Yoann
Chapitre 1
Chapitre 1
Je m'appelle Yoann et je viens d'avoir mon bac. Depuis toujours j'ai des petits problèmes pour me retenir, ce qui fait que je préfère souvent porter des couches par précaution.
Une tante que j'affectionne beaucoup et que je vois trop rarement est venue passer quelques jours à la maison en Belgique. Elle m'a proposé d'aller passer quelques jours chez elle pendant ces vacances d'été et j'ai accepté. Elle habite au bord de la mer, dans le sud de la France.
Comme le trajet est long, il a été décidé de prendre le train. Il va falloir que je trouve de quoi m'occuper durant toute la traversée de la France et ce n'est pas facile. Je me suis réveillé tôt et j'ai préféré mettre une couche, au moins pour le début du trajet.
Juste avant de partir à la gare, mes parents nous aident à charger les bagages dans la voiture et nous voilà en route pour aller prendre le train. Je m'endors sur le chemin. Arrivés à la gare, je m'extirpe de la voiture, à peine réveillé. Je sens que j'ai eu raison de mettre une couche, car elle a sevi. En sortant mon derrière devient tout à coup très rebondi. Qu'à cela ne tienne, nous saluons mes parents avec ma tante et nous avonçons jusqu'au quai, avec une couche déjà à moitié pleine aux fesses.
C'est le moment de trouver le bon wagon et la bonne place, ce train est vraiment long. Nous trouvons enfin nos places et je m'installe confortablement, lové dans son siège à côté de ma tante. Environ un quart d'heure après le départ du train, j'ai encore envie de faire pipi. J'hésite à faire dans ma couche. Comme je suis côté fenêtre et que je n'ai pas envie de déranger ma tante qui est visiblement bien installée, je décide de ne pas me lever et je me rendors ensuite.
Pour tout le voyage, j'ai prévu deux couches de rechange, en pensant que c'est suffisant. Un peu plus tard, j'ai encore envie de faire pipi et je me relâche dans ma couche, les yeux fermés, en savourant ce privilège. Au bout de deux heures, ma couche commence a être bien remplie et il temps d'aller me changer. Je me lève et je vais dans l'espace de change entre notre wagon et le suivant. C'est un peu étroit et je dois rester debout le temps de me changer. Je baisse mon pantalon jusqu'aux chevilles et je me retrouve en couche. Je retire ma couche remplie de pipi et me place une nouvelle couche propre entre les jambes. Je fixe les scratches et me remonte le pantalon le long des jambes. Puis je retourne à ma place. Là je me remets en place sur mon siège, calé contre la fenêtre avec mon manteau pour soutenir ma tête et me servir de couverture. Je me rendors doucement.
Arrivés en gare à Paris, je me fais secouer doucement et en ouvrant les yeux, je vois ma tante me faire signe qu'il faut quitter le wagon :
- Yoann, réveille toi, on est à Paris.
- Hmmm...
- On va changer de train. Allez, viens.
Nous sortons du train avec noss bagages. Sur le quai, je sens ma couche pendre lourdement entre mes jambes et je réalise alors que j'ai fais pipi durant mon sommeil. Comme je ne porte que ma couche sous mon pantalon et elle se remarque vraiment. Ma tante, qui est au courant de mon problème, me fait remarquer que je suis bon à être changé. On se dirige alors vers des toilettes, avec la dernière couche de rechange. Je ne trouve pas d'espace de change libre et je vais m'enfermer dans la partie pour handicapés des toilettes femmes. Là, comme il y a de la place, je pose une serviette par terre, je m'allonge sur le sol et je me change. J'hésite à faire pipi avant de mettre une nouvelle couche, mais je n'ai pas envie vu que je venais de vider ma vessie en sortant du train.
Me voilà alors avec une couche propre solidement fixée, grâce à une position meilleure lors du change pour que ma couche soit bien maintenue. Tout à coup, j'entends ma tante qui m'appelle, notre train de correspondance arrive et il faut se préparer à monter dedans. Dans une cohue générale, on parvient à monter dans le TGV et à prendre nos places dans un carré de quatre, près des toilettes.
A peine le train reparti, je réalise que j'ai oublié d'acheter de nouvelles couches "au cas où". Le trajet reprend, long et monotone. A présent je suis mieux réveillé, mais je n'hésite quand même pas à me servir de ma couche. Puis je me remets à somnoler et le temps continue à passer. Je continue à remplir peu à peu ma couche. À un moment, je sens poindre une envie de faire caca et je la laisse passer, mais elle s'installe. Peu après, je me mets soudain à avoir vraiment besoin de faire caca. Il faut que j'aille aux toilettes. Ma tante dort à coté de moi et je n'ose pas la réveiller ni insister face aux personnes assises en face de nous.
