Un Blablacar particulier ...
Chapitre 1
160€ l'aller-retour en TGV, c'était beaucoup trop cher pour moi. Je devais rejoindre des amis dans le Var, pour partager quelques jours de vacances, et mon budget d'étudiant était déjà serré. Je n'allais quand même pas tout dépenser en transport ! Heureusement, on m'avait conseillé Blablacar et j'y avais en effet trouvé un trajet bon marché en dernière minute. Le trajet allait être un peu plus long certes, mais au moins il me restera de quoi profiter des terrasses et des loisirs. J'en avais bien besoin, après cette dure année d'études qui venait de s'achever et que j'avais validé avec brio. J'allais donc voyager avec Nathalie, 49 ans, qui arborait sur l'application une note quasi-parfaite de 4.9 étoiles sur 5. "Départ ponctuel et trajet agréable." pouvait-on lire sur son profil, ou encore "Un plaisir de vous avoir rencontré, vous et votre fille. Bonnes covoitureuses, je recommande". A peine quelques minutes après avoir réservé ma place, j'avais reçu un SMS de sa part indiquant les modalités du voyage : nous partions à l'aube, pour un trajet qui allait au minimum durer 4h30, et nous allions être accompagnés de sa fille. Il y avait apparemment la place dans le coffre pour un grand bagage, mais j'avais l'habitude de voyager léger.
...
C'est donc avec hâte de rencontrer mes covoitureuses et de rejoindre mes amis que je m'étais levé à 5h pétantes du matin ce samedi de juillet. Les premiers rayons du soleils commençaient à pointer leur nez, alors que je traînais ma petite valise jusqu'au parking où nous nous étions donnés rendez-vous. J'avais presque dix minutes d'avances en arrivant, et pourtant je n'étais pas le premier puisque je reconnus presque immédiatement la grande Dacia Duster noire dont Nathalie m'avait parlé. A côté, deux silhouettes féminines finissaient de boire ce qui paraissait être un café dans un gobelet en plastique.
- Salut, dis-je en approchant.
- Bonjour ! Eh bien, vous êtes aussi en avance que nous, me répondit Nathalie.
Je n'eus pas de peine à la reconnaître, car j'avais vu la photo d'elle sur son profil Blablacar : elle était brune avec une frange, assez grande et avec un léger embonpoint, mais plutôt bien conservée pour une femme qui frôle la cinquantaine. Mon regard se tourna vers sa fille, c'était une jeune femme qui devait avoir la vingtaine, ou presque, qui était plus mince et plus petite que sa mère, ne devant pas dépasser le mètre soixante-cinq. Ses cheveux châtains et lisses étaient tirés en une queue de cheval, et son visage fin était orné de deux grands yeux couleur noisette. Je la trouvais assez coquette, puisqu'elle avait pris le soin d'enfiler des boucles d'oreille et quelques bracelets à son poignet, malgré le fait que la journée allait se dérouler en partie dans l'habitacle d'une voiture. Elle portait un débardeur bleu clair, rentré dans un jeans blanc taille haute. Elle ne le savait pas encore, et moi non plus d'ailleurs, mais elle n'avait pas choisi la bonne journée pour porter un pantalon blanc ... En tout cas c'était tout à fait mon type de fille, mais je ne le laissait pas paraître alors que je leur faisait la bise et que je déposais ma valise dans le large coffre du SUV.
Les salutations faites, j'appris qu'elle s'appelait Marion et qu'elle venait de terminer sa L2 en Gestion des Ressources Humaines. Elle devait donc être à peine plus jeune que moi, environ 20 ans.
- Bon allez, plus vite partis, plus vite arrivés ! lança Nathalie en nous invitant à prendre place dans la voiture.
- Et puis si on peut éviter les bouchons, c'est tant mieux, répondit Marion
Nous prîmes donc place dans le SUV, les deux femmes à l'avant, et moi seul à droite de la banquette arrière. Nathalie conduisait.
Le premier quart du trajet passa assez vite. En effet, après avoir discuté quelques minutes pour apprendre à nous connaître, j'avais profité du confort de la Dacia pour fermer les yeux et rattraper un petit peu ma nuit qui avait été écourtée...
