L'accident de Chloe
Chapitre 3
Marie ouvre de grands yeux en entendant cela. Elle croit d'abord à une blague de son amie, mais la mine déterminée de celle-ci lui enlève toute envie de rire. Chloé ne sait pas quoi dire de plus, alors d'un geste du bras, elle enlève la couette. Marie met un instant à comprendre ce que le large cercle sombre qu'elle voit sur le drap autour du bassin de Chloé signifie. Une odeur âcre vient confirmer ce qu'elle voit. Elle ne veut pas mettre son amie mal à l'aise comme la veille, aussi elle décide de réagir rapidement :
"Allez, je vais t'emmener à la douche et on va vite changer ces draps.
- Mais, après, tu vas m'acheter… ce que je t'ai demandé, d'accord?
- Mais Chloé, je…
- S'il te plait, Marie!"
Marie hésite encore quelques secondes avant de répondre d'accord. Puis elle emmène Chloé aux toilettes, qui en profite pour faire la grosse commission, pendant que Marie change les draps de son lit. Elle la douche, lui remet des affaires propres et la ramène dans son lit. Elle lui amène de quoi lire, prend ses affaires et sort.
Dehors, elle se rend compte de ce qu'elle est en train de faire : aller acheter des couches pour une fille de son âge! D'ailleurs, où trouve-t-on des couches pour adultes? Elle n'en a aucune idée! Les couches qu'on utilise en maisons de retraite ou à l'hôpital s'achètent certainement dans des magasins spécialisés, mais elle ne sait pas où les trouver. Et puis, elle n'a pas le temps d'en chercher bien longtemps, cette après-midi, Chloé sera seule, même si elle prend ses précautions, un autre accident désagréable peut se produire!
Elle se dit qu'elle trouvera cela peut-être dans un supermarché. Elle rentre dans le supermarché le plus proche et se dirige vers le rayon couches. Elle finit par trouver des couches qu'elle avait vues à la télé : des Drynites, le genre de couche pour adolescent énurétique, qui s'enfile comme une culotte. Elle voit que la taille va jusqu'à 60 kg, ça devrait aller pour Chloé, elle en prend une avec des motifs féminins. En payant à la caisse, elle a un peu honte : la caissière va-t-elle lui demander si c'est pour elle? Elle tend sa carte bleu en rougissant, mais la caissière n'a même pas levé un sourcil.
Revenue chez Chloé, elle lui montre ses emplettes. Chloé sourit faiblement en voyant les couches de petite filles que Marie a dénichées. Elle lui dit : "Mais il n'avait que ça à la pharmacie?"
« A la pharmacie ? non, j'ai été au supermarché"
"Mais, tu ne savais pas qu'on pouvait en trouver en pharmacie?"
"Tiens, non, je n'y ai pas pensé… Désolé, Chloé, je ne vais pas avoir le temps d'aller en acheter des… pour "grandes" ce matin, mais promis, les prochaines ça sera pas des pour petites ! »
"D'accord"
Elle ouvre le paquet et en tire une couche aux motifs de princesse, dans les tons mauves. Elle enfile tant bien que mal par dessus les platres de Chloé la couche-culotte. Elle est peu serrée, mais ça passe! Le contact de la couche rassure Chloé : elle sent que rien de grave ne peut lui arriver maintenant!
Il est déjà presque midi, Marie va dans la cuisine un certain temps et revient avec un plateau repas. Elle le pose sur le lit et discute avec Chloé pendant que celle-ci mange. Elle trouve Marie très attentionnée et de plus en plus sympathique. Elle rigole même un peu avec Marie, même quand celle-ci dit "Et bien, voilà un bébé avec de l'appétit!"
Finalement, elle prend congé de Chloé en lui disant qu’elle repasse à 18h30. Chloé commence l’après-midi de bonne humeur, elle regarde un peu la télé, lit un peu, fait une petite sieste.
Quand à l’issue de celle-ci, elle sent une envie arriver, elle ne se pose pas de questions et se laisse aller. Dans le silence de l’après-midi, elle entend le léger « shhh » que fait son pipi en sortant. Elle sent sa Drynites se gonfler et au niveau de ses fesses une chaleur réconfortante. Cette fois encore, la rengaine revient en pensée "Elle a fait dans sa couche-euh! Elle a fait dans sa couche-euh! » ce qui la fait rougir. Mais cette fois-ci, la honte disparait vite. Ou plutôt, la honte est associée au plaisir d’avoir braver un interdit de petite-fille. Plaisir qui se rajoute au soulagement et au contact agréable qu’elle a entre les jambes. D’ailleurs quand elle bouge légèrement les jambes, elle trouve que cette sensation est encore plus agréable.
