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Compilation de récits courts

Chapitre 7

Petits jeux entre copains

Découverte de la sexualité, touche-pipi et caca-culotte

Jusque vers l'âge de 11/12 ans, les choses touchant le sexe me laissaient totalement indifférent. Comme d'autres sûrement, vers 12 ans, j'avais un super copain, le meilleur copain du monde, celui qu'on voit tout le temps en classe et qu'on cherche dès que le weekend arrive. Pour moi, ce copain-là, il s'appelait Paul. Comme il avait redoublé une fois, il avait un an de plus que moi. À cette époque, les filles me semblaient être des créatures inabordables, ne partageant aucun intérêt commun avec les garçons. Paul était beaucoup plus en avance que moi sur tout ce qui touchait aux histoires de zizi - en fait il l'était peut-être un peu trop ! Bon, d'une part il avait un an de plus que moi, en plus il avait deux sœurs, et moi pas, ce qui lui conférait un net avantage par rapport à moi, qui, à 11 ans, n’avait même pas entre-aperçu sa mère toute nue ! Il habitait dans une petite maison et il dormait dans la même chambre qu'elles. C'est lui en fait qui le premier m'a expliqué plein de choses sur l'amour. Comment les garçons mettent leur zizi dans le minou des filles et le plaisir que ça donne. Le plaisir, moi je ne savais pas encore. Je n'avais encore jamais joui en éjaculant. Bon si, dans mon lit la nuit, sans le faire exprès, mais ce n'était pas pareil. Par ailleurs, même s’il m'était déjà arrivé de faire pipi au lit la nuit, c'était en colo. Je l'avais fait quelques fois, un peu exprès, un peu par paresse de me lever dans la nuit, un peu aussi par curiosité pour voir quelle impression ça faisait. Pour la première fois aussi parce qu’il y en avait d'autres qui le faisaient, qu'on ne se faisait pas engueuler le lendemain et, pour les fois suivantes, parce que finalement j'aimais bien ça, même si je ne savais pas pourquoi.

Un jour, je ne sais plus pourquoi, Paul m'a raconté qu'il avait vu son cousin pisser dans sa culotte devant lui. Il m'avait raconté en détail ce qu’il avait vu : comment il avait vu son bermuda s'assombrir d'un coup sur le devant et le pipi couler le long de ses jambes écartées. Ce jour-là, je ne sais pas trop pourquoi, il m'avait excité avec son histoire et, dans l’énervement, je lui ai avoué que je l'avais déjà fait moi aussi, juste pour voir, et que j'avais même quelques fois déjà pissé au lit la nuit, pas tout à fait par accident. Je lui avais aussi raconté la couche que j'avais piquée à la voisine, dont le gamin mouillait encore son lit à 7 ans, et que la nuit suivante j'avais pissé dedans, comme ça, pour voir. Après coup, je regrettais et je redoutais un peu l'effet que cette révélation allait produire chez lui, peut-être même qu'il allait me prendre pour un débile profond, mais contre toute attente, ce ne fut pas le cas. Et cette petite confidence nous avait emmené rapidement vers d'autres jeux.

Quelques jour après, on n'avait pas cours l'après-midi et, comme c'était le cas dans ces moments-là, je passais souvent chez lui, surtout que sa maison était vide. On était monté dans le grenier, c'était là qu'on faisait généralement nos bêtises quand il n’y avait personne chez lui et je pensais qu'on allait s'amuser. Mais, venant de Paul, j’aurais dû me douter que je n’étais pas encore arrivé au bout de mes surprises ! Il m’a alors dit :

- Tu sais ce que tu me disais l'autre jour, moi aussi j'aime ça !

- Quoi ?

- Ça !

- Ça quoi !??!

