Je séjourne en Allemagne deux fois par mois pendant cinq jours. J'ai tait la connaissance de l'infirmière de l'entreprise où je travaille pour le compte d'une grande firme française. Pendant mes séjours j'habite chez cette infirmière. Un soir elle me dit que je prends du ventre, probablement parceque je bois, comme beaucoup d'Allemands, pas mal de bière. J'ai une amie, me dit-elle, qui possède un diplôme de praticienne de médecine naturelle; elle a ouvert un petit centre médical et s'occupe surtout de la rééducation intestinale. « J'ai pris rendez-vous pour toi »

Arrivés au deuxième étage d'un bel immeuble du centre de Dusseldorf, nous sommes reçus par une femme assez forte, Madame Rosa, l'amie en question. Elle me place une sonde, en gonfle les ballonnets qui se bloquent de chaque côté de l'anus et me dit qu'elle va m'administrer un litre et demi d'eau additionnée d'huiles médici-nales. Je dois garder ce lavement pendant un quart d'heure pendant lequel elle me masse doucement. Je commence à réagir sexuellement; mon pénis se redresse vigoureusement mais elle me dit qu'il ne faut pas jouir maintenant et me serre les bourses avec une cordelette de cuir. Elle me conduit aux toilettes et, au retour, me demande de m'allonger quelques minutes pour me reposer.

Puis elle me fait mettre sur la table, me prévient que cette fois-ci la sonde va aller jusqu'au haut de l'intestin. Quand la sonde est entrée entièrement, elle me prévient qu'elle va me mettre une seconde, courte, pour l'évacuation. Elle m'enfonce alors dans l'anus un tube en plastique blanc qui m'ouvre largement. La sensation est formidable. Elle envoie cinq litres de liquide en bloquant par instant le tuyau de sortie de telle sorte que le ventre gonfle et dégonfle.

Tandis que je me rends aux toilettes elle me promet d'agréables surprises pour la suite du traitement. Mon ami partie, la soubrette me fait entrer dans un petit salon et me demande de me déshabiller. « Je reviens tout de suite », dit-elle.

Elle revient en effet avec un thermomètre médical et une grosse poire à lavement, me fait étendre sur le ventre et commence à me titiller l'anus avec le thermomètre pour l'enfoncer. Puis elle fait de même avec la canule de la poire avant de faire le lavement. Après un passage aux toilettes, je suis prêt pour madame Rosa. Elle enfile des gants de caoutchouc, me palpe le ventre, m'entre un doigt dans l'anus pour vérifier la prostate. Elle ne trouve rien d'anormal sauf un grand encombrement intestinal. Elle remet des gants, me masse grassement l'anus, coiffe mon sexe d'un préservatif en me prédisant que je vais jouir totalement et je serai stupéfait de la quantité de sperme émis. « Mon assistante va vous sodomiser en vous faisant un la-vement très chaud ».

Je vois entrer la soubrette munie d'un faux pénis qui ne me semble pas trop gros mais assez long. Elle se place entre mes cuisses et comme à faire pénétrer l'engin pendant que Madame Rosa branche le tuyau du bock. Je sens ce faux pénis qui me pénètre, l'eau très chaude qui m'envahit tandis que les deux femmes me caressent partout. Au bout de très peu de temps, j'éclate. Je suis au paradis. Et Madame Rosa me promet pour la prochaine fois d'autres traitements fabuleux.

Jean-Paul, Paris