Compilation de récits courts
Chapitre 2
Bon allez le me lance… je vais vous raconter comment je pratique ma petite manie du caca dans la culotte. Bon tout ça remonte à l’adolescence, et ce « petit jeux » que je vais vous raconter, je l’ai pratiqué plein de fois. Je suis incapable de vous dire pourquoi j’aime le faire, mais le cocktail qui consiste à braver un interdit moral et de faire une énorme bêtise produit toujours le même plaisir quand je m’y adonne.
ce jeu je le pratiquais surtout quand j’étais ado, car bien sur le fait de rentrer du collège ou du lycée avec le caca collé au fesses présenter tout de même beaucoup de risque, même si les parents n’étaient pas la , il y avait quand même le voisinage, et, mais si je me suis jamais fait tauper, j’imagine que c’est pas coule qu’en passant dans t’a voisine, elle devine ce que l’on veut cacher à tout prix.
Donc j’avais trouvé une solution qui me permettait d’assouvir ma petite manie et de sauver les apparences, voila comment je m’y prenais, voici l’une de ces fois, une sorte de « caca la culotte mode d’emploi » … en quelque sorte.
le caca culotte c’est le top, Quand j’allais en colo, il y a longtemps, j’avais remarqué que ça ne se voyait pas forcément, alors moi j’ai tout de suite préféré le faire dehors, et j'ai très vite trouvé un énorme plaisir après, à rester un peu comme ça, je veux dire à ne pas me changer tout de suite, et à rentrer à la maison en sentant bien tout le gros paquet qui me colle aux fesses et qui alourdi mon slip, et aussi en me disant sur le chemin du retour "j'ai fait caca dans la culotte - j'ai fait dans le slip - j'ai fait dans la culotte.... ou toute autre variante"
Voila par exemple comment je joue :
Si je raconte une des dernière fois, vous aurez tout compris
Plus on a envie, meilleur c’est, j’attends toujours le plus longtemps possible avant de le faire, et souvent avant de me décider, je marche longtemps, en me demandant si j'oserais ce coup ci le faire... .
La fois à laquelle je pense et que je vais vous raconter, j’avais un short (et un autre dans un sac à dos dés fois que ça se voit trop, avec du papier si à tout hasard il fallait limiter un peu les dégâts avant de revenir), et je suis parti me promener.
Donc je marche souvent assez longtemps, enfin aussi longtemps que mon envie le permet, mais souvent quand je quitte la maison ça urge déjà. souvent, je me dirige vers un coin très isolé que j’aime bien ou j’ai déjà fait d'autres caca au slip à l’abri des regards des rares promeneurs qui pourraient passer , mais cette fois là , rien a faire, c’était trop violent, je ne pouvais pas y arriver c’était trop loin. . J'ai toujours un peu peur de me promener sur les chemins après avoir fait caca dans ma culotte, j’ai toujours peur de rencontrer quelqu’un qui me connaisse et que ça se voit, mais ça doit faire partie du plaisir quand même… alors généralement le moment ou je préfère le faire, c'est quand je suis au plus profond de la forêt. En hiver c’est différent c'est moins risqué, tu peux t’amuser à le faire ou tu veux avec des vêtements qui couvrent les fesses, mais par contre tu n’as pas le choix tu doit prendre le risque de rentrer chez toi pour te changer !
J’ai fais quelques colos étant enfant, comme je l’ai dis, et je me suis rappelé d’un copain qui m’avait avoué quelques jours après une longue marche, qu’en revenant, il avait eu tellement envie que pour se calmer un peu il avait un petit peu fait dans le slip, ce à quoi un autre avait dit que lui aussi, ce jour là j’avais été choqué, et …. Comment dire ça… j’éprouvais en même temps, et inconsciemment à cette époque là, le terrible regrets de ne pas l’avoir peut-être fait aussi, surtout que ça ne les avait apparemment pas gêné de marcher dans leur caca entre les fesses et qu’en plus ils s’en vantaient après coup…. y en a même un, qui lui a priori avait tout fait dans la culotte avant d'arriver à la colo et pour qui heureusement ça c'était pas vu, il nous avait raconté, qu'il s'était précipité au WC en arrivant et qu'il s'était essuyé comme il avait pu et qu’il avait caché le slip rempli derrière le après... je l'avais pas vu, pourtant il était prés de moi, ce jour là et je n’avais rien remarqué… je m'en voulais!