...et j'ai instantanément compris : dans la lumière poussiéreuse du grenier, j'ai tout de suite remarqué un petit rond sombre qui venait de se former sur le devant de son jean. C'est bon, j'avais compris : Paul était tout simplement en train de faire pipi dans sa culotte. Inutile de dire que je n'en perdais pas une miette ! Il avait les bras ballants, la tête un peu baissée, il se regardait visiblement amusé par ce qu'il faisait devant moi. Le petit rond du début était devenu un gros ovale. Moi qui jouais aussi à ça de temps en temps, je savais ce qu'il ressentait à cet instant-là . Son pipi devait commencer à lui couler le long des jambes. La tache mouillée n'en finissait plus de grossir et descendait le long de son pantalon jusque entre ses pieds. Un petit filet de pipi coulait directement du bas de son jean trempé et de grosses gouttes tombaient d'entre ses jambes un peu écartées sur le sol, en faisant des petits bruits mouillés dans la flaque que Paul avait entre ses baskets, qu'il avait sûrement oublié d’ôter. Paul venait de faire pipi dans la culotte devant moi !

- Ouah ! t'as pissé dans la culotte !

- T'as dit que toi aussi tu l’a déjà fait !

- Oui, mais…

Je ne savais plus quoi dire. Paul se regardait dans son jean tout trempé et sûrement encore tout chaud de son pipi culotte. Il me dit :

- Moi, quand je pisse dans la culotte, j'aime bien ne pas me changer tout de suite, et toi ?

Moi ? J'étais un peu décontenancé. Alors, Paul m’a avoué que l'histoire de son cousin c'était que des conneries, pour voir comment je réagissais, et qu'il espérait que j'allais lui dire ce que je lui ai finalement dit. Paul était assis, il était trempé, même son T-shirt, qui était rentré dans son pantalon, avait aussi été mouillé. Alors, il m'a raconté comment il jouait pour ne pas se faire tauper. Du coup, je lui ai raconté mes pipis au lit de gamin, enfin les pas trop par accident ! Alors Paul m'a demandé de faire comme lui. Mais moi je ne pouvais pas. C'est pas que je n'avais pas envie, mais il fallait que je rentre à la maison après et là, pas question de rentrer avec le pantalon mouillé ! Alors Paul, pas à court d'argument, m'a dit :

- Fais pipi que dans ton slip, tu l'ôteras après !

C'est vrai je n'y avais pas pensé. En plus j'en mourais d'envie. L'instant d'après j'avais ôté les baskets et le pantalon Je me suis retrouvé en slip, avec tous mes habits pliés à côté, comme un couillon, à me demander si je devais pisser tout de suite dans le slip, avant de plus pouvoir le faire parce que je banderais trop pour ça. Dans un coin du grenier, il y avait un vieux pot de chambre, comme il y en avait dans le temps dans toutes les tables de nuit. Paul me l'a montré et m'a dit :

- Moi, j'ai déjà pissé dans ma culotte, assis sur le pot. C'est marrant !

Sans attendre, je me suis assis sur le pot en émail. Malgré le slip que j'avais aux fesses, c'était un peu froid et j’ai pas attendu : j'étais pas encore assis dessus que je faisais déjà pipi dans la culotte. Ça coulait directement dans le pot en faisant des petits clapotis. Le slip, qui dans mes souvenirs d'ado était gris clair, devenait tout foncé une fois humide. À peine fini de faire pipi, je me suis relevé pour montrer à Paul qui était accroupi devant moi, comment j'étais mouillé. Le slip encore trempé me dégoulinait le long des jambes, ça m'amusait. Je me suis même forcé à refaire un peu pour que ça me coule encore le long des jambes.

Paul s’est relevé. Moi maintenant, je bandais dans mon slip mouillé qui me collait aux fesses. Ça me fait toujours le même effet quand je viens juste de faire pipi-culotte et à priori, je n'étais pas le seul. Paul n'a pas résisté à l'envie de me toucher à travers le slip et a commencé à me branler doucement… que c'était bon. Moi de mon côté, je voulais lui rendre la pareille. J'ai touché son pantalon trempé, j'ai baissé sa braguette, baissé un peu son pantalon, et je l'ai branlé un peu aussi et très vite, presque en même temps, il a poussé un petit cri et s'est contracté. Il éjaculait dans ma main qui était encore dans son slip et je l'ai suivi presque aussitôt !