Vu que je suis confortablement installé, je décide de faire dans ma couche, après tout elle est là pour ça. J'avoue que sur le moment je pensais que l'odeur ne serait pas un problème. Mais bon, je me soulage dans ma couche et je fais diminuer la tension dans mes intestins. Ma couche devient plus confortable, parce que ça me fait comme un coussin qui épouse la forme de mes fesses. Au bout de quelques minutes, ma tante commence à se douter de ce que j'ai fais, parce que ma couche commence à sentir légèrement. Ma tante me regarde étonnée et me fait signe d'aller aux toilettes.
Comme ma couche est trempée et que le caca commence à remonter, je décide d'aller me changer sur le champ. Je me lève et me dirige vers le coin change pour bébés, qui est juste en face des toilettes. Je dois attendre dans le couloir, avec ma couche bien remplie et malodorante, car la cabine de change est occupée. Je commence à avoir vraiment honte, parce que je baigne à présent dans une puanteur accentuée par l'étroitesse du couloir.
Enfin, la cabine se libère, en sort une jeune maman avec un bébé dans les bras. Je m'empresse de rentrer dans le coin change. Je ne peux rester debout pour me changer, donc je monte sur la table à langer. Elle est très courte et je me retrouve avec le dos allongé et les jambes à la verticale le long du mur. Là je retire ma couche sale et me nettoie avec des lingettes. Puis je me remets debout et je ne me remets qu'un slip et mon pantalon. Maintenant il va falloir faire attention de ne pas faire pipi dans ma culotte.
Je retourne à ma place et j'écoute de la musique. Quand j'en ai marre, je me mets à dessiner et à bouquiner. Je commence à m'ennuyer et j'endors.
À un moment, ma tante, qui me surveillait du coin de l'œil, remarque une tâche sur mon entrejambe. Elle me réveille et me dit d'aller faire pipi aux toilettes.
Je me dirige donc vers les toilettes, mais il y a la queue. Ma tante me surveille, mais il y a plein de monde et j'attends longtemps. Peu après, elle arrête de me surveiller et reprends sa lecture. J'attends encore et je commence à me lasser. Tout à coup, je décide que j'en ai marre et je retourne à ma place sans être passé aux toilettes.
- C'est bon ?
- Oui, oui...
- Tu n'as plus envie ?
- Non...
En fait, je commence à avoir envie, mais comme je suis censé revenir des toilettes, je me tais.
Une heure plus tard, je suis en train de faire la course sur Mario kart, sur ma PSP et je suis ultra concentré. Je suis sur le point de gagner un trophée ! Mais à un moment, je sens de l'humidité et je sens que quelque chose coule entre mes jambes. Je réalise brusquement que je suis en train de faire pipi. J'essaie de me retenir, mais c'est trop tard et je me retrouve bien trempé. Je continue à jouer comme si de rien n'était. Par miracle, les autres voyageurs ne remarquent rien.
Je fais un signe à ma tante qui aperçoit alors mon entrejambe et voit les dégâts ! Elle se montre plutôt compréhensive et me prête un pull pour cacher mon accident. Je prends de quoi me changer dans ma valise. Je vais une nouvelle fois dans le coin change et je rentre dans la cabine. Je reste debout et je me nettoie sommairement. J'enfile un nouveau slip et un nouveau pantalon de jogging. Je suis de nouveau dans des vêtements propres et je reviens à ma place. Je me remet à jouer un moment, mais je me lasse et m'endors peu à peu. Cette fois, ma tante me réveille aussitôt en me faisant comprendre qu'il vaut mieux ne pas me rendormir avant d'être arrivé.
Je me remets à ma lecture et j'en ai peu à peu marre. Je reprends donc ma PSP et je sens tout en jouant que ma vessie se reremplie. Mais cette fois, je suis bien décidé à ne pas me faire avoir et ne pas refaire pipi dans ma culotte. De temps en temps, je vérifie donc que je ne risque rien et je continue à jouer. De nouveau, je repasse les niveaux de mon jeu et je me retrouve encore une fois dans la position de celui qui a envie de faire pipi, mais qui est absorbé dans son jeu. Je me décide alors à un compromis. Comme la pression commence à être forte, je vais juste faire un peu dans mon slip et il sèchera à la chaleur de mon corps.
