Nadège Leroix
Chapitre 5- suppo du soir
Nadège rentre dans sa chambre, préférant éviter les questions de ses amies et s’occupe en attendant le soir. Après le diner qu’elle prend dans sa chambre, elle se douche et se met au lit de bonne heure avec un livre. Vers 20h, elle entend un frappement à sa porte avant de voir une infirmière entrer. "Bonsoir madame, je suis là pour votre traitement du soir" annonce-t-elle sur un ton enjoué. "Quel traitement ?!" répond sèchement Nadège, effrayée au fond d’elle par ce qui pourrait encore lui arriver. "Pour la nuit le docteur vous a prescrit un autre suppo contre les hémorroïdes, je prends votre température, je vous l’insère et je ressors très très vite ! Allez ! En position ! Je vous veux sur le dos sans bas dans 1 minute sur le lit."
L’infirmière se tourne alors vers le mur opposé au lit de Nadège pour lui laisser le temps de prendre position. Nadège est glacée mais elle sait que se révolter ne pourrait lui attirer que des ennuis et de l’attention de ses voisines. Extrêmement humiliée, elle sort donc de son lit et retire son pyjama avant de s’allonger sur le dos, dans son lit, jambes aussi tendues et serrées que possible. L’infirmière se retourne alors et constate que la patiente est bien nue du bas du corps. "Très bien madame Leroix, maintenant vous allez coller vos talons à vos fesses et laisses vos jambes s’écarter et tomber sur le coté.", Nadège s’exécute. Bien que n’utilisant pas d’étriers, cette position révèle absolument toute son anatomie à l’inconnue. Cette dernière sort un thermomètre rectal de sa poche et enfile un préservatif dessus. "Voilà madame, j’y vais, détendez vous". Elle s’assoit à coté de Nadège, appuie sur un de ses genoux pour ouvrir d’avantage les jambes de la patiente et tourne son regard vers son anus. "Bon, j’ai vu la photo avant traitement, il y a déjà du progrès, ça devrait être tout bon d’ici demain". Elle approche alors l’instrument lubrifié de l’anus et l’insère doucement. Mortifiée, Nadège sent la petite pointe froide la pénétrer sur quelques cm puis entend le son annonçant le début de la mesure. L’attente est longue et pénible. Finalement l’infirmier retire l’instrument du rectum et récupère un cylindre de 7 cm de long pour 3 de diamètre. Voilà madame, je vais placer ça dans votre rectum, c’est la même chose que celui que vous avez pris cet après-midi mais légèrement plus long pour tenir toute la nuit. "Détendez vous, j’y vais." Elle ouvre l’emballage et sort le petit obus. Elle sort un petit tube de sa poche et lubrifie le gros suppositoite avant de l’enfoncer sans manière dans l’anus déjà bien éprouvé.
"Voilà voilà, c’est tout pour moi, bonne nuit !"
Nadège soulagée de son départ mais terriblement humiliée se relève et réenfile son pyjama tandis qu’elle commence à sentir les premiers picotements du médicament.