Bref ce jour là, contrairement à l’habitude j’ai décidé de revivre cette occasion manquée, d’autant plus que je ne pouvais vraiment plus me retenir.
Je n’étais pas encore arrivé dans la forêt, mais j’estimais que le risque était acceptable et que même si je rencontrais quelqu’un sur le chemin, il ne pourrait rien deviner à travers mon bermuda
Je suis rentré dans un petit chemin, à l’abri des regards, je n’aime pas être vu dans ces moments d’intense intimité. je me disait avec amusement, « toi mon pot, quand tu repassera par là dans 3 minutes, t’aura la raie des fesses beaucoup moins propre , et t’en aura déjà un peu dans ton slip… » cette pensée m’a excité.
Je sentais mon cœur battre anormalement.
Je me suis un peu caché, j’ai attendu un peu et..Malgré mon envie j’ai pas osé, ça me fait toujours ça au début.
J’avais trop envie, dans tous les sens du terme, en plus, après tout, c’était juste un petit peu, allez !
et , sans que je m’en rendre vraiment compte, j’ai senti que ça venait, et... j’étais à genou, les jambes un peu écartées et j'ai commencé à faire caca dans ma culotte, j’ai senti une petite boule chaude prendre du volume dans la raie de mes fesses et commencer à s’écraser dans la culotte. Je me suis vite arrêté, j’avais adoré ce petit moment de pur bien être et de relâchement. J’avais toujours monstrueusement envie, encore plus de finir tout de suite, mais soudain, je me suis retenu si je continuer, maintenant j’irais jusqu’au bout, et j’avais peur que quelqu’un me surprenne là où j'étais, et vue l’envie que l’avais, je ne pourrais rien cacher… j’ai mis une main sur mes fesses, on ne pouvait pas voir ouf ! mais moi je sentais bien que j'étais plus propre. je me suis relevé et je suis reparti.
j’’ai marché, comme si de rien n’était, j’avais toujours très envie, mais maintenant c’était un peu plus supportable. J’ai même rencontré des gens, heureusement je ne connaissais personne, et puis même, on ne pouvait pas deviner ce que j’avais dans la culotte et qui me faisait tout drôle en marchant. C’était marrant, j’avais l’impression d’étaler un peu plus ce que j’avais dans mon slip à chaque pas, javais l’impression ça glissait dans le fond de ma culotte, j’imaginais ce qu’avait ressenti les copains dont je te parlais tout à l’heure, et ça me faisait tout drôle. Le slip collait légèrement ce n’était pas désagréable, j’aurais du le faire aussi à cette époque je me suis dit sur le coup.
Et puis je suis enfin arrivé dans la forêt, ça tombait bien, j’avais à nouveau terriblement envie de finir ce que j’avais à peine un peu commencé. Là, les choses sérieuses allaient pouvoir commencer. E t là, ce petit caca à la culotte de tout à l’heure, qui n’avait fait que de m’exciter encore plus, m’avait mis dans un état pas possible
je ne rêvais plus que d’un chose, c’était de m’en mettre partout, il fallait que je sente ma culotte remplie, pleine à déborder
j’ai pris le premier sentier qui s’enfoncçait, je me suis enfoncé de quelques centaines de mètres dans la forêt, j’ai traversé un buisson, et j’ai marché encore un peu jusqu'à une petite clairière totalement inaccessible.
j'ai écouté, il n'y avait personne, le silence, j'étais tout seul, personne pouvait me voir.... et là j’ai décidé que c’était l’endroit…
fou d’énervement, (je le fais pas souvent alors quand je peux …)
totalement à l’écoute du plaisir que je m’apprêter à me donner, dans le bruit des feuilles agitées par le vent et de la nature, les jambes à nouveau légèrement écartées, d’un coup, j’ai tout a fait arrêté de me retenir, et je suis resté à l’écoute des sensations de bonheur animal que j’allais me donner...