Je suis rentré nu sous mon jean ce jour-là, fatigué mais décontracté. Paul avait caché nos affaires mouillées dans un coin du grenier et il était redescendu dans sa chambre pour chercher des affaires sèches. Le pipi-culotte était devenu un jeu supplémentaire à compter de ce jour-là. Bon, je raconte tout ça en raccourci, mais tous ces petits événements étaient souvent très espacés dans le temps et je ne raconte que les premières fois. Les autres on avait toujours autant de plaisir, mais ce n'était que des répétitions, avec quelques variantes.

Je ne sais plus exactement quand c’était le cran suivant dans les bêtises que constituaient nos jeux un peu débiles. On était une fois de plus ensemble (il faut dire qu'à cette époque on était les meilleurs copains du monde, s'il y avait une connerie faite par l'un, sûr que l'autre n'était pas loin !) Je ne sais plus trop, je dirais 1 an, 1 an et 1/2 après nos premières branlettes ensemble, on était en train de ramasser le maximum de muguets pour le vendre et se faire un peu de tunes pour le 1er mai qui approchait. Je ne sais plus quel jour ça pouvait être, mais sûr, il n’y avait personne à la maison avant le soir. Dans la petite ville où nous étions, il y avait pas loin du coin où on habitait tous les deux une forêt. Dès le début de l'après-midi, Paul était passé me chercher et on était parti dans la foulée. L'idée c'était de remplir des cartons pour préparer des bouquets après. Bon, je sais : ce que je vais vous dire peut écœurer, mais tant pis, j'ai décidé de tout dire. Au moment où Paul est venu me récupérer, j'allais aller aux WC. Mais bon, sur le coup, comme il était pressé, j'ai estimé que ça attendrait bien le soir. En dehors des moments où on pétait les plombs avec nos conneries, on était des enfants totalement normaux ! Et là, c'était le cas. On trouvait le muguet et c'était cool, les affaires allaient marcher. Sauf que moi, je commençais à payer mon empressement de tout à l'heure et je regrettais amèrement de ne pas avoir été au WC tout à l'heure. Une demi-heure après, j'en pouvais plus, j'avais un mal de ventre terrible et j’en connaissais la cause. Même si avec Paul on ne se cachait rien (et pour cause), ça me gênait de retirer ma culotte près de lui pour faire ça ! Je ne pourrais pas attendre non plus de retourner à la maison, ça c'était sûr aussi et l'idée la plus con que j'ai jamais eu m'est arrivée comme ça, sans y réfléchir, comme si elle venait de quelqu'un d'autre : et si je faisais caca dans ma culotte ça changerait quoi ?

Ça, promit, je l'avais jamais fait encore, je veux dire ado, bien sûr ! je pense que j'ai presque 14 ans à l'époque. Rapide évaluation des risques. Bof… possible, personne à la maison pour me voir débarquer au cas où je le ferais pour de vrai, c'est pas Paul qui allait me cafter ! On était trop impliqué tous les deux dans les conneries, pas trop de risques quoi ! Des cacas dans la culotte, j'avais déjà vu des copains à qui c'était arrivé, surtout en colo. C'est vrai que les colos pour ça, entre les pipis au lit et les cacas-culotte et pas forcément chez les plus petits, fallait être aveugle pour pas les voir. On sentait que les mamans étaient loin ! La moindre occasion où les enfants étaient absents de la colo toute la journée (pique-nique + grand jeu de piste, par exemple) et c'était sûr qu'au retour, il y en avait au moins un ou deux qui revenaient en ayant fait dans la culotte, sans compter ceux qui l'avaient fait et qui avaient réussi à le cacher jusqu'au retour, ça pour des motifs d'une futilité inimaginable, du style « Bah, y avait pas de papier toilette » ou « Y avait pas de WC » ou « J'avais trop envie et je pensais qu'on le verrai pas, alors j'ai fait dans la culotte ». Bizarrement, c'était surtout les garçons qui faisaient caca dans leur culotte !

