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Vues: 168 Created: Il ya 4 mois Mis à jour: Il ya 4 mois

Sophie s'oublie

L'histoire de Sophie

Quand elle a ouvert les yeux ce matin, Sophie a senti que son lit était humide. Hésitante, elle a lentement glissé la main sous la couette. Très vite, elle a senti les draps trempés. Sa main a toucher son entrejambe et a constaté que son pyjama et sa petite culotte est mouillé. Ce matin, et pour la quatrième fois depuis le début de la semaine, Sophie a fait pipi au lit.

Elle sait que sa mère va bientôt venir vérifier qu'elle est bien réveillée pour aller aux cours. Elle n'aura pas le temps de tout faire disparaitre. Et puis, de toute façon, sa mère commence à avoir autant l'habitude qu'elle. Elle a honte et pleure de dépit, en attendant que sa mère arrive et découvre cette nouvelle humiliation.

La porte de sa chambre s'entrouvre, laissant apparaître le visage de sa maman.

- Sophie ? Sophie, ça va ? Le petit déjeuner est prêt. Tu viens ?

Sophie ne dit rien, elle cherche ses mots.

- Sophie ? Il y a un problème ?

Face au silence de sa fille, soupçonneuse Laure s'approche du lit de sa fille.

- Tu n'as pas refais pipi au lit quand même ? Lui demande-t-elle en soulevant la couette.

Muette de honte, Sophie se tasse sur elle-même et redouble ses pleurs

- Non mais là ce n'est plus possible ! Tu le fais exprès ou quoi ? À ton âge ? Et ce n'est pas la peine de pleurer, c'est déjà la quatrième fois cette semaine et ça me fatigue, dit-elle en colère contre Laure qui pleure de plus belle.

Laure s'apaise, devant les larmes de sa fille. Elle la rassure, en lui disant que c'est passager et que ça va passer. Sophie a subit une opération qui a pu affaiblir sa vessie il y a peu de temps. Et puis, Laure devine bien des raisons psychologiques, stress et autres qui pourrait être en partie responsable de ces accidents.

Consciente du surplus de travail maternel, Sophie aide sa mère à lancer une machine à laver avant de partir au cours. Celle-ci profite de la présence de sa fille pour aborder le sujet de manière pratique et réaliste.

- Je pense qu'il faut que l'on trouve une solution Sophie. Je n'ai ni le temps, ni l'énergie de laver tes draps tous les matins. Tu peux le comprendre ?

- Bien sûr Maman, mais je ne sais vraiment pas quoi faire. Je te jure que je ne le fais pas exprès.

- Je veux bien te croire mais la situation ne peut pas rester comme ça. Ce soir, je voudrais que tu dormes avec une couche.

- Quoi ? Non il n'en n'est pas question.

- Sophie ! Je veux bien être compréhensive avec toi et admettre que tu ne contrôles plus très bien ta vessie depuis l'opération, et que tes cours te stressent beaucoup en ce moment. Mais si je peux te comprendre, je ne peux pas accepter de tels dégâts tous les matins. Tu feras comme je te le dis, et nous allons essayer de gérer la situation ensemble. Tu es d'accord ma chérie ?

- Je pense que je n'ai pas le choix.

- Non. Mais je le fais pour ton confort, aussi bien que pour le mien. File, tu vas être en retard.

Sophie regarde Laure mère partir aux cours, avec inquiétude. Elle sent sa fille fragile en ce moment. Elle sait qu'il faudrait qu'elle la soutienne mais la situation actuelle est tout à fait ingérable à ses yeux.

En cours, Sophie est très préoccupée. Elle redoute le moment de rentrer, d'affronter de nouveau sa mère, et surtout celui d'aller se coucher. Elle se rends compte que depuis quelques jours elle ne sent presque plus ses envie de faire pipi. Parfois, elle sent sa culotte s'humidifier sans prévenir. Il faut qu'elle court, tordue et crispée, jusqu'aux toilettes les plus proches. Elle à caché à sa mère deux ou trois petits accidents qui lui sont arrivés la journée, les fois ou elle n'avait pas eu assez de temps. Pour la nuit, elle n'avait pas pu le cacher et c'est ainsi que sa maman avait découvert son petit problème urinaire.