Elle aventure alors une main au contact de cette ouate gonflée entre ses jambes. Le plastique, enfin l’intissé puisque c’est en cette matière qu’est faite la couche; est légèrement différent là où le pipi a gonflé la couche. Elle parcourt les contours de cette chose, puis presse par endroit pour sentir l’épaisseur. D’abord elle presse avec un doigt, puis avec plusieurs doigts pour augmenter le contact entre son intimité et la couche chaude. La sensation d’excitation s’accroit, sans réfléchir, elle accélère légèrement la fréquence de ses pressions et fait des petits mouvements du bassin qui permettent un frottement délicieux. Elle sent à nouveau le rouge lui monter aux joues, elle n’a jamais pratiqué régulièrement la masturbation, mais cette fois, c’est différent, et bien meilleur !
Son souffle est devenu plus ample, elle sent sa poitrine se tendre au fur et à mesure qu’elle accentue ses mouvements. La rengaine moqueuse revient dans son esprit, légèrement modifiée : « Elle aime faire dans sa couche-euh, ouh la pisseuse-euh ». Cette pensée renforce encore son excitation, elle a envie de sentir sa couche pisseuse contre sa main. Elle glisse alors la main droite sous l’élastique de devant et descend lentement vers l’endroit mouillé. Elle touche avec le bout de ces doigts et la ouate chaude et légèrement humide. Elle retourne sa main tant bien que mal pour explorer son intimité. C’est tout aussi chaud mais bien plus humide, et il n’y a probablement là pas que du pipi ! De la main droite, elle entreprend alors de caresser son petit bouton gonflé de plaisir, pendant que la main gauche continue de presser à l’extérieur la couche chaude. Elle a fermé les yeux, son souffle devient plus court, elle ne retient pas les gémissements qui montent pendant que ces deux mains accélèrent encore et encore, son bassin accompagnant le mouvement. Elle sent l’orgasme arriver et redouble encore la vitesse de ses mouvements, ses gémissements sont devenus des « han ! » qu’elle dit de plus en fort jusqu’à ce que le plaisir la submerge en trois grandes vagues qui la font se cambrer au maximum de ce que ses jambes lui permettent.
Elle retombe sur son lit , essoufflée, avec des éclairs encore dans les yeux. Elle met du temps à rassembler ses esprits, elle profite encore de cette sensation de bien-être. Elle finit par sortir ses doigts de la couche, ils sont un peu poisseux et les essuie avec un mouchoir.
Elle n’a pas joui comme ça depuis longtemps, ça elle en est sûre ! Elle vient de découvrir un trip fantastique, elle n’en revient pas qu’il ait fallu 28 ans pour cela ! Bien sûr, elle a des souvenirs de nuits torrides avec son dernier petit copain, mais depuis que celui-ci l’a larguée il y a 8 mois, elle avait laissé un peu de coté sa sexualité. Et bien, au vu de ce qu’elle vient de vivre, elle se dit que c’est dommage, mais elle va vite rattraper le temps perdu !
Très détendue, elle se replonge dans son livre et est très surprise quand elle entend les clés dans la porte : elle n’a pas vu l’après-midi passer! Marie est toute souriante et vient lui demander comment s’est passée l’après-midi. Chloé lui répond que tout s’est bien passée et lui parle de son livre et du bout de série télé qu’elle a vue.
« Et sinon… tu as… heu… utilisé ta couche? »
Chloé rougit : « Ah … euh… oui oui. Mais tu sais, c’est cool… enfin… je veux dire, non c’est pas cool, mais c’est pas désagréable, quoi… Enfin, je me suis habituée… Et puis c’est beaucoup beaucoup beaucoup moins désagréable que d’avoir son lit trempé ! »
Ouf! Elle s’est souvenu au dernier moment de l’argument qui a déclenché sa commande de couches ! Elle n’a pas envie d’avouer à Marie tout le plaisir qu’elle a pris dans sa couche, mais elle veut quand même lui faire comprendre qu’elle en veut d’autres !
« Ok, très bien ! Je suis contente ! Bon, je vais te changer… »
Elle soulève la couette, puis la chemise de nuit. Chloé rougit légèrement : Marie va-t-elle ferme une remarque sur la couche très froissée et un peu distendue ?
Mais elle ne dit rien et déchire lentement les côtés, tire la couche de sous les fesses de Chloé, la roule en boule. Elle essuie avec une lingette l’intimité de Chloé en étant la plus légère possible. Celle-ci frissonne légèrement, mais essaie de ne pas montrer son trouble à son amie.