Se soulager normalement aux WC, à un moment ou la pression se fait très très forte, c’est bon, le faire dans les mêmes conditions dans la culotte sans la hantise d’en avoir honte, c’est puissance 10 !
Immédiatement, j’ai repris le plaisir là ou je l’avais laissé, tout de suite je me suis sentit formidablement bien par le soulagement de l’effort de me retenir que je ne faisais plus, ce qui me donnait l’impression d’être soudain léger.
cette onde de bien être intérieure rapide, à tout de suite été suivie par une masse douce et tiède qui m’a donné l’impression d’une caresse en prenant du volume dans mon slip, JE FAISAIS CACA DANS MA CULOTTE sans effort…j’étais bien… au moment ou mon envie s’est arrêtée d’elle-même, je sentais bien que j’en avais déjà plein la culotte, jusque là je m’étais efforcé de me laisser aller, et puis d’énervement j’ai poussé…. Et J’ai tout fait
J’ai senti le slip se gonfler d’un coup énormément et la douce masse tiéde comprimée entre mes fesses te la culotte se faufiler dans le slip et s’étaler devant et derrière. j'avais une main sur les fesses et je sentais mon slip qui se gonflait. je me régalais de me sentir entrain de faire caca dans la culotte... mais l'instant d'après, c'était fini je venais de faire dans la culotte comme un gamin et j'étais bizarrement heureux...
L’odeur âcre caractéristique flottait autour de moi, j’avais fais, la main que je promenais sur le fond de mes fesses ne laissait pas de doute… je pouvais être comblé, si mon désir était de faire débordé le slip, j’avais gagné, je sentais que j’en avais partout, et là plus question de cacher quoique ce soit, autant par l’odeur que la bosse que je j’avais aux fesses et que je palpais pour me rendre compte…. cette constatation rapide me fit sourire, pensant à tout ce qui venait de m’arrivait, en quelques aller et retour carrément à travers le bermuda l’autre main qui palpait la lourde masse qui débordait probablement du slip et me collait aux fesses, je suis tombé à genoux en éjaculant et en pleurant presque de plaisir. C’était fort j'avais fait caca dans la culotte
Ce trop court instant de griserie passé, hélas, comme d’habitude, je me suis senti nul, con, absurde, honteux et déprimé d’avoir fait ce que j’avais fait, mais incapable de me promettre de plus jamais le faire
Alors après cette fugitive onde de plaisir, j'ai mis mon sweet autour de la taille pour cacher les éventuels dégâts et j'ai pris le chemin du petit ruisseau qui traverse cette forêt…
dans mon sac à dos le nécessaire « caca culotte » était bien présent.
j’ai marché comme ça pendant ¼ d’heure. je sentais que j’en avais plein le slip, je sentais à chaque pas le paquet balloter dans le slip, j’en avait des couilles jusque haut derrière… et ça m’amusait. j’ai même refait mon lacet ! ce qui n’a pas arrangé mes affaires. en marchant je touchait un peu mon zizi à travers la poche que qui faisait monter à nouveau mon excitation…
arrivé prêt du ptit ruisseau, j’ai choisi l’endroit le plus intraversable pour me réfugier à l’abri de tout regard indiscret (bon y’avait eu du repérage avant !) et là j’ai baissé doucement le bermuda, bon je me doutait qu’il ne s’en était pas sorti indemne, j’ai descendu un peu le slip et je me suis encore donné du plaisir…..
après lavage dans le ruisseau, abandon du slip à son triste sort, habit de rechange, le bermuda touché dans le sac en plastique pour lavage ultérieur et retour à la maison …
En rentrant, j’ai prends une longue douche de sécurité et j’ai caché le bermuda pour le glisser dans une future machine..