...
Après un peu plus d'une heure à rouler sur l'autoroute, je retrouvais mes esprits et nous nous mîmes à discuter de tout et de rien. Nathalie alluma la radio sur une station Pop Rock, avoir de la musique en fond sonore en voiture était toujours agréable. On papotait de l'actualité, de la météo assez chaude, des activités que nous avions prévu de faire durant nos vacances... J'appris qu'elles allaient passer trois semaines dans la maison de vacances des parents de Nathalie, comme chaque été depuis maintenant une dizaine d'années.
- Oh j'adoooore cette musique !, dit soudain Marion en entendant les premières notes de Mr.Brightside - The Killers qui passait à la radio.
- Je les ai vus en concert, en 2016, répondis-je avec le sourire, content de trouver un nouveau point commun avec elle.
- Ah la chance ! Alors c'était cool ?
Je lui dis que oui, que ça faisait partie des concerts que je n'oublierai jamais de ma vie. On continua à parler de concerts et on découvrit assez vite qu'on aimait les mêmes groupes. On était même tous les deux allés au festival des vieilles charrues en 2018, on s'y était peut être croisés ! En discutant, j'appris que ses autres passions étaient les voyages et la photographie, qu'elle tenait même un blog où elle postait des photos.
- Bon les jeunes, ça fait pile deux heures que je conduis, intervint Nathalie, qui avait pour l'instant été assez peu bavarde, préférant se concentrer sur la route. Je sors à la prochaine aire pour qu'on fasse une petite pause café, une petite pause pipi, et que je me dégourdisse les jambes, ça vous va ?
Je lui répondis que oui. De toute façon, je voyais mal de quel droit j'aurais pu lui dire non.
Les quelques kilomètres qui nous séparaient de l'aire furent rapidement parcourus et nous nous arrêtâmes donc sur cette petite aire d'autoroute, où Nathalie alla se garer sur l'une des nombreuses places disponibles. Il était encore tôt, mais déjà les premières chaleurs de la journée commençaient doucement à se faire sentir. On se dirigea vers l'unique bâtiment, qui abritait un petit magasin typique des aires de repos, des toilettes et quelques machines à café.
- C'est ma tournée ! proposais-je en arrivant au distributeur de boissons caféinées.
- Ah c'est gentil ça, merci ! Pour moi, ça sera euh... un expresso s'il te plaît, me dit Nathalie.
- Et pour moi, demanda Marion, ça sera un double cappuccino avec supplément pépites de chocolat.
- Oh tu abuses c'est le truc le plus cher !
- Mais maman, c'est aussi mon café préféré, et puis il n'a pas dit qu'il y avait une limite de budget !
- Aucun soucis, dis-je, ça me fait plaisir, de toute façon ce n'est pas un café qui va trouer mon portefeuille.
Je commanda pour moi en dernier, et pris un simple chocolat chaud. J'essayais, après mon année d'études où je buvais parfois du café jusque 22h, de réduire mon apport quotidien en caféine.
Le temps que nos boissons refroidissent un peu (elles étaient sorties horriblement brûlantes des machines), qu'on les boive et qu'on fasse tous les trois un tour au pipi-room, on resta en tout un petit quart d'heure sur l'aire.
Au moment de repartir, Marion s'installa à ma gauche sur la banquette arrière en nous disant :
- Je vais me mettre ici pour la deuxième moitié du voyage, ça sera plus simple pour discuter entre nous, et comme ça je laisse maman se concentrer sur la conduite. Et puis, je vais pouvoir te montrer mon blog de photographies !
Je la gratifia d'un grand sourire, assez enthousiasmé par cette bonne idée.
La route repris donc son court, le trafic commençait à être plus dense, même s'il était toujours fluide. C'était à prévoir, car selon bison futé c'était un samedi rouge. Marion me présenta donc son blog photo, où elle y documentait aussi ses pérégrinations. Chili, Indonésie, Nouvelle-Écosse... je me demandais où elle avait trouvé le temps (et l'argent) de faire tous ces voyages. Mais je n'eut pas besoin de lui poser la question, puisqu'elle m'expliqua être une "woofeuse", néologisme définissant les personnes qui logent gratuitement chez l'habitant dans des fermes biologiques, en échange de main-d’œuvre.
