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Vues: 125 Created: Il ya 2 mois Mis à jour: Il ya 2 mois

En forêt avec Camille

Chapitre 1

A l'époque où se passe cette histoire je venais d'avoir douze ans et j'avais pour meilleur copain un garçon nommé Camille qui avait parfois de drôles d'idées mais avec qui je partageais toutes les bêtises possibles... C'était un chaud après-midi de la mi-juin, le temps était presque suffoquant. Nous étions tous les deux seuls, nos parents respectifs étant au travail. J'aimais bien ce garçon car il m'amusait beaucoup, et il ne cessait jamais de me surprendre. J'avais depuis déjà une heure une très forte envie d'aller au WC, mais je n'en avais pas parlé à mon copain, pensant que mon besoin se calmerait, mais c'est vrai que je commençais à avoir mal au ventre à force de me retenir. On était parti en forêt tous les deux chercher je ne sais plus quel truc pour la prof de sciences nat. Mon envie, après s'être un peu calmée, était revenue encore plus forte, il fallait maintenant que je me soulage et je l'ai dit à Camille.

- Moi aussi, répondit Camille, j'osais pas te le dire mais ça fait au moins une heure que je me retiens… j'en peux plus ! J'ai oublié d'y aller après manger...

J'étais heureux, de lui avoir dit, maintenant j'allais pouvoir y aller aussi... C'est à ce moment-là que Camille, que je pensais déjà bien connaître, m'a posé une question complètement folle qui m'a laissé abasourdi. Je doutais même sur le coup de bien l'avoir comprise :

- T'as déjà fait dans la culotte toi ?

- Comment ça ? ... Comme tout le monde quand j'étais petit, mais je ne me rappelle plus quand !

- Non, pas comme ça, Je veux dire un peu exprès, à un moment ou t'es sûr que personne ne peut te voir, pour voir comment ça fait ...

- Non, bien sûr ! Je ne suis pas un bébé ! Je sais que ça peut arriver des fois, sans le faire exprès : j'ai vu des copains le faire en colo. Mais moi, je ne sais plus du tout quand est-ce que c'était la dernière fois... Ça c'est sûr ! Pourquoi tu me demande ça ?

- ... par contre, une chose est sûre : si je continue à parler avec toi, c'est clair que ça pourrait bien m'arriver... parce que maintenant, ça urge !!!

- Et toi, tu l'as déjà fait ? je lui demandais, très intrigué par sa question en me demandant ou il voulait en venir.

- Heu... ouais... je l'ai déjà fait… m'avoua-t-il, un peu gêné, surtout par crainte de voir comment j'allais réagir.

- ... Je l'ai déjà fait quelques fois quand j'étais sûr que mes parents ne pouvaient pas s'en apercevoir…

J'étais estomaqué par ce que mon copain me racontait, comment cela pouvait-il être possible ? On ne fait pas dans sa culotte à 12 ans, même pas par curiosité, pour voir comment ça fait !

- La toute première fois, m'expliqua-t-il, c'était vraiment un accident. J'avais une énorme envie en rentrant de l'école et j'étais sûr que je n'aurais pas le temps d'arriver jusqu'à la maison. Il n'y avait nulle part où je pouvais aller. Si bien qu'à un moment où j'avais trop envie, je me suis baissé comme si je refaisais mon lacet et j'ai tout fait dans ma culotte... et... enfin... contrairement à l'horreur que je pensais que ça allait être, tu peux pas savoir ce que c'était bon au moment où je faisais caca dans la culotte et que je sentais mon slip se remplir. Après, je suis rentré à la maison. Elle était vide, heureusement. J'ai jeté mon slip dans le fond de la poubelle, mis mon jean dans la machine qui était prête à tourner. Je me suis lavé et personne ne s'est aperçu de rien. T'as pas envie d'essayer et qu'on le fasse tous les deux ?

- T'es fou ! Chez moi, y'a ma mère !

- C'est pas grave, tu viendras te laver à la maison...

- Mais j'ai pas d'affaires de rechange...

- Je t'en filerai à moi... allez, on le fait... personne ne le verra .... allez, dis oui ! Tu verras, ça fait drôle... alors ?

