Les tribulations de François
François est malade
François, 18 ans, se réveille en toussant et se sent fiévreux. Sa mère, inquiète, entre dans sa chambre.
Mère : "François, tu ne vas pas bien ? Tu as de la fièvre ?"
François : "Je ne sais pas, maman. Je me sens juste mal."
Sa mère va chercher le thermomètre auriculaire et prend sa température.
Mère : "Tu n'as pas grand-chose, mais je vais te donner du sirop pour la toux."
Malgré le sirop, l'état de François ne s'améliore pas. Vers 16h, la voisine, Mme Martin, sonne à la porte.
Mme Martin : "Bonjour, je passais voir si tout allait bien."
Mère : "François est malade, mais son état ne s'améliore pas."
Mme Martin : "Mon fils a eu la même chose. Ces thermomètres auriculaires ne sont pas très efficaces. Utilisez un thermomètre rectal."
La mère de François, bien que réticente, suit le conseil de Mme Martin. François a en fait 39°C de fièvre.
Mme Martin : "Pour la toux, rien de tel qu'un suppositoire à l'eucalyptus et un suppositoire de paracétamol pour la fièvre."
François : "Quoi ? Deux suppositoires ? Maman, non !"
Mère : "François, ne discute pas. Mme Martin sait ce qu'elle fait."
La mère de François va chercher les suppositoires dans le frigo. Elle déballe le suppositoire à l'eucalyptus, qui embaume toute la pièce.
Mère : "Mme Martin, pouvez-vous montrer comment faire ?"
Mme Martin : "Bien sûr. François, détends-toi, je vais t'expliquer. Allonge-toi sur le côté et plie les genoux vers ta poitrine. Cela facilitera l'insertion et réduira l'inconfort."
Mme Martin applique un peu de vaseline sur le suppositoire pour faciliter son insertion.
Mme Martin : "Maintenant, respire profondément et essaie de te détendre. Je vais insérer le suppositoire lentement et doucement."
François se plaint que ça chauffe à l'intérieur.
François : "Maman, ça chauffe !"
Mère : "Arrête de te plaindre, François. C'est pour ton bien."
Mme Martin explique que les suppositoires de paracétamol de 500 mg ne sont pas assez dosés pour François.
Mme Martin : "Il faut des suppositoires plus dosés. Mettez-lui en deux pour atteindre la dose idéale."
François : "Maman, non, pas encore !"
Mère : "François, c'est nécessaire. Mme Martin a raison."
La mère de François, guidée par Mme Martin, introduit les deux suppositoires de paracétamol doucement, en expliquant chaque étape.
Mère : "Voilà, c'est fait. Repose-toi maintenant."
François, gêné et fâché, se plaint à sa mère.
François : "Maman, c'est humiliant !"
Mère : "Je sais, mon chéri, mais c'est pour ton bien. Je ne vais pas te punir parce que tu es malade."
Après deux jours de ce traitement intensif, François est enfin guéri. Il se sent beaucoup mieux et remercie sa mère et Mme Martin pour leurs soins attentifs