Nous avions quitté l'aire depuis un bon quart-d'heure, et le trafic s'intensifiait assez nettement, lorsque je remarqua que son attitude commençait à changer. La belle aventurière en herbe avait perdu un peu d'entrain dans ses discussions et j'avais l'impression qu'elle se tortillait sur le siège, pourtant confortable, de la banquette arrière. Les minutes passèrent, et pendant que continuions de discuter, je la surpris plusieurs fois prendre de longues inspirations et expirations, et porter la main à son ventre. Peut-être était-elle de nature stressée ? Je n'avais pas eu cette impression pour l'instant. Ou bien avait-elle le mal des transports ? Dans tous les cas, je n'allais pas lui poser la question, j'estimais que ça ne me regardais pas. Et puis, nous avions d'autres sujets de discussion plus intéressants.
- Et donc cette ferme, tu devais y travailler cinq jours sur sept ?
- Oui, oui.
- Ce n'était pas trop dur ?
- Non, non.
Elle qui avait plutôt été loquace depuis le début du trajet, ses réponses qui commençaient à devenir de plus en plus brèves me firent comprendre qu'effectivement, quelque chose clochait. Je n'eut pas à attendre longtemps pour savoir quoi, car Marion s'adressa à sa mère :
- Excuse-moi maman, est-ce qu'on peut s'arrêter à la prochaine aire ?
- Quoi ? Mais ça ne fait qu'une demi-heure qu'on roule.
- En fait... j'ai besoin d'aller aux toilettes.
- Tu aurais dû y aller quand on s'est arrêtés !
- J'y suis allée mais ... c'est pas la même chose.
- Et tu ne peux pas te retenir ? Il ne reste déjà plus que deux heures de route.
- Je ne sais pas ... ça fait déjà quelques jours que je suis bloquée à ce niveau là, et là je pense que le café a fait effet... j'ai vraiment vraiment envie de faire caca...
- Bon, on va sortir à la prochaine aire. Ca valait bien la peine de partir en avance.
Nathalie avait facilement abdiqué, sans doute en entendant que la voix de sa fille était particulièrement tremblotante. De plus que les panneaux nous annonçaient que l'aire d'autoroute suivante n'était qu'à quelques kilomètres, pas plus de cinq minutes de route. Maintenant que tout le monde était au courant de sa grosse envie, Marion ne tentait plus de camoufler le fait qu'elle devait lutter contre, et tenait fermement la poignée de la portière avec une main, l'autre posée sur sa cuisse. Les quelques minutes se passèrent dans un calme complet, puisque Nathalie n'avait pas rallumé la radio depuis notre arrêt café, et que Marion s'était mue dans un silence, probablement trop concentrée à garder ses sphincters contractés. Quant à moi, j'étais un peu gêné par la situation et préférais regarder le paysage défiler.
Au bout d'une poignée de minutes, mon regard s'arrêta sur un grand panneau jaune au loin, et surtout sur le message qui y était inscrit en lettres capitales.
ROUTE BARRÉE
AIRE EN RÉNOVATION
PROCHAINE AIRE DE REPOS A 30 KM
Je compris immédiatement quelles étaient les implications pour la pauvre étudiante assise à ma gauche. Elle allait devoir se retenir pendant encore un bon quart d'heure.
- Euh ... dis-je, sans trop savoir comment lui annoncer la mauvaise nouvelle.
- Tu vas devoir te retenir encore un peu ma chérie, l'aire est fermée, continua la pilote, qui avait évidemment vu le même panneau que moi.
- Oh noonnnn, se plaint Marion, j'ai vraiment pas de chance....
- T'inquiète pas, 30 kilomètres d'autoroutes ça s'avale rapidement ! j'essayais de la rassurer.
- Oui ben j'espère, souffla-t-elle, en nous faisant comprendre que l'envie ne diminuait pas, bien au contraire.
Mais effectivement, elle n'avait pas de chance. A peine l'aire d'autoroute dépassée, nous vîmes au loin une voiture activer ses warnings. Puis une seconde, et une troisième. La raison était évidente. 9h du matin, un samedi de juillet, sur l'autoroute du soleil : c'était le début des embouteillages.