Bref, après m'être fait ces différentes réflexions et le fait que je me disais (moi aussi !) que j'avais pas de papier, du coup je comprenais mieux. J'étais surtout mal comme tout et j'avais vraiment trop mal au ventre. Je m’en souviens comme si c'était hier. J'avais un bermuda de sport assez large ; ça devrait sans doute cacher. Malgré moi, je sentais mon excitation monter, ma décision était débile, ça je le savais. Je sentais mon cœur battre à l'idée de commettre une bêtise aussi folle et pourtant j'étais sur le point de craquer. J'étais accroupi dans un coin ou il y avait du muguet. J'ai arrêté de cueillir. Je me suis mis dans la même position que sur un WC à la turque, (ceux où on s'assoit pas et où il y a juste un trou), sauf que là j'avais pas ôté la culotte. J'ai écarté les genoux tout grand. J'en pouvais plus tellement j'avais mal au ventre, mais j'osais pas, j'hésitais. À un moment, dans la position dans laquelle j'étais, j’en pouvais vraiment plus, j'ai arrêté de me retenir. D'un seul coup, d'énervement, sans y réfléchir, j'ai même poussé dans la culotte et l'instant d'après, en sentant quelque chose de chaud et doux commencer à s'étaler dans mon slip, j'ai été comme ramené d'un coup à la réalité : je fais caca dans ma culotte. J'en étais effrayé, mais en même temps je ressentais un énorme bonheur dû au soulagement de ne plus avoir à me retenir. Le point de non-retour était franchi, j'ai senti sans aucun effort de ma part, la raie de mes fesses se remplir. Ça y était, je le faisais, je faisais caca dans la culotte par flemme d'aller me cacher plus loin où on m'aurait pas vu et parce que j'avais la paresse de me retenir plus longtemps... Et là, maintenant que j'avais commencé, je ne pouvais plus me retenir, il fallait que j'aille jusqu'au bout de mon envie, j'aurais été incapable de m'arrêter là. Dans la position que j'avais, Je sentais le caca qui s'étalait partout dans mon slip, ça me réchauffait les fesses, c'est con, mais à ce moment-là qu'est-ce que j'étais bien, même si j'étais sûr que je regretterai après. Je me sentais léger, je me suis même surpris à la fin à pousser plus fort dans ma culotte, ce qui eut pour effet de finir mon envie et de remplir un peu plus le slip. L'instant d'après, c'était fini. L'onde de plaisir dû à mon soulagement s'estompait, sans avoir besoin de me toucher, je sentais bien que j'en avait plein le slip et que je ne m'étais pas raté ! C'était marrant, ça faisait tout doux. J'imagine que je comprenais là les enfants que j'avais vus il y a quelques années. Je ne bougeais plus, je savais que j'en avais plein la culotte, je ne voulais pas trop le dire à Paul, sûrement pas plus que les gamins que j'avais vus ne souhaitaient que leur mono ou que leurs copains le voient. Bon, c'était possible si on n'avait pas trop fait, j'avais l'impression que c'était pas mon cas. Je m'étais vraiment pas retenu du tout et là, à cette heure-ci, je sentais bien le poids de la masse que j'avais fait dans le slip qui me collait aux fesses. Fallait que je change de coin sans que ça se voit. Là, on ne pouvait pas ignorer ce que je venais de faire, à cause de l'odeur qui flottait autour de moi. J'ai fait comme si de rien n’était. Je me suis relevé incognito, je sentais bien ce que j'avais dans la culotte. J'ai passé la main entre mes jambes, j'ai senti le paquet que j'avais entre les fesses. J'étais un peu terrifié par ce que je venais de faire et je crois que je regrettais. Pourquoi j'avais fait ça ? Mais c'était trop tard. Je venais de faire caca dans le slip et j'avais honte, à presque 14 ans, d'avoir fait ça. J'ai fait quelques pas pour m'éloigner un peu de Paul, en faisant semblant de chercher un autre coin. Ça faisait tout drôle.