Marie lui propose d’aller aux toilettes, Chloé répond « oui » un peu trop rapidement. Elle se dit qu’elle conserverait bien un petit « d’avance » pour un plaisir ce soir, mais elle ne veut pas éveiller les soupçons de son amie. Assise sur le trône, elle pense alors à un stratagème. Elle boira une tisane avant de se coucher.
Le début de soirée se passe tranquillement, elles mangent ensemble le repas préparée par Marie et rigolent ensemble de sujets divers. Chloé sait que Marie a annoncé partir à 21h30, elle patiente pour mettre son plan à exécution.
A 21h10, elle dit à Marie qu’elle rêve d’une tisane. Marie opine, puis après quelques instants, lui demande :
« Mais tu es sûre ? Parce que tu sais, ça fait faire … heu… pipi quoi… Et je veux bien t’emmener aux toilettes avant de partir, mais après, je serai plus là ! »
« Oui oui j’en suis sûre ! J’ai toujours aimé cela après un bon repas ! Et puis, tu sais, ça dérange vraiment pas de …. »
Elle n’ose pas finir sa phrase, comme si prononcer les mots « faire dans ma couche » alors faire venir la fameuse rengaine dans la bouche de Marie.
Marie la regarde puis se lève pour aller lui préparer sa tisane. Elle revient quelques instants après, et continue à discuter avec Chloé pendant que celle-ci la boit en petites lampées. Quelques minutes avant de partir, elle la ramène aux toilettes, puis l’aide à se coucher non sans avoir remis une Drynites. Elle luit souhaite bonne nuit et quitte l’appartement.
Chloé se replonge dans son livre mais tous ses sens sont tournées vers les sensations de son bas ventre. Au bout de 30 minutes, l’envie est là, déjà très forte. Elle laisse grandir cette envie quelques minutes, puis se décide à ouvrir son sphincter. Elle a porté sa main à son entrejambe pour sentir la couche s’alourdir, changer de forme, devenir chaude. C’était incroyable de douceur, et toujours aussi excitant. Elle réalise qu’elle vient de faire volontairement pipi dans sa couche, à 28 ans et qu’elle adore ça ! Son excitation croit encore et elle n’a pas besoin d’autant de temps que cette après-midi pour atteindre le climax.
Elle s’endort rapidement ensuite, et tombe dans un sommeil profond et chaud.
Comme la veille, c’est une sensation bien connue qui la réveille vers 6h30. Elle met quelques temps à émerger, se souvient de sa situation et surtout de sa couche pleine entre ses jambes. Elle la sent plus dure et sèche que la veille, elle se doute qu’elle n’est pas prévue pour absorber une deuxième pipi… Mais l’envie grandit, elle sait que c’est un combat perdu d’avance, alors elle se laisse aller au bout de quelques minutes. Elle sent son pipi s’accumuler dans la couche saturée, puis s’évader par dessus en élastique sous ses fesses. Son matelas est à nouveau trempée comme la veille. La sensation est toujours très agréable, mais nager dans son pipi ne l’enchante guère. Et puis, elle pense à Marie, qui va de nouveau devoir changer ses draps… Cela coupe son envie d’aller plus loin, et elle attend l’arrivée de Marie.
Lorsque celle-ci entre dans sa chambre, elle lui dit immédiatement : « Mariiiie »
« Oui? »
« Je suis désolée… T’avais raison… La tisane c’était une mauvaise idée ! »
Et comme la veille, elle ouvre sa couette pour montrer les dégâts.
Marie ouvre de grands yeux, puis se rappelle qu’elle est la cause de ce qui arrive à Chloé. Elle soupire « En effet… Mais c’est peut-être aussi tout simplement que ces couches sont pas assez absorbantes ! Elles sont pour les jeunes filles, voir les ados… Je vais t’en acheter des …. « pour grandes » !
Elle sourit en disant cela, Chloé sourit aussi. Intérieurement, elle se demande déjà ce que ça va être de faire ses petits jeux dans dans des grandes couches.
Après avoir changé les draps, conduit Chloé à la douche, elle sort et se rend dans une pharmacie. Elle est moins honteuse que la veille, elle veut rendre service à son amie et la mettre enfin au sec ! Du coup, quand la pharmacienne lui demande ce qu’elle veut, elle dit fermement « des couches pour adultes, s’il vous plait ». La pharmacienne lui demande d’une façon neutre la taille qu’elle désire, puis l’absorption. Elle n’hésite pas une seconde « La plus élevée possible ! ». Elle rajoute qu’elle en veut 2 paquets, elle sait déjà qu’il faut voir loin. La pharmacienne revient avec deux paquets de Tena Slip Maxi, que Marie paye en étant toujours très déterminée.