Je me relâche donc un tout petit peu. Ça se passe bien et je ne lâche qu'un petit jet dans mon slip. Je sens alors la légère rugosité du slip mouillé sur moi, mais ça ne me dérange pas, même si c'est plu confortable avec une couche. Mais un peu plus tard, j'ai encore envie. Je relâche un autre jet, et là je passe de peu à côté de la catastrophe. En effet, j'ai beau essayer de me retenir après mon premier jet, j'en relâche un autre, puis un autre, puis un autre... J'ai très peur de ne m'arrêter qu'une fois ma vessie vide ! Heureusement, au bout de quelques jets, je parviens à m'arrêter et à reprendre le contrôle de ma vessie. Je mets mon jeu en pause et je constate discrètement les dégâts. Je sens que mon slip est vraiment trempé, mais je ne vois rien extérieurement. Il y a juste une tache légèrement plus foncée, qui ne m'inquiète pas. Je me dis alors que de ce côté là, il n'y a pas de problème si les autres décident de regarder de mon côté.
D'ailleurs, ma tante ne manque pas de me surveiller du coin de l'œil, vu que tout à coups je me suis mis à remuer, mais elle ne remarque rien. Une fois que ma tante est retournée à sa lecture, je passe discrètement une main sous mes fesses. Et là je constate que les dégâts sont beaucoup plus importants que prévu, je suis complètement trempé. Il y a une grande zone très humide sur mon pantalon, sous mes fesses. Je commence à avoir peur, parce que les autres voyageurs le verront obligatoirement si je dois me lever ! J'espère quand même que je vais réussir à le cacher et que ça aura le temps de sécher d'ici l'arrivée du train. Je demande donc à ma tante quand on arrive :
- Dans quelques heures, ne t'inquiète pas.
Je me dis qu'avec un peu de chance, mon pantalon aura le temps de sécher. Je me remet à jouer tranquillement.
Le midi, je reste assis à ma place et je mange sans faire d'histoires les sandwichs prévus. Je mange et je bois sans faire attention à une possible envie de faire pipi. Et comme il commence à faire chaud, je bois beaucoup !
Après manger, je me remets à jouer sur ma PSP. Au bout d'une heure et demie, je repasse ma main sous mes fesses et sens que je suis à peu près sec. Heureusement qu'on est en été et qu'il fait chaud ! Comme ça, mon pantalon et mon slip ont eu le temps de sécher, et beaucoup plus vite que ce à quoi je m'attendais. Mais je sens encore une fois une envie de faire pipi poindre. Je me dis que là, il faut que j'arrête de tester mes limites et je vais aux toilettes sous l'œil attentif de ma tante. Il n'y a pas de queue et c'est tant mieux. Je rentre, je baisse mon pantalon et mon slip, qui reste malgré tout un peu humide. Je fais un peu pipi et je ressors. J'ai une légère envie de faire caca, mais je me dis que ça peu attendre. Je me rhabille et rejoins mon siège. Je me remet à jouer, et je bois régulièrement, vu la chaleur dans le train.
Au bout de deux heures, je sens à nouveau une envie de faire pipi. Mais à nouveau, je suis occupé et je me dis que ça va aller. Je reprends mon ancienne technique : faire un peu et attendre que ça sèche. De toute façon, me dis-je, personne ne verra rien. En plus je ne risque pas grand chose, vu que je maitrise bien ma technique et que tout à l'heure, c'était juste que j'avais vraiment beaucoup besoin de faire pipi. Là, je ne ressens qu'une légère envie et je me dis que je peux contrôler la situation.
Je relâche donc ma vessie, prêt à recontacter mon ventre pour me retenir. Mais l'envie de faire pipi est traitresse. Je ne ressens qu'une légère envie, mais quand je me mets à bouger un peu sur mon siège, je me rends compte de mon erreur. J'ai en fait vraiment une forte envie, mais comme je ne bougeais pas et que j'étais tranquillement assis, je ne ressentais qu'une envie faible. Lorsque je relâche ma vessie, j'ouvre les vannes en grand et je suis incapable de me retenir. Inévitablement, du pipi commence à couler le long de mes jambes, malgré mes efforts désespérés pour reprendre le contrôle de mon corps.
Ma tante, en entendant des gouttes tomber sur le sol en plastique, se tourne vers moi et voit ce que je suis en train de faire. Elle voit une auréole se former sur mon pantalon, s'agrandire et s'allonger le long de mes jambes. J'ai le regard terrifié des petits garçons qui sont en train de faire une grosse bêtise, mais qui ne savent que faire. Ma tante me fait alors me lever devant tout le monde, mais cela ne m'arrête en rien de faire pipi. Pire, à ma grande horreur, je sens une autre envie poindre. Mes intestins se contractent et je me dis que là, c'est vraiment la catastrophe !
A suivre...