- Pourquoi tu freines maman ? On est déj.... Oh non pas des bouchons !! s'exclama Marion.
- Ah mince, tu vas devoir prendre ton mal en patience, lui répondit sa mère.
On se retrouva, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, immobilisés dans une marée noire de véhicules. Apparemment, un accident plusieurs kilomètres en amont en était la cause. Je jetais des brefs coups d'oeil à l'étudiante, qui avait beaucoup de mal à lutter. Elle serrait les dents et cramponnait au siège, en prenant de profondes inspirations. Depuis que nous étions presque à l'arrêt, elle avait même décroché sa ceinture. Nous ne pouvions progresser que de quelques mètres à la fois. A ce rythme, il allait nous falloir une bonne heure pour arriver à la station.
Les minutes défilèrent et nous avions parcouru la moitié du trajet jusqu'à l'aire suivante, lorsque le silence qui régnait dans la voiture fut brisé par une plainte provenant de Marion :
- Oh noon, non non non non !!
- Qu'est-ce qu'il y a ? demanda sa mère, inquiète.
Elle ne répondit pas. Elle avait la bouche entrouverte et ses yeux étaient figés dans une expression de stupeur. Elle poursuivit d'une petite voix :
- Oh non.. je... ahhh !
Je ne tarda pas à comprendre ce qu'il était en train de se passer, car une odeur singulière commençait à se répandre dans l'habitacle de la Dacia : Marion était en train de faire caca dans son pantalon.
La pudeur aurait voulu que je détourne le regard, mais j'étais hypnotisé par ce qui était en train d'arriver à la jeune femme. Elle qui nous avait confié être constipée depuis plusieurs jours, avait visiblement fini par perdre le contrôle de ses sphincters après avoir lutté pendant presque une heure.
- Tu n'es pas en train de faire caca dans ta culotte quand même ? Demanda sa maman, qui avait dû sentir l'odeur qui se faisait de plus en plus forte.
Encore une fois, Marion ne lui répondit pas, mais je l'entendit se murmurer à elle-même :
- Oh et puis tant pis, foutue pour foutue...
Je la vis poser ses mains sur la banquette, de chaque côté de son bassin, et pousser sur ses bras pour les tendre. Elle avait soulevé de quelques centimètres ses fesses du siège. Elle prit une grande inspiration, puis son visage se mit à rougir. Ses sourcils étaient froncés, et sa bouche déformée en ce qui semblait être un large sourire, mais était plutôt une grimace due à l'effort. Elle était en train de pousser ! Sous ses fesses, je voyais son jeans se déformer alors qu'elle était en train d'expulser un gros caca sous mes yeux. Toutes les quelques secondes, elle reprenait sa respiration et recommençait à pousser, faisant gonfler un peu plus son jeans, qui restait pour l'instant d'une parfaite couleur blanche. Puis, j'entendis un long "ssprrrrrt", indiquant qu'elle se vidait désormais d'une partie plus molle, qui se faufilait dans les quelques espaces que son pantalon moulant permettait encore. Cette fois-ci en revanche, le jeans changea de couleur et une tache brune apparut, s'étendant tout le long de la raie de ses fesses.
Après un dernier soupir de soulagement, Marion reprit ses esprits et se rendit compte de la situation dans laquelle elle était. Elle venait de complètement se chier dessus, dans la même voiture que sa mère et que moi, un quasi-inconnu. Son visage était écarlate, un mélange de honte et de l'effort qu'elle venait de produire.
Nathalie, assise en face de sa fille, avait jeté quelques coups d’œils à travers le rétroviseur et avait très bien compris quelle mésaventure venait de lui arriver. De toute façon, l'odeur de caca qui émanait de la jolie étudiante et qui régnait désormais dans la voiture ne laissait pas planer de doute. Elle semblait presque aussi gênée que Marion.
- Bon. C'est pas grave ma chérie, on va nettoyer ça à la prochaine aire. En attendant, mets une serviette sous tes fesses pour ne pas t’asseoir directement sur le siège, dit-elle. Elles sont en haut de ma valise, tu peux en attraper une s'il-te-plaît ? continua-t-elle, cette fois-ci en me regardant à travers le rétro.
