L'invitation
L'invitation
Céline le reçu chez elle. L'automne avait déjà bien repris ses droits, il régnait une fraîcheur agréable. Aussi Lucien entra-t-il avec plaisir dans l'intérieur douillet de Céline. Il s'y sentit tout de suite bien, prêt à laisser son esprit et ses sentiments vaquer aux bons plaisirs de Céline. Il savait qu'elle arrivait toujours à l'étonner. Aussi espérait-il à chaque fois trouver l'inspiration pour lui rendre la pareille.
En entrant dans le petit salon jaune clair, il fut étonné de voir qu'ils ne seraient pas seuls. Une jeune femme, le début de la trentaine, y était déjà installée, un apéritif à la main. Visiblement, elles avaient dû discuter un bout de temps ensemble. Peut- être avaient-elles comploté l'un ou l'autre scénario pour la soirée. La jeune femme, elle s'appelait Claire, avait un visage pulpeux. Il vous donnait une envie forte de l'embrasser avec passion, sans aucune retenue. La discussion s'établit rapidement. Petit à petit, Lucien se rendit compte que Céline était excitée. Elle discutait, assise à califourchon sur un rebord de canapé. Il pouvait remarquer qu'elle allait et venait ostensiblement, chevauchant doucement mais sûrement le canapé. La discussion avait glissé de sujets anodins aux désirs et fantasmes de Claire …
Soudain, Claire fit mine de ne pas bien se sentir. Elle confiât à Cécile, sans autre retenue, qu'elle se sentait constipée et avait besoin d'un lavement. Comme j'étais infirmier, elle me demandât de l'aider. Cécile fit apparaître comme par enchantement le parfait matériel de lavement. Je ne savais pas qu'elle cachait ce genre de matériel chez elle. Etait-ce nouveau ? Nous installâmes Claire sur le bord du lit, agenouillée parterre. Elle enlevât son slip sans aucune pudeur et présentât son postérieur avec des rondeurs parfaites. Cécile courait toute excitée pendant que je préparais le bock d'eau chaude. Je demandai à Claire si elle était prête. Elle fit mine que oui de la tête. Je débranchais le clip. L'eau émit d'abord un gargouillement, puis se mit à fondre dans les entrailles de Claire.
Celle-ci semblait y prendre un vif plaisir. Je commençai à me dire que tout ceci faisait partie d'un plan bien préparée par les deux femmes. En quelques minutes seulement, les deux litres de préparation furent absorbés. Je m'apprêtais à aider Claire à se relever quand celle-ci me dit, la voix rauque, que non, ceci n'était que le début. Elle me chuchotât qu'elle comptait bien sur moi pour réaliser un de ses fantasmes. Sans m'en rendre compte, pendant que j'écoutais Claire, Cécile s'était mise à gentiment caresser le clitoris de Claire. Elle aida la caresse en faisant aller son bassin en harmonie avec les caresses de Cécile. Soudain, elle allât s'exécuter. En attendant son retour, Cécile me mit au courant du fantasme de Claire. Celle-ci était une adepte férue de lavements et voulait que, en tant qu'infirmier confirmé, je lui donne un lavement sans fin. J'avais vaguement entendu parler de ce genre de pratique, sans jamais trop y croire. Je dois dire que je me retrouvais dans un état d'excitation assez exceptionnel.
Claire revint à ce moment et constatât que j'étais au courant du but de cette rencontre. Elle me rassura en me confiant qu'elle était parfaitement préparée. Elle n'avait plus mangé depuis la veille au soir, avait pris plusieurs laxatifs et bu en abondance. Nous nous mimes, Cécile et moi, au travail. Cette fois-ci Claire s'allongeât confortablement sur le lit, sur le côté. J'avais déjà préparé les premiers deux litres d'eau. A nouveau, ceux-ci disparurent sans aucun effort dans le cul offert de Claire. A la différence de la première séance, celle-ci devait être suivit d'une autre … et peut-être plus. A partir de trois litres, le débit se ralentit, et Claire montrât les premiers signes de remplissement complet du colon.
Je la massai doucement l'estomac de façon à favoriser la montée de l'eau dans le colon. Les quatre litres avaient maintenant été absorbés par Claire, Cécile en était médusée mais surtout excitée à l'extrême. Maintenant commençait la partie la plus délicate de l'opération. Je remplis à nouveau deux litres d'eau mais réglai le débit cette fois sur très lent. Claire se mit à respirer plus difficilement, par saccade. Je lui demandai si elle voulait continuer. Elle me fit signe que oui. Je voyais dans son visage un regard de contentement. Elle se caressait le ventre des deux mains. Son ventre était à présent vraiment celui d'une femme enceinte. L'eau continuait de s'écouler doucement. Je ralentis encore le débit car on approchait des cinq litres. A ce moment, Claire montra le signe des premiers spasmes, une envie de vomir sans que rien ne vienne.
C'était la partie la plus délicate de l'opération. Après cinq litres, Claire vomit une première fois. Je décidai d'arrêter l'opération mais Claire me supplia de continuer. J'étais trop excité pour ne pas l'écouter. Tout ceci se déroulait devant une Cécile médusée mais attirée par ce corps de femme pseudo-enceinte. A nouveau, Claire vomit. Cette fois-ci, on entamait les six litres, les vomissements se succédèrent plus rapidement. La pression de l'eau avait définitivement trouvé la voie vers l'estomac et plus rien ne l'arrêtait. Nous continuâmes l'opération encore dix minutes, vomissement après vomissement. Je me rendis compte que Claire ne pourrait jamais se mouvoir dans cet état jusqu'aux toilettes et demandai à Cécile de trouver rapidement une bassine. Je la mis au pied du lit, sous le derrière de Claire qui s'était mise à ce masturber violemment. C'est à ce moment qu'elle relâchât toute pression et rejetât l'eau qu'elle contenait …