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Vues: 209 Created: Il ya 7 mois Mis à jour: Il ya 7 mois

Curiosités malvenues

La tisane de la belle-mère

Stéphane et Lise étaient ensemble depuis cinq mois quand les parents de Lise les invitèrent à leur résidence secondaire dans le Lubéron. Stéphane était un peu intimidé : Lise n'était pas du même milieu social que lui… Lise l'appâta en l'informant que la maison était dotée d'une piscine, ce qui augmenta encore son embarras.

Le trajet en voiture fut un peu pénible. Stéphane se sentait un peu nauséeux. Il déclina donc la proposition de Mathilde, la mère de Lise, de profiter de la piscine avant le dîner. Pire, il évacua de la diarrhée aux toilettes. Il mangea peu au dîner.

«Le repas desservi, Lise et Stéphane se retrouvèrent dans leur chambre.

« Ma mère trouve que tu as une petite mine…

— Elle est perspicace.

— Quand je lui ai dit que tu avais la nausée et de la diarrhée…

— Attends tu aurais pu t'abstenir de lui dire que j'ai la chiasse…

— Elle était inquiète, nous sommes sous son toit, bref. Arrête de m'interrompre. Elle me propose de te faire prendre le remède qu'elle me faisait prendre en pareil cas…

— Ok, j'aurai droit à une pilule.

— Si tu as vraiment une grosse diarrhée, elle a de l'Imodium, mais elle préfère éviter de donner des médicaments pour ce qu'on peut soigner par les plantes… Elle propose de faire une tisane… euh… à administrer en lavement.

— En lavement ? Ça existe encore ça ? Ce n'est pas que dans Molière ?

— C'est utilisé en naturopathie. Bon, je lui dis oui ou non ?

— Et elle veut me le donner ?

— Non, elle propose que ce soit moi qui te le donne. Dans l'adolescence j'ai commencé à me les administrer seule, je sais faire.

— Donc tu proposes de me le mettre dans le cul ?

— Pas de vulgarité. Oui, je propose de soigner ton petit ventre en passant par ton petit derrière. Tu te sentiras mieux après !

— Tu es sûre ?

— Mais oui. Bon, je vais m'occuper de la tisane avec ma mère. Toi, passe aux toilettes et essaye de te vider un peu. »

Lorsque Stéphane sortit, Lise le ramena dans la salle de bains. « Bon. On va commencer par faire évacuer tout ce qui te tord les boyaux. ». Elle prit une sorte de couchette pliable en matière synthétique qui était rangée dans un coin. « Aide-moi à l'installer sur le sol. »

La couchette installée, elle invita Stéphane à quitter pantalon et slip, puis à s'allonger sur le ventre sur la couchette, la tête du côté qu'elle lui désignait. Elle sortit un thermomètre électronique ainsi que du gel lubrifiant et prépara l'instrument. Stéphane, la tête tournée, suivait du coin de l'œil ce qu'elle faisait.

« Hé mais pourquoi le thermomètre ?

— Ma mère me prenait toujours la température avant un lavement. Une fois que tu auras pris le lavement la mesure rectale sera faussée, et il vaut mieux savoir si tu as de la fièvre. »

Elle se baissa, lui écarta les fesses et lui mit l'instrument. « Bip ! »

Pendant la mesure, Lise sortit un bock à lavement d'un placard, régla la température de l'eau en l'éprouvant de sa main et remplit l'instrument, qu'elle accrocha à un crochet judicieusement disposé sur le mur. Le temps de ces opérations, le thermomètre émit un autre « bip ».

Lise retira le thermomètre.

« 38,7°C ! Un peu élevé… Enfin, il faudrait comparer à ta température habituelle. »

Elle désinfecta le thermomètre à l'alcool avant de le ranger.

« Mets-toi sur le côté gauche, jambe du haut pliée, genou vers toi…

— En fait, je ne suis pas sûr de vraiment vouloir… »

Lise s'accroupit et lui caressa le dos et les fesses.

« Allons mon grand. Tu te sentiras mieux.

— Tu es sûre ?

— Mais oui. »

Stéphane se tourna et se mit dans la position demandée. Lise prépara la canule, lui écarta la fesse supérieure, et introduit l'instrument lubrifié dans son rectum. Stéphane poussa un petit grognement.

« Ça va ?

— Mmmoui.

— Alors j'envoie l'eau. »

Stéphane sentit alors le flot du liquide chaud dans son rectum. Il s'attendait à bien plus désagréable. En fait, cela allait fort bien, il se sentait bien avec une main de lise autour de lui et une autre tenant la canule enfoncée dans ses fesses. Il sentit même sa verge durcir.

« Tu me dis si ça devient inconfortable… Enfin pour le moment ça a l'air d'aller ! » dit-elle, sa main passée autour du corps remarquant la verge un peu durcie.

Mais bientôt vint une sensation de « crampe », une sensation de devoir expulser.

« Lise… Ça fait mal maintenant, je crois que… enfin…

— Mais oui, je vais te laisser aller à la selle. Nous reprendrons ensuite.

— Ensuite ? Ça ne suffit pas ?

— Mais non. Il faut vraiment faire partir ce qui t'irrite le côlon, et ce n'est pas avec ce que tu as pris que tout est parti. Je te laisse. Tu m'appelles quand tu as fini. »

Lise sortit. Un peu plus tard, Stéphane ouvrit la porte et appela Lise.

« Bien. Remets-toi en position… »

La seconde administration d'eau fut plus prolongée, la première ayant déjà permis d'évacuer matières et gaz. Lise joua un petit peu avec la verge de son compagnon pendant le début l'administration, avant que l'inconfort de ses boyaux ne le fît se ramollir.