Je m’exécuta, et souleva la plage arrière pour prendre la première serviette disponible dans la valise de Nathalie.
- Je suis vraiment désolée.. dit Marion, toute honteuse, sortant de son silence.
- C'est pas grave, ça peut arriver à tout le monde, je répondis. J'essayais d'être rassurant. Au fond, la situation ne me dérangeait pas, car je la trouvais terriblement excitante.
Je replia la serviette en un carré et me tourna vers elle pour l'aider à la disposer sous ses fesses. Elle avait toujours les bras tendus qui soulevaient son bassin en suspension, n'osant sans doute pas s’asseoir pour ne pas écraser toute la masse. En me penchant pour disposer la serviette, je pu voir son jean sous un meilleur angle : il était bombé de quelques centimètres, lui faisant comme une troisième fesse teintée de marron.
- M... merci, balbutia-t-elle en osant enfin croiser mon regard.
Elle commença à fléchir les bras, afin de doucement se rasseoir sur le siège. Lorsque ses fesses arrivèrent au contact de la serviette, elle fit une mine de dégoût et je l'entendit prononcer un "euuuurkk". Elle continua de se rasseoir délicatement, ce qui avait comme effet inexorable d'écraser son caca, et vu la quantité je me disais que ça allait forcément déborder de sa culotte.
Puis, ses yeux s'arrêtèrent sur quelque chose d'autre, plus bas. L'état de Marion m'avait donné une forte érection, impossible à manquer à travers mon fin short d'été. Trop absorbé par la situation, je ne m'en étais même pas rendu compte et je n'avais donc pas pensé à croiser les jambes ou à adopter une autre position qui m'aurait permit de la masquer.
Je m'attendais à tout sauf au sourire en coin que je reçu. Ça avait l'air de l'amuser ? Ou peut être qu'elle ne savait tout simplement pas comment réagir.
Elle se mordit la lèvre inférieure, et relâcha d'un coup la tension dans ses bras, faisant retomber ses fesses sur la serviette. En s'asseyant brusquement, elle venait d'écraser son caca, et vu la couleur que pris son jeans sur le côté des fesses et en bas du dos, ça avait effectivement débordé de sa culotte. Elle me regarda et fit une mine de dégoût... mais accompagnée d'un sourire. Je crois qu'elle avait compris que j'étais tout émoustillé par son malodorant accident et qu'elle voulait discrètement en jouer. Et j'avais effectivement raison : elle se mit à faire de légers mouvements du bassin, d'avant en arrière et puis de gauche à droite, en me jetant de petits regards amusés. Je la fixais en n'en croyant pas mes yeux, et en lui rendant ses regards complices.
La Marion gênée et honteuse d'il y a 10 minutes n'avait plus rien à voir avec la jeune femme qui était assise à ma gauche et qui prenait visiblement plaisir à étaler son caca dans sa culotte et à salir son pantalon. Son pantalon qui, d'ailleurs, devenait de moins en moins blanc. Vu le plaisir qu'elle semblait prendre dans cette situation improbable, je commençais même à me demander si elle n'avait pas tout prévu depuis le début.
Nathalie n'avait aucune idée de ce qui se tramait sur la banquette arrière. Elle était toujours concentrée sur sa conduite, changeant de file régulièrement quand l'une roulait plus vite que l'autre, pour optimiser le trajet qu'il restait à faire avant l'aire d'autoroute. Elle prit la parole :
- Bon ça y est, ça roule déjà mieux. On sera à l'aire dans deux minutes, Marion tu vas pouvoir te chang...
- Ah non je peux pas... impossible... la coupa Marion.
Je remarqua qu'elle avait encore parlé d'une petite voix tremblotante, comme si elle l'avait forcée. Évidemment, elle voulait que sa mère croie qu'elle était désemparée, et pas qu'elle prenait son pied.
- Comment ça impossible ?
- Je peux pas sortir dans cet état...
- Mais si, tu mets une veste à ta taille, personne ne verra !
- Non, tu ne comprends pas... regarde.