- Je ne sais pas... c'est dégueulasse ! Tu te rends compte, si quelqu'un rentrait chez toi et qu'il nous trouvait tous les deux... et puis je vais en avoir plein partout, parce que je te promets que là, j'ai une envie... c'est pas pour rire ! On essaiera peut-être, mais un jour où j'aurais moins envie et où j'aurais des affaires de rechange.

- D'abord, tu peux être sûr qu'il n'y a personne à la maison. Ensuite, quand tu le fais, généralement les élastiques retiennent tout dans ta culotte. Une fois que t'as viré le slip, on ne voit plus rien. Au pire, si tu salissais trop ton bermuda, j'ai le même que toi, en jean tout comme le tien, et je te le donnerais pour repartir chez toi. Alors, t'es d'accord ?

J'étais tellement époustouflé par son truc, que je lui ai répondu, en étant certain qu'il n'oserait jamais aller jusqu'au bout, quelque chose comme :

- Fais-le toi d'abord.

J'avais à peine répondu que je me rendais compte de l'énormité de ce que je serais obligé de faire aussi, si de son côté il lui prenait l'idée saugrenue de faire dans sa culotte... Et, à ma plus grande surprise, en toute simplicité, la réponse de Camille fut très courte :

- Tu verras, sur le coup, je ne connais rien de meilleur, et même après, tu verras... Viens ! On va se cacher, un peu...

Je le suivais, très intrigué par la suite de cette histoire... « Il va quand même pas le faire », me dis-je... J'étais à cet instant partagé entre l'envie irrésistible de regarder mon copain, qui, contre tout logique et moralité, allait peut-être faire devant moi caca dans sa culotte, alors qu'absolument rien ne l'y obligeait, et celle de me sauver en le laissant salir sa culotte volontairement sans moi. Mon envie était toujours là, mais bizarrement, j'étais à cet instant comme dans un autre monde, un petit peu comme avant de faire une énorme bêtise, mais que l'on ne peut pas s'empêcher de faire quand même. Camille m'entraîna dans le sous-bois et trouva ce qu'il cherchait. Nous sommes entrés dans les ruines d'une ancienne maison forestière. Je le suivais comme un zombie. Le toit était presque tombé partout sauf dans la salle dans laquelle nous étions. La végétation y avait repris ses droits et faisait à cet endroit un véritable écran végétal. Une étrange impression se dégageait de cet endroit, mais peut-être était-ce aussi ce pourquoi nous y étions qui le rendait si bizarre.

- Camille... je sais pas si j'oserai... t'entends ?

Camille était devenu tout d'un coup tout étrange et me répondit en faisant visiblement beaucoup d'effort pour se retenir.

- J'en peux plus... même si tu le fais pas, moi c'est trop tard, ça fait trop longtemps que je me retiens... Je suis en train de faire caca dans ma culotte...

Joignant alors la parole au geste, Camille écartait légèrement les jambes et ne faisait plus aucun effort pour se retenir. Et ce qui devait arriver, arriva : Camille faisait caca dans sa culotte, devant moi. De là où j'étais, je voyais distinctement une bosse grossir au niveau des fesses de mon copain au fur et à mesure que son slip se remplissait... J'étais à ce moment-là complètement ébahi : mon meilleur copain faisait pratiquement exprès dans son short devant moi et j'assistais à tout ça impuissant, sans rien dire et j'en éprouvais comme une certaine curiosité, au lieu de l'aversion totale que ça aurait dû susciter en moi. A la vue de l'expression qu'il arborait, il ne fallait pas être devin pour se rendre compte qu'il en éprouvait un grand plaisir... Comment était-ce possible ? Pour confirmer tout ça, une forte odeur de caca flottait maintenant autour de mon copain... J'en revenais pas : il avait toute la forêt pour se soulager et il venait de faire ça devant moi et dans sa culotte en plus.

- Ça y est... dit-il, un petit peu gêné... j'ai fait caca dans ma culotte... j'avais trop envie... marmonna-t-il, les jambes toujours un peu écartées, en touchant doucement le fond de son short, qui semblait un peu gonflé à cet endroit.

Tout ça avait été trop vite. Est-ce que je devais me sauver ou rester ? Si je restais, est-ce que je devrais moi aussi... Une douleur que je connaissais bien me faisait une barre au ventre je n'en pouvais plus de me retenir. Il est vrai que si personne ne me voyait... pourquoi pas... ça doit faire bizarre de faire ça exprès... ce serait bien la première fois...