Arrivée chez Chloé, elle range les couches dans le placard de Chloé, et puis se met à travailler car elle a pris un peu de retard. Après le déjeuner qu’elles partagent ensemble à nouveau, elle reconduit Chloé aux toilettes. Celle-ci a un nouveau plan : elle s’assied sur le trône, mais ne fait absolument rien ! Elle veut tester l’absorption de ces nouvelles couches et elle compte bien faire y faire deux pipis ! Au bout de 3 minutes, elle tire la chasse pour que Marie ne se doute de rien.
Une fois revenue à son lit, Marie ouvre le paquet et déploie une Tena devant Chloé qui n’en lache pas une miette. Elle la trouve jolie, avec les bandes violettes pales sur fond blanc, mais elle regrette un peu les princesses d’avant !
Marie lui soulève les fesses pour glisser la couche dessus, rabat le devant sur son ventre puis fixe les attaches. Elle est bien plus épaisse que la Drynites, avec ça, elle va être au sec ! Marie sourit, donne un petite tape sur la couche puis salue Chloé.
Chloé est très contente de sa nouvelle couche, elle l’admire tant qu’elle peut puis essaie de se concentrer sur autre chose, mais très vite, l’envie qu’elle a réprimé aux toilettes est là. Elle se laisse aller sans complexe et c’est divin! Elle se sent beaucoup plus en sécurité qu’avec la Drynites, c’est même presque frustrant de se sentir aussi sec ! Comme elle est un fatiguée, elle se dit qu’elle remet à plus tard le « petit plaisir ».
Elle fait une bonne sieste, se réveille au bout d’une heure. Pas d’envie à l’horizon et rien pour l’alimenter, car elle a oublié de demander à Chloé de lui mettre une bouteille d’eau à côté de son lit. Elle patiente alors en lisant encore un peu.
Mais vers 17h30, elle s’ennuie et aurait bien envie de reprendre son petit jeu. Elle se concentre alors et essaie de pousser avec son petit ventre pour contracter sa vessie. Mais rien n’y fait, pas une goutte ne sort. Elle prend son souffle et se remet à pousser, fort cette fois-ci. Sans crier gare, elle sent ses fesses s’écarter et un caca en sortir en vitesse et venir s’écraser contre sa couche !
Elle a poussé un « ha » de surprise, elle ne s’y attendait vraiment pas ! Elle reste sans bouger, mais commence à enregistrer les sensations. Elle sent que sa couche a une grosse bosse en bas, que le caca est venu distendre au maximum, tandis qu’une autre partie est encore entre ses fesses. Elle sent aussi une odeur légère, mais tenace.
Le rouge lui a à nouveau monté aux joues et la rengaine revient dans sa tête « Elle a fait caca dans sa couche-euh! Elle a fait caca dans sa couche-euh! ». Une fois de plus, ce plaisir interdit fait jaillir une sensation de plaisir. Elle commence à explorer avec la main sa couche, déjà épaissie au niveau de l’entrejambe par le pipi du début d’après-midi et encore plus épaisse en dessous ! De mettre la main sur cette bosse lui procure une sensation unique ! Non seulement, il y a un plaisir physique de sentir cette chose qui bute contre la partie sensible de son séant, mais elle a la main sur un des plus grands interdits qui soit ! Elle se trouve incroyablement coquine avec ce couche pleine !
ça y est son souffle est de nouveau rapide, elle a laissé une main sur la bosse et la malaxe doucement, fait faire des aller-retour à sa crotte (rien que de dire ce mot en pensée l’excite davantage) et l’autre explore sa poitrine, et titille un de ses tétons. Elle a recommencé des petits mouvements de bassin de bas en haut, les gémissements sont arrivés, suivis par des ahanements au fur et à mesure que ses mouvements s’accélèrent. Elle se met à parler, à poser une question qui revient sous plusieurs variantes : « Qui a fait caca dans sa couche ? Qui a du caca dans les fesses ? C’est qui la petite fille qui a fait une crotte dans sa couche ? »
Elle hurle la réponse au moment de l’orgasme foudroyant qui la terrasse : « C’EST MOIIIIIIIIIII ! ».
Après quelques instants, elle ouvre les yeux, mais reste le souffle coupé, les fesses en l’air, la main agrippant le bas de sa couche, l’autre sur son sein gauche en voyant à côté de son lit, Marie qui la regarde les yeux et la bouche grands ouverts !