop nauséeux pour manger.

— Booon. Si tu veux savoir oui je suis allé à la selle.

— Je te remercie de ta réponse. Maintenant, montre-moi tes fesses, même position que tout à l'heure. »

Cédric s'exécuta. Il sentit sa fesse soulevée, un petit temps d'attente, quelque chose de graisseux et lubrifié à son anus.

« Pousse. Comme pour faire une selle. »

Il obéit, et Isabelle enfonça le suppositoire. Il sentit son doigt s'enfoncer dans son rectum… Quand c'était sa mère qui les lui mettait, elle n'enfonçait au pire que le bout du doigt et laissait partir la torpille à l'intérieur, mais Isabelle, elle, y allait à fond !

« Han !

— Je t'ai fait mal ? »

Le doigt se retira.

« Non j'étais juste surpris.

— Alors tout va bien. »

Isabelle partit se laver les mains.

Cédric était troublé. Le thermomètre tenu par une main posé sur ses fesses lui avait déjà fait ressentir des sensations, des émotions, curieuses, mais ce doigt qui l'avait pénétré autoritairement mais sans douleur ni difficulté, c'était encore le degré au-dessus.

Isabelle, dans la salle de bains, souriait à l'idée de comment elle avait par deux fois pénétré le charmant petit trou plissé de son compagnon.

« Pas encore endormi ?

— Je ne me sentais pas très bien. Mais la on dirait que ça commence à aller mieux.

— Le suppo commence à faire effet… Bon, j'ai une idée pour te faire dormir. Attends deux secondes. »

Isabelle partit pour la salle de bains et revint avec un peu de papier toilette. Elle souleva les draps, baissa le devant du bas de pyjama de Cédric, extraya sa verge, et commenca à le masturber. Elle avait une certaine expertise de la chose, et bientôt Cédric lui éjacula dans la main. Elle essuya le sperme avec le papier toilette, avant de remettre le bas de pyjama et le drap en place.

« Comme ça tu vas bien dormir. »

Isabelle ne manqua pas d'aileurs de se masturber elle-même.

Le lendemain matin, Cédric, réveillé, ne protesta pas quand Isabelle lui demanda de se mettre en position pour le thermomètre. Et quand elle eut constaté qu'il était encore fiévreux, il déclara spontanément qu'il était passé aux toilettes et avait « fait caca ». Isabelle souria, et passa à l'administration du suppositoire.

Isabelle se félicita d'avoir osé jouer à l'infirmière. Elle songeait « tout petit cul, Cédric, crois-moi, il va le recevoir, mon doigt »…