Comment j'allais faire pour que Paul ne le voit pas ? Ça faisait tout doux dans ma culotte. En marchant ça bougeait dans mon slip, j'avais l'impression que ça glissait et il a bien fallu que je me baisse pour ramasser d'autres muguets. Plus tard, Paul est venu me rejoindre. J'ai rien dit. J'ai voulu rien dire. Tout en continuant à cueillir, sans que je le vois, il est arrivé près de moi. Ça, j'aurais dû l'éviter mais j'ai pas eu le temps de changer de coin, il me causait et d'un coup il m'a dit :

- Putain ça pue ! T'as pété ? T'as bouffé un mort ou quoi ?

Ça m'a fait marrer, mais j'appréhendais un peu la suite. Il restait à côté de moi, trop près. En reniflant. Je ne pouvais plus m'éloigner. Paul s'était arrêté de cueillir. Il me regardait d'un drôle d'air. Il avait compris.

Alors je lui ai avoué :

- J'avais trop envie tout à l'heure… je ne pouvais plus me retenir… et puis ça me gavait, j'avais trop envie et je pouvais pas attendre de rentrer à la maison. Alors, j'ai fait caca dans la culotte.

- Ouha ! T'as pas fait ça ! Montre…

- Montre quoi ?

- Montre ton slip !

Je ne voulais pas. J'avais plutôt envie de rentrer pour me changer. J'ai senti qu'il me tâtait les fesses pour évaluer les dégâts… je n’osais plus bouger. Je me sentais dans mon caca comme un petit garçon qui vient de se faire prendre, je ne savais pas comment il allait réagir, jusqu'à ce qu'il me dise :

- Ouah c'est cool ça ! Montre par une jambe !

J'ai consentis à remonter une jambe du bermuda qui était large jusqu'à l'entrejambe. Je me doutais de l'état de mon slip. Quand je lui ai montré mon entrejambe, il a dit :

- Bhin ! T'as chié dans la culotte pour de vrai !

On est rentré chez moi. En chemin, il s'amusait à me toucher les fesses. J'avais peur que ça déborde. En marchant, le caca se collait et se décollait de mes fesses et maintenant ça faisait un peu froid. Arrivé à la maison, je pensais que Paul allait me laisser, mais il n'en fut rien. C'est lui qui m'a déshabillé. Il voulait voir… quoi ? Je ne sais pas. C'est même lui qui a baissé mon bermuda. Il était sale, surtout entre les jambes, et il a regardé dans mon slip distendu. Finalement, malgré le trajet, les élastiques du slip avaient limité les dégâts. Doucement, j'ai descendu le slip en faisant attention de ne pas trop me salir les jambes. Il était rempli. Je l’ai mis dans un petit sac poubelle. Je me suis essuyé comme j'ai pu dans les WC et j'ai pris une douche.

Quelques jours plus tard, Paul, qui ne restait jamais en retard d'une bêtise, à l'occasion d'une de nos balades dans le terrain vague, m'a aussi fait la surprise de se laisser aller dans son slip. En arrivant chez lui, il n’était pas seul et il s'est fait tauper par sa mère. Dommage !

Nous avons « joué » encore quelques temps ensemble. Puis, plus tard au hasard d'une rencontre, une fille qui s'est mise entre nous deux, on s'est moins vus. Plus tard encore, j'ai découvert que faire l'amour avec une fille c'est top aussi, même si des fois mes vieux démons me rattrapent !