- Allez, fais-le ! Tu verras, sur le coup, ça te fait un bien que t'imagines pas...

Tout d'un coup, j'envisageais une porte de sortie : et s'il avait fait semblant ?

- Et qu'est-ce qui me prouve que tu en as plein la culotte et que tu ne fais pas semblant pour te foutre de ma gueule après si je chie dans ma culotte ?

Je disais ça, mais je n'avais pas de doute sur l'état de son slip à ce moment-là ! Camille remonta doucement un côté de son short jusqu'à ce que je puisse voir son slip à l'entre-jambe... et là, plus aucun doute possible : il avait fait caca dans son short.

- Et maintenant, tu dois te sentir un peu con, non ?

- Non... ça fait tout chaud aux fesses... et après, quand tu marches avec la culotte remplie, ça fait tout doux. Et puis, tu sais, ça se voit pas. Une fois, j'étais en colo, mon copain à fait dans sa culotte juste parce qu'il n'avait pas de papier toilette. Et bien après, il a réussi à se laver et à se changer sans que personne d'autre que moi ne s'en rende compte.

J'étais dans une situation telle que, d'une part, je m'interdisais de le faire car ça ne se faisait pas, d'autre part, j'éprouvais une énorme envie de l'imiter, peut-être aussi un peu pour le plaisir de transgresser un interdit... En attendant que je me décide, Camille palpait doucement le fond de son short, sans doute pour mesurer l'étendue des dégâts... il semblait pourtant content de lui... Maintenant, mon envie devenait trop pressante. D'une manière ou d'une autre, il fallait que je fasse quelque chose, et, le feu au visage, le cœur battant à tout rompre, j'avais trop envie d'essayer moi aussi... J’avais une folle envie maintenant de faire aussi dans la culotte. Moi, je voulais que ça ressemble à un accident, et, sous les yeux de mon copain qui commençait à s'impatienter, j'écartais un peu les jambes... Camille, qui avait compris que dans peu de temps j'aurais moi aussi l'entre-jambe bien empesé dans mon bermuda en jean, affichait un large sourire. J'ai fermé les yeux... je me suis mis accroupi... et j'ai cessé de me retenir d'un coup. Ce fut immédiatement formidablement bon. Mais au moment où je sentais que j'allais commencer à salir ma culotte, je me suis retenu à nouveau de toutes mes forces. Non, c'était trop con... Même si je mourais d'envie d'imiter Camille, je ne pouvais vraiment pas faire ça... et je me suis relevé...

- Camille, j'ose pas... avouais-je à mon copain... juste faire dans la culotte comme ça, pour voir l'impression que ça fait, j'ai bien envie d'essayer, mais c'est après, quand je serai comme toi et que j'en aurai plein partout... qu'est-ce que je ferai ? Et si on me voit ? Et quand on va marcher pour rentrer chez toi, on en aura partout... Et qu'est-ce qu'on fera des affaires ?

- Mais non, tu verras... Et puis, je te prêterai des affaires à moi... Et puis, on jettera ce qu'on a sur nous en ce moment... Et puis, si ça fait comme d'habitude, ce sera peut-être même pas la peine, parce que les élastiques des slips retiennent... Vas-y, mets-toi accroupi, me commanda Camille qui, sans crainte d'écraser ce qu'il avait dans sa culotte, appuya la parole par l'action... tu te laisses faire...

