Vues: 129 Created: Il ya 1 mois Mis à jour: Il ya 1 mois

Mon Initiation Anale

Partie 1, un peu fiévreuse

Depuis hier soir je me sens faible. Je suis partie me coucher très tôt. Je me souviens m'être légèrement réveillée par un baiser et sa main glissant dans mon dos. Il rentrait du travail.

Il m'a dit : Dors mon petit cœur. Tu en as besoin...

Ce matin je me réveille à ses côtés. Il me sers contre lui et me demande:

-Comment te sens-tu ?

Je lui réponds: "pas mieux. Je dois couvrir quelque chose."

A cette instant, je sais que ma franchise m'amène vers le risque qu'il veuille s'occuper de moi... A sa façon. Mais je me sens vraiment fiévreuse.

Il me dit de me rendormir, qu'il est encore tôt.

Je m'assoupis donc au moment où je l'entends se lever du lit et sortir de la chambre.

Je ne sais pas combien de temps s'est écoulé, mais je me réveille à nouveau par sa main fraîche caressant mon dos. Il est assi, au bord du lit. Et tout en commençant à baisser ma culotte, il me dit :

"Je vais prendre ta température, tu as été brûlante toute la nuit, et c'est encore le cas. "

Je suis sur le ventre et je me retourne légèrement vers lui. Je vois donc le thermomètre dans sa main. Je panique intérieurement et bégaie :

"Je préfère le faire toute seule."

Il glissa sa main sous mon bassin pour le saisir et me disant :

"Mais non, mon petit coeur... Je vais prendre soin de toi... "

J'essaye tout de même d'insister en rajoutant :

"J'aime pas trop."

Il me souris et répond:

" mais si, tu vas voir, tu vas aimer".

Je sais que je suis coincée. La dernière fois que j'ai lutté, j'ai fini allongée sur ses genoux, avec le thermomètre dans la rondelle pendant 10 minutes, et sans lubrifiant.

Je me laisse donc faire, la boule au ventre. En me disant avec résilience que plus je serai docile, moins dur il sera.

Il pris donc un coussin, le mis sous mes hanches, abaissa ma culotte et écarta mes jambes.

Il écarta ensuite mes fesses avec son pouce et son index.

Je senti une goutte de lubrifiant tomber sur ma rondelle, ce qui me valu un petit sursaut.

Il étala le lubrifiant avec son doigt et exerçant un légère pression.

Ma respiration s'accélère un peu et je ferme les yeux. J'ai hâte que ce moment se termine.

Sans rien dire, il inséra le thermomètre dans mon anus, avec fermeté, ce qui me valu à nouveau un sursaut.

Il m'ordonna : "Chut -chut ! ne bouge pas !"

Les larmes me montent. Je gémis. Mon corps se tortille légèrement, mais la pression exercée par sa main sur le thermomètre le fais s'enfoncer encore plus si je bouge.

Cette petite minute me parut des heures. J'entends enfin la sonnerie et je sens le thermomètre se retirer très lentement.

Je souffle enfin et me dit que c'est terminé.

Je me redresse et m'apprête à remonter ma culotte lorsqu'il me dit:

"Non non, tu vas rester encore un peu sur le ventre. Je n'ai pas fini."

Surprise et sans comprendre je lui réponds :

-"Ah bon ?"

-"Oui, rallonge toi... Tu as de la fièvre. Je vais te mettre un suppositoire de paracétamol."

"C'est vraiment indispensable en suppositoire ?"

" Allez... On ne va pas tergiverser pour si peu. C'est efficace et rapide. Mets toi à 4 pattes, ce sera plus simple."

Mon coeur s'emballe mais je sais que je n'ai pas le choix. Les rares fois où j'ai lutté... Je le regrettais ensuite amèrement.

Je me mis à 4 pattes et tendis mes fesses, les jambes écartées.

Après quelques caresses sur mes fesses et ma vulve, je senti un doigt rentrer dans mon vagin. Ma respiration s'accélérerait à chaque mouvement.

Ses doigts se balladaient parfois sur ma vulve, parfois entre mes fesses. C'était très excitant.

Mais la crainte de recevoir mon suppositoire sans être prévenue etait persistante. Je m'y attendais... Sans pouvoir vraiment l'anticiper. Ses doigts s'attardait de plus en plus sur mon anus. La pression de ses caresses étaient de plus en plus forte au point de laisser entrer son doigt un peu plus à chaque passage.

Il m'inséra le suppositoire sans prévenir et en profita pour introduire son doigt fermement et profondément.

Lui, adorait ça. Me voir et me savoir à sa merci, soumise et prise par surprise. J'étais comme tétanisée, avec son doigt immobile dans mon cul, à me demander quand il allait le retirer.

Il m'ordonna de m'allonger tout en laissant son doigt ce qui me fit ressentir une sensation de brûlure.

J'ai envie de lui demander de le retirer, mais je sais que ce type de demande ne fera que prolonger mon inconfort... Voir même de l'aggraver.

Il retira enfin son doigt lentement en ajoutant :

-" Dors encore une petite heure, nous continuerons après."

Il quitta la chambre mais sa dernière phrase résonnait dans ma tête.

Ce n'était donc pas fini.

Mais qu'avait il bien prévu pour me dominer et me soumettre encore un plus ?

Avec inquiétude, je fini par m'assoupir, nue, avec l'appréhension de me faire réveiller pour la suite.

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Gynéco79 Il ya 1 mois