Sophie était ailleurs, Le professeur s'en aperçutla rappela à l'ordre. Voyant qu'elle ne suivait que très peu le cours, il lui demanda de venir au tableau. Dès qu'elle fut devant le tableau, il l'interrogea au sujet des derniers chapitres qu'ils avaient abordés en cours. Elle était très studieuse et connaissait très bien les réponses. Mais rapidement l'interrogation devint un calvaire.

Elle sentit que sa culotte s'humidifiée tout doucement. Sophie sait qu'il va falloir qu'elle fasse pipi et vite ! Ignorant l'incident imminent qui menace sophie, le professeur continue à questionner Sophie sur la matière qu'elle doit connaître. Sophie voit que tous ses camarades sont attentifs à son passage au tableau. Loin de la matière du cours, Sophie n'a qu'une peur : celle de perdre le contrôle de sa vessie et inonder sa culotte, là, devant tout le monde.

Heureusement, elle réussit à se retenir. C'est en se dirigeant vers les toilettes que la douleur devint plus forte. Elle est à peine entrée dans la cabine qu'elle sent sa culotte devenir toute chaude et mouillée; le liquide lui inonde les cuisses. Elle eu le réflexe de soulever sa jupe et de s'asseoir sur les cabinets, mais le mal est fait. Sa petite culotte trempée.

Heureusement que ma jupe est sèche, pensa-t-elle en sortant précipitamment des toilettes, pour rentrer chez elle en quatrième vitesse. Elle espère aussi que personne ne remarquera rien. Et surtout... que sa maman ne soit pas encore rentrée.

Le bus a du retard ! Il est tard, quand elle ouvre la porte de chez elle. Sa mère qui l'a entendue rentrer, l'appelle dans sa chambre où elle l'attend avec deux gros paquets de couches, adaptées à sa taille.

- Regarde ce que je t'ai achetée Sophie ! Je sais que ce n'est pas évident à admettre pour toi, mais je suis certaine que ça nous simplifiera la vie. Le temps que ça passe.

- Oui Maman, je suis d accord.

- Tu as passé une bonne journée ?

- Oui.

- Ça ne va pas ?

- Si si, ça va !

En sortant de la chambre, Laure remarque une petite tache humide à l'arrière de la jupe de Sophie.

- Sophie ?

- Oui maman ?

- Tu n'as pas fait pipi dans ta culotte aujourd'hui ?

- Non non, répondit-elle en baissant les yeux.

- Je peux vérifier ?

Pas de réponse. Sophie baisse les yeux, déjà emplis de larmes. Laure souleve la jupe de Sophie et s'aperçoit de suite que La petite culotte sa fille est trempée. Furieuse, elle se met dans une colère noire contre Sophie. Paniquée, celle-ci refait un tout petit pipi dans sa culotte.

Laure sors de la chambre de sa fille et part s'énerver seule dans le salon. Pendant que Sophie se change et commence à réviser ses examens.

Au diner, l'ambiance est très tendue. Plusieurs fois dans la soirée, Laure vient voir sa fille pour lui proposer d'aller aux toilettes. Mais Sophie n'a pas envie pas pour le moment. Avant de dormir, Laure demanda à Sophie de se rendre aux toilettes avant qu'elle ne la lange. Sophie fit l'effort d'y aller, elle voulait que sa mère se rende compte de sa bonne volonté. Elle fit un tout petit pipi et revint dans sa chambre. Sa mère la langea, remonta sa culotte sur la couche, et lui souhaita une bonne nuit.

Sophie continua à travailler un peu. L'épaisseur entre ses jambes était étrange, elle ne savait pas si elle aimait ou détestait la sensation. Elle se coucha, épuisée. Elle espérait que demain, sa couche serait sèche au réveil.

Au milieu de la nuit, Sophie se réveilla en sursaut. Elle sentait qu'elle était en train de faire pipi. Elle essaya d'arrêter le flux en pressant la couche contre elle. Finalement, elle s'abandonna complètement dans la couche. qui était devenue chaude et gonflé. Maintenant, elle se sent mal d'avoir inondé sa couche comme une petite fille. Elle passe les mains sur sa couche, la sensation était un peu magique. Elle est trempée, mais son pyjama est sec et chaud. C'est tout à fait rassurée, qu'elle se rendormit, la main sur la couche.

Samedi matin. Laure laisse dormir sa fille afin qu'elle puisse récupérer des fatigues de la semaine. C'est vers dix heures trente, qu'elle la réveilla.

