Après avoir repris des forces suite aux nombreuses pénétrations, Nicolas se leva du lit suivi de près par Philippe qui se dirigea vers son armoire où se trouvaient ses couches.

Alors qu'il s'apprêtait à en mettre une, Nicolas l'arrêta dans son élan et lui dit:

- Non, reste tout nu toi aussi Philippe. Je me rends compte que c'est plus facile de te faire l'amour comme ça.

- Tu me vois dans une position indécente. Se cacha Philippe.

- Pourquoi ? Ton pénis est pourtant très beau. Tu ressembles à un dieu vivant. Je ne me lasse pas de te voir nu.

- Tu sais quoi ? Moi aussi Nicolas. Je n'ai plus envie de me cacher. Je l'admets, je suis un pede, je veux que tu me branle le matin au réveil, j'aimerais que l'on s'embrasse. Je veux tout faire avec toi. S'élança Philippe en arrachant un baiser à Nicolas.

Philippe fit allonger Nicolas sur le lit et lui caressa le pénis. Nicolas de son côté, nu comme son amant, en fit de même. Il se donnaient du plaisir mutuellement. C'était intense et magique.

- Cela fait du bien de branler. Se dit Philippe.

- Moi aussi. Ajouta Nicolas.

- Je veux te pénétrer à nouveau Nicolas. Comme si tu allais porter mon enfant. Demanda Philippe avide de sexe.

- Très bien, Philippe. Je veux faire un avec toi et te sentir en moi. Implora Nicolas sentant un orgasme lui monter à la tête.

Nicolas venait à peine de finir sa phrase que Philippe allongea presque violemment son amant et le pénétra par l'Anus, enchaînant les vas et viens de plus en plus vite. Nicolas accompagnait ce dernier avec les mouvements de son corps, puis, 5 minutes plus tard, la semence de Philippe inonda le trou de Nicolas en même temps que la verge de Nicolas fit gicler son sperme sur le torse et le visage de Philippe. Le sperme qui en coulait abondamment était la preuve que leur sexualité commune était faite pour se rencontrer.

Philippe fit face à Nicolas, il pris avec ses doigts le sperme qu'il etalait sur le corps de Nicolas, tout en jouant avec. C'est à ce moment que Philippe compris que pour lui, le sperme n'était pas considéré comme sale.

- Tu as aimé ma jouissance, Philippe ?

- Et la mienne ? Lui répondit-il.

- Tu as l'air encore hésitant pour notre relation. Tu as peur ? Demanda Nicolas.

- Je n'ai pas peur. Parce que je suis bien avec toi. Je t'aime Nicolas. Je veux vivre ma vie avec toi. Et promis, on aura des enfants en adoptant. Je ne te priverais pas de ton envie d'être papa.

De grands projets attendaient les deux jeunes adultes. Leur été ne faisait que commencer.