Marion se pencha sur le côté, et souleva sa jambe droite, nous laissant constater l'étendue des dégâts. Nathalie détourna une seconde le regard de la route pour se retourner comme sa fille le demandait. Lorsqu'elle la vis, ses yeux s'écarquillèrent :
- Houlalalala ! Tu t'es pas loupée !
La matière bombait son jean en lui faisant comme une troisième fesse au centre. Le pantalon était maculé d'une tâche marron foncé qui s'étendait uniformément sous les cuisses, presque jusqu'à l'intérieur des genoux, remontait sur les côtés. Même dans le dos : je vis que le bas de son débardeur commençait aussi à être tâché.
Nathalie devait croire que sa fille avait eu un accident explosif, mais la réalité était différente. Les dégâts auraient pu être bien moindres, ce qui aurait permit à l'étudiante d'aller discrètement se changer, mais elle avait fait en sorte que ça ne soit pas le cas.
C'était donc désormais évident pour moi : Marion avait tout prévu depuis le début, et prenait autant son pied à être assise dans son caca en voiture, que moi à la regarder.
- Bon, dans ces conditions... c'est toi qui décide. Il nous reste quand même une bonne heure à rouler donc ça ne va pas être très agréable ! dit Nathalie. A moins que l'odeur ne te dérange, dans ce cas on s'arrête ? poursuivit-elle en se retournant pour me regarder.
- Euh non c'est bon, je ... j'ai le nez bouché de toute façon, je répondis.
C'était faux évidemment, mais il fallait que je trouve une excuse car pour rien au monde je n'aurai voulu que ma jeune covoitureuse se change.
- Alors on ne s'arrête pas. En tout cas je suis désolée, je pense que ce n'était vraiment pas ce à quoi tu t'attendais en réservant notre Blablacar, s'excusa Nathalie.
Je croisa son regard à travers le reflet du rétroviseur et lui adressais un regard gêné et compréhensif. Je n'allais certainement pas laisser transparaître à Nathalie ce que je ressentais réellement. Je me repencha le long de la portière, pour disparaître de son champ de vision, et me tourna vers Marion.
Le contraste entre celle qui s'était présentée à moi ce matin et celle que j'avais maintenant à ma gauche était flagrant. Elle qui fleurait bon le shampoing, qui semblait si propre sur elle habillée de couleur clair, puait désormais le caca, avait la culotte pleine de merde et le pantalon ainsi le bas de son débardeur tâchés de marron. Elle regardait le paysage, qui défilait désormais à bonne vitesse depuis que le trafic s'était dégagé, et me jetait de temps en temps des petits regards avec un sourire en coin.
Après quelques minutes silencieuses à 140 km/h (après avoir dépassé l'accident, le trafic s'était complètement dégagé, et Nathalie avait vraisemblablement hâte d'arriver, n'étant évidemment pas aussi enthousiasmée par la situation que moi), Marion se tourna de mon côté et décida de se pencher une nouvelle fois vers la portière en soulevant sa cuisse droite. Elle voulait me montrer ses fesses, bien moulées dans son jeans blanc maculé de caca, comme si elle en était fière. Je lui rendis son sourire en me mordillant la lèvre inférieure. Avec sa main droite, elle commença à se les caresser, en appuyant sur les parties encore bombées, comme pour continuer d'écraser sa crotte contre ses fesses. Puis elle porta sa main à son nez, fis mine de sentir l'odeur de caca avant de mimer une grimace de dégoût amusée. Son petit spectacle m'émoustillais tellement que je ne pouvais me retenir de discrètement masser mon érection, qui n'avait pas diminuée depuis tout à l'heure.
Elle n'avait pas manqué de le voir, et commença à me faire des appels du regard en direction de la plage arrière du coffre. Que voulait-elle ? Elle repris sa voix honteuse et tremblotante pour briser le silence, répondant alors à mon interrogation.
- Euh... excuse-moi ? Est-ce que tu peux me prendre une autre serviette s'il-te-plaît ? Celle-là tout compte fait est vraiment trop fine, j'ai peur de tâcher le siège...
- Ah surtout, tu as intérêt à ne pas salir la voiture ! Intervint sa mère
- Non, justement c'est pour ça que je demande ...