« Il faudrait que j'y aille.

— Tu as presque pris tout le bock, tu peux attendre d'avoir tout pris ?

— Je vais essayer.

— Sois courageux… »

Stéphane prit donc tout son lavement. Il était fort pressé de pouvoir se soulager.

« Tu m'appelles quand tu as fini. »

Deux minutes plus tard, Stéphane sortit et appela. Lise attendait, un pot odorant posé par terre. Elle le reprit.

« Bien. Nous allons pouvoir passer au traitement.

— Quel traitement ? Tu m'as déjà donné deux lavements…

— Oui, pour te vider. Mais là ce sera un lavement avec une tisane spécialement destinée à te calmer les boyaux. »

Stéphane fit un peu la tête. Son ventre lui faisait un peu mal après tout cette activité, il s'était déjà rhabillé.

« C'est vraiment nécessaire ?

— Oui. »

Stéphane grommela, mais revint à la salle de bains. Cette fois-ci, Lise le fit allonger sur le dos, et prépara le bock à lavement.

« Ramène tes genoux sur la poitrine. Voilà… comme ça le petit trou… Tu peux maintenant redescendre tes pieds à plat, genoux levés. »

Lise, sans commencer à injecter, massa le ventre de Stéphane d'une main, tandis que de l'autre elle tenait la canule et lui tripotait les fesses. Sa main, allant sur le ventre, frôlait sa verge. Stéphane durcit.

« Tu vois que tu ne détestes pas tant que cela les lavements ! J'envoie la tisane. »

Le liquide commença à couler sans difficulté — Stéphane s'était déjà bien vidé. À force de frôlements, il était en érection.

« Badidon… Bien dur et tout… »

Lise se mit à le masturber doucement, lui suçant même un peu le gland par moments. L'intermède était plaisant tandis que le bock finissait de se vider. Lise alternait entre massage du ventre, masturbation et un peu de fellation, sans pour aurtant rechercher l'orgasme de son compagnon.

« Je te fais un peu passer le temps, le temps la tisane ça fasse son effet. »

Finalement, Stéphane fut autorisé à se soulager.

« Je te conseille de prendre une douche ensuite. Pourras-tu ensuite replier le lit de camp s'il te plaît ? J'ai quelques petites choses à faire, je t'attendrai dans la chambre. »

Et en effet, Lise l'attendait, en chemise de nuit. Dès que Stéphane entra, elle l'enlaça et l'embrassa sur la bouche. Puis elle tourna autour de lui et lui mit une petite claque sur les fesses.

« Alors tu faisais des manières et finalement ce n'était pas si désagréable ? »

Elle prit une fesse dans chaque main et se mit à les peloter, puis passa la main entre les jambes pour lui chatouiller les bourses.

« Déshabille-toi. »

Lise s'assit sur le lit et regarda Stéphane se déshabiller. À nouveau, elle lui caressa les fesses. Sa verge était enflée.

« Allonge-toi sur le dos. »

Stéphane obtempéra et Lise se déshabilla. Elle ne perdit pas de temps — elle monta à califourchon sur Stéphane et guida sa verge dans son vagin mouillé. Puis elle se mit à onduler sur lui, dans une position que l'on pourrait décrire comme celle du missionnaire mais à l'envers.

« J'aime bien ta verge, tu sais. Et aussi tes fesses… »

Elle accélérait. Stéphane la connaissait, il savait qu'il devait rester suffisamment excité pour rester raide, mais pas trop afin de ne pas éjaculer…

Lise jouit.

« Maintenant à toi de me secouer. »

Elle s'installa jambes écartées, et ce fut au tour de Stéphane de lui monter dessus. Il s'installa sur elle. Après quelques temps de pénétration vigoureuse, il finit lui aussi par jouir. Les deux tourtereaux s'endormirent.

Stéphane dormit bien, alors que sa nuit précédente avait été troublée par les maux de ventre.

Lorsqu'il revint de son pipi du matin, il trouva Lise thermomètre en main.

« Température du matin ! » dit-elle fièrement. « Tiens, et si tu venais sur mes genoux ? »

Stéphane se retrouva fesses nues en travers des genoux de Lise, et celle-ci lui prit la température (bip, bip).

« 37,4°C »

Elle nettoya le thermomètre. Lorsque Stéphane se releva, sa verge avait durci. Ele lui soupesa les bourses.

« Encore ? »

Puis elle rit et se mit à quatre pattes, lui présentant les fesses. Stéphane la pénétra en levrette. Après un bon exercice dans cette position, Lise lui dit qu'elle ne sentait pas venir l'orgasme et l'invita à finir pour lui s'il le souhaitait, ce qu'il fit.

Plus tard dans la journée, Stéphane entendit cette conversation entre Lise et Mathilde.

« Ma tisane a été efficace ?

— Oh oui, Stéphane a bien dormi.

— Et pas que. On sent qu'il n'a pas besoin de catuaba. »

Stéphane était bien sûr embarrassé que Lise et sa mère discutent de ses déboires intestinaux. La curiosité prit toutefois le dessus, et lorsqu'il en eut l'opportunité il demanda à Lise ce qu'était le catuaba, un autre remède pour la diarrhée ?

— En fait non… C'est un stimulateur de l'érection. Maman nous a entendus faire des câlins.

— Quoi ? Nous aurions dû être plus discrets…

— Tu sais, ma maman m'a dit qu'il est important, quand on est avec un homme, que celui-ci soit attentif au lit et donne du plaisir. Elle est contente pour moi. »

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hilenk Il ya 7 mois