Mon Initiation Anale
Partie 3 - le premier lavement
"Le temps que je puisse préparer la suite"
C'était la dernière phrase qu'il m'avait dit avant de s'éclipser.
La suite ?
Mais quelle suite?
J'ai envie de pleurer... Et je sais qu'il va falloir que je sorte de cette salle de bain... Le thermomètre, les suppositoires, ses doigts... Qu'est ce qui m'attend derrière cette porte !?
Je décide alors de prendre une douche. Pour mon confort... Et pour perdre du temps, je l'avoue. J'oscille entre l'inquiétude, et la curiosité.
C'était autant douloureux que délicieux.
Je m'habille donc et fini par sortir. Je le cherche me ne voyant pas sa veste au porte manteaux, je comprends qu'il est sorti. Cela m'accorde un petit temps de répit. J'en profite pour manger et lire un peu.
La bruit de la clef dans la serrure annonce la fin de mon temps calme...(bien trop précocement à mon goût). Il rentre dans l'appartement avec un sac en papier avec une croix verte dessus. Il revient donc de la pharmacie.
Je me lève du fauteuil pour l'accueillir et l'embrasse, silencieusement.
Il me sert contre lui. C'est sans doute ça que j'aime. Sa main de fer, dans un gant de velours. Il me chuchote à l'oreille:
"Comment te sens tu ?"
Je lui réponds "ça va..."
"C'est bien..." Continua t'il. Nous allons donc pouvoir poursuivre ton initiation. Je vais m'occuper encore un peu de toi aujourd'hui, continue d'être docile comme tout à l'heure, ce sera délicieux."
Je n'ose même plus croiser son regard. Et le stress m'envahit. Je bégaie une nouvelle fois "qu'est ce que tu vas faire ?"
Il passa ses mains sur mes épaules et me m'orienta vers la chambre. Il continua à me dire avec tendresse :
"Te faire du bien ma chérie, t'initier au plaisir anal.Tu verras, tu en redemandera encore et encore ! D'ailleurs, retourne t'allonger dans le lit sur le ventre et nue."
"Je pense que ça été suffisant pour aujourd'hui mon cœur"
"Allez, déshabille toi et allonges toi. Fais moi confiance et tout se passera bien."
Me voici donc à nouveau dans la chambre, febrile, en train de me déshabiller et de m'allonger sur le ventre.
Il apportera à nouveau un coussin sous mes hanches. J'essaie de respirer calmement malgré tout.
C'est à ce moment que je senti des liens serrer mes cuisses. Je compris tout de suite qu'il les attachait pour les garder bien écartées. Il saisissa mes poignets et les attacha l'un à l'autre, dans mon dos.
J'étais totalement offerte à lui, ligotée, nue, les fesses tendues. Mes larmes coulent sur mes joues, mais préfère rester muette.
"Bien, mon petit cœur" me dit- il. "Commençons !"
C'est à cette instant que je senti à nouveau le lubrifiant couler entre les fesses écartées.
Il continua " je vais vérifier si le suppositoire de tout à l'heure à fait son effet."
A cet instant, je senti un pression s'exercer sur mon anus et une sensation de brûlure me fit comprendre que ce n'est pas un doigt qu'il inserait... Mais deux.
Sous un râle, et par réflexe je tente d'y échappé, mais sa deuxième main vient attraper ma hanche pour bloquer mon bassin.
"Du calme ! Tu verras que mes 2 doigts, ce n'est finalement pas grand chose... "
Il fini par les retirer, et se lever. Il déposa un plaid sur mon corps immobile et quitta la chambre. J'ignore ce qu'il se passe. J'imagine que ce n'est pas terminé pour moi... Sinon il m'aurait détachée... Et puis je l'entends ouvrir et fermer les portes de placard... Je ne sais pas ce qu'il cherche...
Je suis partagée. Je ne sais pas si je préfère savoir en dehors de la chambre. Ou entrer dans la pièce et savoir ce qu'il prévoit pour moi. J'étais dans une attente interminable.
Quelques minutes plus tard, il fut de retour dans la chambre. Mon reflex à été de fermer les yeux. Je senti le plaid se lever, remonté sur le bas de mon dos..
Il caressa mes cuisses et mes fesses tendrement. C'était très agréable. En rouvrant les yeux, je constate qu'un récipient d'eau était posé sur la table de chevet, avec le thermomètre, le lubrifiant et un plug...
Il continua de me caresser en passant plus régulièrement entre mes fesses. Je frétille à chaque passages des ses doigts sur ma rondelle.
Sa main continua jusqu'à ma chatte trempée... Et il me glissa 1 premier doigt, pour mon plus grand plaisir.
Même si je suis toujours inquiète, je profite de ce moment exquis. Il ajouta 1 deuxième et commença un va et viens régulier et doux.
.
Je gémis de plaisir, lentement. Ses doigts ressortent régulièrement pour me caresser le clitoris.
Dans un soupir de désir je lui dis :"J'ai tellement envie de toi..."
Tout en continuant de me caresser il me réponda : Moi aussi mon coeur, mais c'est encore trop tôt..."