Je m’exécuta et me tourna vers la plage arrière pour prendre une seconde serviette, mais quelque chose clochait. Je lui avais justement déjà donné la plus épaisse. Peut-être voulait-elle en superposer une seconde ? A moins que... ah, j'avais compris. C'était évidemment un prétexte pour que je puisse me pencher vers elle et lui tâter les fesses !
Je pris la première serviette que je vis dans le coffre, la replia en un carré, et demanda à Marion de se lever légèrement pour que je puisse lui disposer. Je jetais un bref regard à la conductrice, qui était trop concentrée sur sa route pour comprendre ce qui allait se tramer derrière. Je me pencha vers l'étudiante pour disposer la seconde serviette sous ses fesses, et en même temps commença avec ma main gauche à lui caresser. Elles étaient chaudes et humides, fermes sauf au centre où le gros du caca était retenu, sans doute par les bords de sa culotte. Je ne me gênais pas pour malaxer la matière à travers son jeans et écraser toujours plus sa merde sur ses fesses. Elle se mordillait les lèvres en lâchant de petits soupirs de plaisir...
Mais pour ne pas éveiller les soupçons de Nathalie, je me redressais rapidement sur mon siège. Marion se reposa sur son siège également et, en reprenant ses mouvements du bassin, porta une main à son entrejambe où elle commença discrètement à se faire plaisir en appuyant et frottant son vagin à travers son jeans plein de merde. Je me remis aussi au même manège en massant mon sexe à travers mon short.
La situation paraissait presque trop belle pour être vraie... J'étais à côté de cette magnifique jeune femme, qui avait fait caca dans sa culotte et qui puait la merde, je lui avais malaxé ses fesses crotteuses, et nous étions en train de nous masturber en même temps discrètement à l'arrière de la voiture, dont la conductrice n'avait aucune idée de ce qui se déroulait sur la banquette arrière.
Il ne me fallut pas longtemps pour éjaculer, dans un orgasme tellement puissant que j’eus du mal à ne pas trembler. A côté, Marion se cachait la tête dans sa main gauche, avait la bouche entrouverte et semblait haletante, alors qu'elle se finissait de se frotter vigoureusement le vagin à travers une portion de son jeans qui avait légèrement viré au marron : assise dans son caca, elle était silencieusement aussi en train d'avoir un orgasme.
Un bref coup d’œil en avant me confirma que Nathalie n'avait heureusement rien remarqué. En revanche, une tâche de sperme bien visible était apparue son mon short... tant pis, je me débrouillerai pour la cacher. Tous les deux exténués après avoir jouis, nous échangeâmes un regard complice, avant de regarder le paysage, et je remarquais sur le GPS qu'il ne restait déjà plus que quelques kilomètres avant le drapeau à damier noir et blanc. Avec ce qu'il s'était passé à l'arrière de la voiture, le voyage était passé bien plus rapidement que prévu...
...
Le cliquetis du clignotant se fit entendre alors que la voiture ralentissait : Nathalie avait pris la sortie d'autoroute qui jouxtait le village dans lequel il était prévu que je sois déposé. La vitesse avec laquelle la mère de Marion avait conduit n'y était pas pour rien non plus. Une fois que je serai sorti, il resterait environ une dizaine de minutes de route seulement pour que mes deux covoitureuses arrivent à leur destination elles aussi.
- Bon ça y est on est arrivés ! Je te dépose sur ce parking ? Demanda Nathalie
- Oui, c'est parfait, merci pour beaucoup pour le trajet, répondis-je
- Encore désolée pour la mésaventure...
- Oui, vraiment désolée, j'ai trop honte ! poursuivis Marion d'une voix faussement timide
- C'est pas grave, j'ai quand même passé un bon trajet en votre compagnie.
- Nous également, on a déjà eu des covoitureurs qui auraient été moins compréhensifs... dit la quarantenaire.
En ouvrant la portière, en prenant soin de tenir mon sac devant mon entrejambe, je les saluais toutes les deux, et j'adressais un dernier sourire à Marion, qu'elle me rendit. J'avais son numéro de téléphone, et ne manquerai sans doute pas de la recontacter dans le futur .... En m'éloignant de la voiture, je leur laissais la note bien méritée de 5/5.