Après une courte respiration, il poussa à nouveau pour mener à bien sa démonstration. Alors, une idée lumineuse m'est venue en regardant une grosse marche qui donnait accès à la pièce dans laquelle nous étions : je vais essayer aussi, mais je ne m'autoriserai qu'un tout petit peu, comme ça personne ne le verra, J'étais passablement content de mon idée. J'avais maintenant très envie d'essayer et je pensais le faire sans que ça se voit, exactement comme Camille l'avait dit au début. Mon calcul était simple : je m'asseyais sur la marche, je relâchais mon envie qui, c'est vrai, devenais de plus en plus forte, mais, comme j'étais assis sur la pierre, je ne faisais vraiment qu'un tout petit peu. Je voyais comment ça faisant de faire dans la culotte en ne me salissant presque pas, et dans tous les cas de figure, infiniment moins que Camille... OK, ma décision dans ces conditions était prise : j'allais essayer. Mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine... mon envie devenait énorme... il fallait d'une manière ou d'une autre que je le fasse. J'allais donc faire juste un petit peu, juste pour me soulager, après ça irait mieux et on retournerait chez Camille se changer. Je m'efforçais, avant de le salir irrémédiablement, de sentir le contact de mon slip, qui était encore propre pour quelques secondes, sur ma peau. Ce contact, mêlé à la pensée de ce qui allait m'arriver et de l'énorme bêtise que j'allais faire, m'excitait. Je me préparais à vivre une expérience interdite et chaque seconde me rapprochait du dénouement. Une moitié de moi hurlait : « Non, surtout pas ! », quand l'autre chuchotait insidieusement « Et pourquoi pas, comme ça, juste une petite fois... ». Les yeux mi-clos, bien calé assis sur la marche qui avait presque la taille d'un banc, après encore un long moment d'hésitation, j'ai arrêté de me retenir, j'ai desserré les fesses en écartant légèrement les jambes, en me disant que pour que l'expérience soit concluante, il fallait quand même que je me salisse et que je m'en mette au moins un peu entre les fesses. J'attendais ce qui allait se passer avec autant de hantise que d'impatience, en étant sûr que du fait de ma position assise, il ne pouvait pas se passer grand-chose. Déjà, le simple fait de ne plus me retenir provoqua dans tout mon corps une immense onde de soulagement et de bien-être. Mais il s'est tout de suite passé quelque chose, j'ai senti mon envie descendre dans mon ventre, puis, sans aucun effort de ma part, j'ai senti le caca arriver, comme ça, tout seul. Tout de suite le caca s'est faufilé dans toute la raie de mes fesses, qui s'est presque instantanément remplie. Puis, après ces quelques secondes de soulagement, étant assis, ça s'arrêta net, rien ne sortait plus. Je sentais la raie de mes fesses très écartée par le caca que je venais de faire et c'est ce que je voulais. C'était pas pour rire, les yeux fixés sur mon bermuda, j'étais tout simplement en train de faire exprès caca dedans et d'aussi loin que je me souvienne, je sentais à nouveau la sensation d'un peu de caca dans ma culotte. Cette idée soudaine me paniqua et m'excita au plus haut point. J'aurais peut-être pu en rester là... c'était d'ailleurs mon intention... c'est pour ça que je m'étais assis sur cette pierre du reste... faire un tout petit peu... comme ça, pour voir comment ça faisait et en rester là... finir à la maison, en revenant de suite dans mon slip sale, mais bien moins que mon copain, sans que personne, à part Camille, ne puisse le savoir. Ce que je sentais entre mes fesses était déjà presque trop par rapport à ce que je voulais faire au départ. Il ne fallait pas que ça aille au-delà. C'était bien comme ça, d'autant plus que je sentais la pression s'accentuer et le caca vraiment occuper toute la raie de mes fesses, en essayant de passer un peu devant, mais aussi derrière. A cet instant, je me sentais merveilleusement bien, je ne faisais plus d'effort pour me retenir et mon envie était contenue. Je faisais par contre beaucoup d'efforts pour ne surtout pas pousser dans ma culotte, ce qui aurait tout changé dans mes projets de ne faire qu'un peu, comme ça, juste pour voir l'impression que ça fait de faire dans sa culotte... Me rendant compte cependant que ce que je sentais entre mes fesses prenait de plus en plus de volume, par rapport au tout petit peu que je m'étais autorisé, j'ai eu peur et je me suis dit « Allez, maintenant on ne joue plus... j'arrête » et je me suis retenu d'un coup en bloquant tous mes muscles, il fallait que mon envie passe....mais c'était sans calculer avec, soudainement, un mal