Quelques semaines après l'obtention du Bac, un samedi matin, dans la chambre de Philippe, lui et Nicolas avaient passé la nuit ensemble au lit.

Désormais ensemble, ils assumaient leur homosexualité et curieusement, les parents des deux garçons n'y voyaient pas d'inconvénients tant qu'ils étaient heureux à deux. Le soleil levant, Philippe se tira du lit, tout nu, le pénis rétracté laissant couler quelques gouttes de semence sans plus. À côté de lui, Nicolas se réveilla:

- Bonjour Philippe. Salua Nicolas.

- Bonjour Nicolas. Salua Philippe en l'embrassant sur la bouche.

- C'était magique cette nuit. Avoua Nicolas.

- En effet. Ta bite m'a fait du bien. Dommage que l'on n'a toujours pas mis de préservatif. Se rappela Philippe.

- Je n'ai pas peur des MST. Ce qui compte c'est que l'on soit ensemble. Répondit Nicolas.

- Allons nous habiller. Je vais faire du café. S'attelait Philippe en attrapant son boxer suivi de ses autres vêtements.

Une fois sorti de la pièce, Nicolas se leva, perturbé car son pénis gonfla un peu ne retombant pas. Confus, il décida de s'habiller malgré tout et rejoignit Philippe dans la salle à manger.

A leur grande surprise, Philippe et Nicolas étaient seuls dans la maison. La mère de Philippe avait laissé un mot pour les garçons: "Nous sommes partis pour la journée. On rentra vers 18h. La maison est à vous mais ne faites pas n'importe quoi."

- Tu as lu la même chose que moi ? Demanda Philippe à Nicolas.

- Oui. On est seuls pour toute la journée. Compris Nicolas.

- J'ai envie de faire quelque chose avec toi Nicolas: Passons la journée tout nu à faire l'amour. S'exaltait Philippe.

- Avec plaisir. Fit Nicolas.

À peine avaient-ils bu leur café et avalé deux tartines de pain à la confiture chacun, Philippe et Nicolas se déshabillaient complètement. Ils étaient nu tout les deux s'observant dans les moindres détails tout en fixant le pénis de l'autre qui durcissait au fur et à mesure.

- J'adore ta bite Philippe. Lui dit Nicolas.

- Moi de même. Répondit Philippe.

C'est alors que sans prévenir, Nicolas se mit à embrasser Philippe, qui lui rendait son baiser. Puis, allongé sur le canapé du salon, Philippe se laissa pénétrer par le sexe de Nicolas qui commençait ses va et vient.

- Tu aimes quand je rentre en toi ? Demanda Nicolas entreprenant.

- Oui, cela fait du bien. Ne te retiens pas, si tu dois jouir fait-le. Répondit Philippe soumis à son copain.

Nicolas n'en demandait pas tant. Il devint plus sérieux, et quand le point de rupture arriva, le pénis de Nicolas se vida dans l'anus de Philippe. De son côté, le pénis de Philippe avait aussi éjaculé projetant sa semence sur son torse.

- On a jouis tous les deux. S'essouffla Nicolas.

- Cela me rappelle la première fois où tu m'as branlé et que je pensais que tu allais croire que j'étais pede. Se remémora Philippe.

- Je te l'ai dit Philippe. Je t'aime, si tu es pede alors moi aussi. Quand j'ai assumé mon homosexualité ce jour-là, j'ai compris que j'aimais les garçons.

- On continue au lit ? Proposa Philippe.

Après avoir un peu nettoyé le salon qui avait été souillé par le plaisir, Philippe toujours nu, attira Nicolas dans sa chambre au lit et cette fois-ci, Philippe allait pénétrer Nicolas. Chose que Nicolas n'avait pas encore expérimenté et qu'il allait découvrir.