- Bonjour ma belle, tu as bien dormi ?

- Oui maman, j'avais besoin de sommeil. Je dors mal depuis un moment.

- C'est pour ça que je t'ai laissé dormir. Tu as fait pipi ?

Sophie se rappelle l'incident du milieu de nuit. Elle passe la main sur la couche, comme pour vérifier qu'elle à rêvé, en espérant que ses souvenirs appartiennent au domaine du rêve. malheureusement, sa couche encore plus gonflé que cette nuit et encore chaude, lui démontre qu'elle n'a pas rêvé. Elle a même refait pipi, et cette fois, sans en avoir conscience.

- Oui maman. Je crois que j'ai eu un accident.

- Je vais t'aider à la retirer. J'espère vraiment que cette situation est provisoire Sophie.

Laure souleve la couette, et remarque que la couche de sa fille forme une grosse bosse à l'avant. Elle passe la main dessus pour constater l'ampleur de l'accident de cette nuit.

- Je vois que j'ai bien fait de te mettre une couche, il me semble qu'elle est bien remplie.

Elle défit les adhésifs de la couche et passa quelques lingettes sur les fesses de sa fille. Puis, prise par un rendez vous, elle laissa Sophie s'avachir devant la télé.

Quand elle rentra , elles déjeunèrent et se préparèrent pour aller au cinéma. Dans la voiture, elles riaient aux éclats, Laure était ravie de la complicité qu'elle pouvait avoir avec sa fille. Pendant le film, Sophie se pencha vers sa mère.

- J'ai envie de faire pipi, chuchota-t-elle.

- Retiens-toi, le film est presque fini.

A ce moment là , Sophie sentit que son jean se trempait. Incapable de se rétenir, elle faisait pipi dans sa culotte, là, au cinéma. Elle ne pouvait rien faire et se laissa aller. Quand les lumières se rallumèrent, Laura constata presque immédiatement que le jean de sa fille était trempé. Elle ne lui dit rien à ce sujet, et l'aida à se rendre à la voiture le plus discrètement possible.

Le soir après diner, Sophie alla prendre sa douche et soin d'elle. Quand elle sortit de la salle de bain en pyjama, Laure lui demanda de venir mettre sa couche, car elle voulait se coucher dès la fin du film. Sophie accepta car ça ne là dérangeait pas. La soirée se passa tranquillement devant la télé, sans qu'on ne reparle de l'incident de la veille.

Sophie se leva du canapé, dès la fin du film, elle constata que sa couche lui paraissait plus lourde que tout à l'heure. Discrètement, elle passa la main dessus. Ça ne faisait aucun doute, c'était tout gonflé et chaud. Éveillée, elle avait fait pipi dans sa couche, sans s'en apercevoir. Elle traversa le salon et gagna le couloir pour aller se coucher, en . soutenant de la main l'épaisseur qui tombait et l'empêchait de marcher comme d'habitude.

Dès qu'elle fut sous sa couette, elle se demandat comment elle ferait si elle avait un accident la nuit prochaine. Pour elle il ne faisait auncun doute que la couche ne résisterait pas; une fuite rendrait sa mère folle de rage. C'est à ce moment la, que Laure vint dire au revoir. Elle s'assit sur le bord du lit de sophie, et s'amusa à la chatouiller. Complices de jeux et heureuses de l'être elles riaient toutes les deux.

Dans l'agitation, la couette se souleva un peu, puis un peu plus. Et rappela à Sophie l'état de sa couche qu'elle avait oublié. Laure réajusta son tee-shirt avec douceur qui avait du remonter pendant les rires provoqués. C'est en baissant les yeux qu'elle aperçut la bosse formée par la couche, elle lui parut anormalement grosse.

- Sophie ! Ne me dis pas que tu as déjà fait dans ta couche.

- ...

- Normalement, c'est pour la nuit.

Laure glisse un doigts dans l'élastique de la couche.

- Mais tu es trempée ! Lèves-toi immédiatement ! Tu mérites une claque ! Et tu préfères rester dans ton pipi plutôt que de me demander de te changer en plus ? Regarde-moi ça, je n'ai jamais vu une couche aussi mouillée !

- Je n'ai pas fait exprès, répondis Sophie en baissant les yeux.