de ventre violent comme je n'en n'avais jamais eu et j'en connaissais la cause je n'avais pas la force de me retenir une seconde de plus... je me rendais compte immédiatement que je venais de pêcher par excès de confiance en moi, je me rendais à l'évidence, je ne pouvais pas me contenter de faire le tout petit peu que j'avais escompté. Le pire, c'est que maintenant j'étais incapable de me retenir ne serait-ce qu'une trentaine de seconde de plus, le temps de baisser ma culotte en urgence pour pas faire tout dedans. Sans autre solution, regardant mon bermuda en jean, heureux du fait que ce vêtement ne laisserait pas voir par transparence ce que j'étais résigné à y faire, en espérant que l'énorme besoin que je ressentais serait contenu dans mon slip et ne le salirait pas trop, je me suis penché en avant, soulevant légèrement mes fesses de la pierre sur laquelle j'étais assis en me retenant de toute mes forces, je me suis mis debout, devant mon copain qui n'en perdait pas une miette. A bout de force, je continuais ce que j'avais à peine commencé. Aussitôt, la fulgurante douleur que j'avais ressentie s'est immédiatement transformée en une énorme onde de bien être, et à une impression de soulagement absolue, une fois de plus. J'étais à cet instant comme paralysé, totalement incapable de me contrôler. Je n'avais plus qu'une idée en tête et cette idée prenait le pas sur toutes les autres : faire caca et le faire tout de suite. J'aurais été incapable de me retenir, même 5 secondes. Camille, qui me regardait, avait compris : j'étais en train de faire caca-culotte. De la main droite à travers le short, il tenait son pénis et se caressait doucement dans son propre caca en me regardant. J'ai distinctement senti une merveilleuse sensation inconnue jusque-là : celle du caca qui prend du volume dans la culotte entre le slip et les fesses, occupant le peu d'espace disponible et de sentir sa culotte se gonfler pendant que l'on fait dedans. Je sentais une douce masse tiède peser dans le fond de mon slip et s'étaler ensuite sur mes fesses en remontant devant et derrière. Je plissais les yeux de plaisir en poussant doucement maintenant. Quelle bizarre sensation que celle de se regarder faire dans sa culotte. Il fallait maintenant que je finisse sans retenue mon envie. J'ai donc écarté les jambes un peu plus, ce qui eut pour effet de faciliter ce que je faisais. Je sentais distinctement le caca s'étaler un peu plus encore dans mon slip serré et une douce matière remplir toute ma culotte en me chauffant les fesses. J'étais à cet instant complètement ailleurs, j'étais heureux, je n'aspirais plus qu'à une chose, c'était faire le plus possible de caca dans ma culotte et, pour finir, j'ai poussé plus fort et c'est venu encore un peu. Je sentais la pression dans ma culotte remplie. Ça y est, c'était fait. J'avais les fesses toutes chaudes, je sentais que j'en avais maintenant plein la culotte et surtout, je ne l'avais pas remarqué jusque-là, il y avait partout autour de moi une forte odeur de caca et c'était pas Camille, même si ses fesses n'étaient pas plus propres que les miennes maintenant. J'avais fait dans la culotte et cette odeur, c'était bien moi. Je n'osais plus bouger. Je sentais bien que j'en avais partout. J'avais honte, mais j'étais totalement soulagé. J'avais fait caca dans ma culotte, mais j'étais bizarrement heureux. C'était pas la peine que je dise quoi que ce soit à Camille : l'odeur qui flottait autour de moi était suffisante... La masse tiède me collait littéralement aux fesses, et, avec mes mains, je palpais doucement le fond de ma culotte à travers le bermuda pour m'assurer des dégâts. J'avais presque du mal à réaliser que je venais de faire dans la culotte, alors que j'aurais largement pu l'éviter. Comment avais-je pu suivre mon copain ? J'avais honte, mais j'avais tellement trouvé ça bon que je savais que je recommencerai.

- Hé bien ! Pour quelqu'un qui voulait pas faire dans sa culotte, on peut dire que tu t'es pas retenu. Je suis sûr que t'en as plus dans la culotte que moi !

Et, pour s'en assurer, Camille me palpa les fesses pour se rendre compte par lui-même. L'idée même de comparer l'état de nos slips me sembla loufoque, mais après tout... Camille était visiblement très heureux d'avoir réussi à convaincre quelqu'un à faire caca-culotte aussi. Comme on n'allait pas rester là toute la journée, Camille a dit :

- Bon, maintenant on rentre à la maison et on va se changer.

Voilà ma première fois. Après, plein d'autres ont suivi.

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Pierre8102 Il ya 2 mois