Je tente de le supplier: S'il te plaît mon coeur, j'ai envie de te sentir bouger en moi..."
"Bientôt ! Il va falloir que tu sois patiente... Et courageuse... "
Il retira ses doigts trempés par ma chatte dilatée.
Il me demanda : Est ce que tu as déjà reçu un lavement, mon coeur ?
"Non, jamais. "
"Alors ça va être une grande première ! "
Je m'effondre, mes larmes coulent. Je sanglote : -"On est vraiment obligé de faire ça? S'il te plaît? Je me sens pas prête pour ça. S'il te plaît détache moi."
Tout en saisissant le tube de lubrifiant. Il ajouta : -"Bien-sûr que tu es prête ! Tout va bien ! Le suppositoire n'a pas été suffisant."
Si tu coopères, je te laisserai une petite pause avant de continuer ton initiation. Si tu luttes, pas de pause et je serai plus dur avec toi... Tu as le choix."
-"Est ce que tu peux au moins me détacher ?"
-"Sois sage !" Me dit-il en enfonçant son pouce dans mon anus violemment.
Je suis à nouveau tétanisée.
Son doigt dans mon cul il pesta -"Puisque tu ne l'as pas encore compris, je décide et tu obéis. Et à voir comme tu mouilles, tu aimes plutôt ça ! N'est ce pas ?"
-"Oui"
Son pouce au plus profond de mon être me donne l'impression d'être sa marionnette.
La pression qu'il exerce me contraint à me cambrer encore plus. Son pouce et le reste de sa main au bas de mon dos me dirige.
Je gémis.
"Est ce que tu as bien compris?"
"Oui"
Il retira son pouce. et je resta cambrer par peur qu'il me surprenne encore.
Chaque pénétrations par surprise me coupaient le souffle et me provoquait une sensation de brûlure. Il valait mieux me montrer obéissante, si je ne voulais pas qu'il me soumettre encore plus.
Tout en préparant son Matériel, il m'expliqua
-"Je vais commencer par t'insérer une canule, lubrifiée. Elle est relié à un petit tuyaux, lui même relié à une seringue de 500 ml. Je vais t'injecter deux seringues. La première sera assez facile à recevoir. La deuxième pourra te donner des crampes,.mais il faudra aller jusqu'au bout et garder le lavement au moins 5 minutes."
-"D'accord, et si je n'arrive pas à aller jusqu'au bout ?"
-"Si tu ne gardes pas le lavement suffisamment longtemps, je t'en referais un."
Me voilà donc prévenue.
Il ajouta encore un coussin sous mon bassin resserra les sangles autour de mes cuisses.
Il posa la canule lubrifiée sur mon orifice et la fit rentrer fermement.
Il approcha sa bouche de mon oreille et me chuchota:
"Ca va ?"
J'avais une boule dans la gorge et les larmes aux yeux. Je répondu oui d'un hochement de tête.
Il attrapa la seringue remplie d'eau et inséra le bout de celle ci dans le petit tuyaux relié à mon cul.
Il commença à vider la seringue, sous mes yeux.
Lentement et sans à-coups. Je senti l'eau tiède se répandre dans mes intestins. Quelle étrange sensation. Je voudrais qu'il accélère qu'on en finisse ... Mais préfère me taire par crainte d'aggraver la situation...
La pression exercée par la canule me fait mal.
-"Bien ! Passons à la deuxième... Tu es parfaite !"
La deuxième seringue pris par place de la première. Mais dès la première poussée, une première crampe venue tordre mes intestins.
Il s'arrêta en me caressant la joue et me rassura
-" Respire profondément..."
Mes yeux étaient rivés sur la seringue. J'étais partager entre la volonté qu'il la vide d'un seul coup et l'appréhension qu'il exerce à nouveau une pression pour la vider en moi.
Comme je le craignais, il repris sa tâche. Une deuxième crampes me fit gémir. Mais cette fois ci. Il ne s'arrêta pas.
L'eau gonflait mon ventre et je me tortillais sous la douleur des crampes qui étaient de plus en plus proches et de plus en plus forte.
-"est ce que tu peux juste faire une petite pause?"
"-tu es presque au bout mon cœur... si je m'arrête là, ce sera pire."
Je tente de respirer calmement mais les crampes me traversent comme des flèches.
Je pleure à nouveau. Et sens ses mains desserrer les liens qui me maintenaient offerte.
Il me mis sur le dos et m'ordonna de maintenir mes genoux sur ma poitrine.
"Je vais retirer la canule, pour t'inserer un plug."
Je le senti tirer sur la canule et m'introduire le plug directement, comme un vulgaire bouchon.
"Je ne tiens plus, je dois aller aux toilettes. "
"Mon coeur, je t'ai dis qu'il fallait que tu tiennes 5 minutes ! Je te préviens, si je dois te refaire un lavement, je rajoute une troisième seringue !"
Ses 5 derniers mots étaient plus que motivant à rester docile et silencieuse.
Au bout de 5 minutes, il m'ordonna enfin de me rendre aux toilettes et d'y retirer seule mon plug.
Il quitta la pièce.