- Tais toi ! Et soulève tes fesses, que je puisse te mettre une sèche pour la nuit. Puisque c'est comme ça, désormais tu porteras des couches en permanence ! Je peux te demander de faire des efforts pour éviter ce genre de choses ?

Sophie s'endormit, bien au sec dans une nouvelle couche et se réveilla le lendemain dans une couche gonflée d'urine.

Laure ne changea pas d'avis et Sophie dû passer son dimanche en couche. C'est en début d'après midi que, confortablement installé sur son lit pour bouquiner, elle se rendit d'un seul coup compte qu'elle devait faire pipi. Elle eu à peine le temps de se lever qu'elle inonda sa couche. Elle posa la main sur sa couche. Elle la sentit devenir chaude et gonflée. Elle avait honte et redoutait la réaction de se mère, mais au fond, elle aimait beaucoup la sensation que ça lui procurait. Elle alla voir sa mère, et doucement, elle s'adressa à elle, penaude :

- Maman... Je... Je crois que j'ai eu un petit problème.

- Tu es mouillée ?

- Oui...

- On va te changer, ce n'est pas si grave. Mais il faut que tu fasses attention à l'avenir. Tu vas utiliser des couches qui se baissent comme des culottes, comme ça tu pourras te rendre aux toilettes encore plus facilement.

Le reste de la journée se passa bien. Sophie alla même au toilettes plusieurs fois. Juste à temps certes, mais sans aucuns dégâts dans sa couche.

Par contre, le soir avant de s'endormir, elle eut la flemme de se relever et l'envie de pipi montait. Sans trop hésiter, elle se laissa aller dans la couche. Elle glissa la main dans sa couche, et constata que c'était chaud, humide mais tellement agréable. Elle se caressa et très vite d'une extase géniale. Après ça, elle se mis à pleurer de honte. Elle devenait incontinente, et elle aimait ça. C'était tout bonnement scandaleux à ses yeux.

Le lendemain matin, sophie avait refait pipi dans sa couche.

Sa mère la changea et lui imposa le port d'une couche pour aller en cours. Elle insista tellement que Sophie ne put rien dire. Sur la route, Sophie vérifiait que la couche était discrète. Effectivement, la jupe était large et mi longue, elle cachait bien la couche. De plus sa petite culotte la maintenait bien en place, et en étouffait un peu le bruit.

C'est pendant le dernier cours de la journée que Sophie sentit une petite envie arriver. Elle se contracta pour retarder aussi longtemps possible afin d'éviter de mouiller sa couche. Ce fut un éternuement qui lui fit perdre le contrôle de sa vessie. Elle sentit sa couche se réchauffer. Par réflexe, elle mis sa main dessus, espérant ainsi pouvoir arrêter le flot d'urine, comme elle le faisait parfois. Mais cette fois, ce n'était pas une petite fuite. Elle était en train d'inonder sa couche dans une salle de classe. Elle sentit l'épaisseur entre ses jambes tellement gonflée qu'elle dut les écarter. Elle se sentait vraiemnt mal à l'aide épiée des regards interrogateurs des autres élèves. Et pourtant, la douce ouate sous ses fesses était presque plus agréable maintenant qu'elle était chaude et mouillée.

Elle attendit la fin du cours, puis que tous les élèves s'en aillent et rentra dicrètement chez elle. Sa mère souleva sa jupe dès qu'elle fut rentrée. Quand elle vit la couche gonflée entre les cuisses de sa fille, elle en conclut qu'il fallait la changer. Elle lui mit une couche propre et elles partirent au centre commercial faire quelques courses. Dans la voiture, Laure demanda à Sophie de se retenir le plus longtemps possible.

Elles firent quelques courses dans un magasin. Elles faisaient la queue pour payer, quand Laure remarqua que Sophie faisait tout à coup une tête bizarre. Elle paya, puis emmena sa fille dans un coin dicret du magasin.

- Sophie as-tu fais dans ta couche ?

Sophie se met immédiatement à pleurer. Pendant que Laure soulève sa jupe, touche l'avant de la couche et un peu dépitée, parle très calmement à Sophie.

- Ce n'est pas si grave que ça. Maintenant essaye de te retenir, je ne suis pas sûre que ta couche supportera encore autant d'urine sans .

Très vite, Sophie sentit qu'elle avait envie de faire caca. Elle n'y pensa plus parce qu'elle n'avait pas peur de ce genre d'accidents. Pourtant, entre deux rayons, elle sentit que la pression devenait plus forte. Elle serra les fesses et avança un peu pour rejoindre sa mère. Mais elle sentit le caca sortir, et former un boule au fond de sa couche. Elle ne savait pas quoi faire. Elle essaya de se cacher entre deux portants. Elle pleurait et son caca remplissait sa couche sans qu'elle puisse arrêter.

Laure cherchait sa fille partout. Quand elle la trouva, elle vit très vite aux yeux de sa fille qu'il y avait un problème. Elle s'approcha et sentit une drôle d'odeur.

- Qu'est-ce qu'il se passe encore ?

- ...

- Sophie ? As-tu refait dans ta couche ?

- ...

- Ça sent très fort ici. Tu n'as quand même pas fait caca dans ta couche ?

- ...

- Bon Sophie maintenant ça suffit ! Réponds-moi et arrête de pleurer comme une gamine ! Si tu as fait caca dans ta couche, je te promets que tu vas m'entendre.

Elle fit pivoter sa fille, releva l'arrière de sa jupe et constata qu'une grosse bosse s'était maintenant formée à l'arrière. Elle écarta légèrement l'élastique de la couche et vit que sa fille l'avait remplie de caca. Furieuse, elle lui mit une claque.

- Tu n'es qu'une gosse, une pitoyable gosse. Non mais tu n'as pas honte ? Tu as intérêt à te retenir maintenant parce que si ça doit déborder avant qu'on rentre et que je puisse te changer, tu entendras parler du pays. Grosse cochonne ! Allez avance, on va se dépêcher de finir.

Sophie se sentait mal, elle savait qu'il fallait qu'elle se retienne jusqu'à la maison. Dans la voiture, sans faire vraiment attention, elle refit pipi dans sa couche. Sa couche était désormais bien remplie. Quand Laure vint pour la changer, elle se rendit compte que les bords de la culotte étaient mouillés et légèrement brunis. Elle n'en finissait pas de s'énerver sur Sophie à propos de sa malpropreté, elle lui mit une couche propre et alla préparer le diner.

Avant de diner, Laure proposa à Sophie d'aller aux toilettes. Elle refusa. Pendant le repas, elle sentit d'un seul coup sa couche se remplir de pipi. Elle se laissa complètement aller dans sa couche. Sa mère le remarqua très vite, à cause des cuisses de sa fille maintenues écartées par la ouate gonflée. Elle la changea et alla se coucher.

Cette nuit là, Sophie fit pipi avant de s'endormir. Elle fit pipi dans son sommeil, sans en avoir conscience. Et au matin, elle se laissa de nouveau aller dans sa couche. Le matin, Laura la changea, sans faire de remarque.

La journée à la fac fut compliquée. Sophie s'étant rendu compte à l'heure du déjeuner que sa couche était trempée. Elle alla se changer, discrètement. Elle fit pipi aux toilettes, espérant que ça limiterait les dégâts de l'après midi. Mais avant de quitter son siège, elle sentit sa couche se remplir, et lui mouiller les fesses. Elle la toucha, elle était vraiment très gonflée. Elle avait hâte de rentrer. Sur la route du retour, un nouvel accident très indélicat se produisit. Elle devait faire caca. Elle ne voyait aucune toilettes à proximité et marcher lui donnait encore plus envie. Elle poussa un peu et fit caca dans sa couche, comme une toute petite fille.

Quand elle rentra, sa mère l'attendait. Elle demanda à Sophie s'il fallait la changer. Évidemment, c'était le cas. Quand Sophie s'allongea, elle redouta le moment fatidique. Laura ouvrit la couche et vit que sa fille avait à nouveau fait caca dans sa couche. En plus, celle-ci était très mouillée. Elle sermonna Sophie et lui remit une couche propre. Ce fut au moment ou elle allait attacher la couche propre, qu'elle sentit que c'était chaud sous ses mains.

- Tu n'es pas en train de faire pipi là ?

- Si maman.

Laure, vaincue, retira la couche que Sophie venait d'inonder et en plaça une autre sous ses fesses.

Le soir, Laura annonça à Sophie qu'elles avaient rendez-vous chez un médecin spécialisé, dès le lendemain matin. Elle espérait que des traitements révolutionnaires régleraient le problème définitivement.