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Vues: 5857 Created: 2007.07.24 Mis à jour: 2007.07.24

Les Trois Jours

Les Trois Jours

Cette (mes)aventure m'est arrivé il y a dix ans de cela au cours des fameux et incontournables "trois jours" militaires qui, comme tout le monde le sait, ne duraient qu'une journée. En 1991, j'étais en plein DEUG de lettres et il n'était pas bon pour mon cursus universitaire et pas question pour moi de mettre entre parenthèse mon avenir professionnel pour "servir mon pays" dans un service militaire que j'estimais terriblement long et inutile. Bref, j'étais arrivé alors avec un certificat médical rédigé par mon médecin généraliste dans lequel il était clairement indiqué que, suite à une grosse chute lors des vacances d'hiver, l'état de mon bassin ne me permettait pas de rester neuf mois "sous les drapeaux", etc...

Mon "emploi du temps" militaire se déroula comme suit. Arrivée à la caserne à 8h00 du matin, visite médicale "classique" à 9h00, les tests psychologiques bidons à 10hoo et l'entretien avec un commandant pour une éventuelle carrière militaire- tu parles!-, à 11h00. Ces premières épreuves franchies il me fallait me plier à une visite médicale plus poussée qui vérifierait les recommandations de mon généraliste. C'est ainsi que débute mon récit en temps réel...

Je mets à peine un pied dans le cabinet que le médecin en question m'ordonne de me déshabiller. L'intonation de sa voix ne me laisse pas le choix, je m'exécute: j'enlève, basket, jeans et tee-shirt dans les plus brefs délais! Il tient mon dossier entre les mains qu'il lit rapidement comme pressé d'en venir au fait. Il pose le document, se retourne vers moi et me somme, avec le même "ton engageant", de m'allonger sur la table d'auscultation! Voilà qui est fait. Il s'approche, me demande de soulever légèrement les fesses. Je soulève mon bassin pour faire descendre mon slip. Il en extrait mon sexe. Il l'empoigne et le décalotte complètement d'un coup sec. Il exerce une petite pression sur le gland, m'appuie sur le prépuce et me titille la verge -comme pour s'assurer de sa sensibilité- qui réagit d'ailleurs au quart de tour! Cette érection spontanée le fait sourire.

- "Voyons les bijoux de famille, jeune homme..."

Il me déculotte complètement et me descend le slip aux genoux. Il enchaîne avec une palpation des testicules. Il les saisit à pleine main, les soupèse et les vérifie individuellement.

- "Très bien tout à l'air en place. Retirez votre slip maintenant!"

- "Euh, est-ce bien nécessaire ?"

- "Ecoutez jeune homme, je viens de voir dans votre dossier que vous demandiez une exemption militaire suite à quelques antécédents médicaux comme une fracture du bassin et une hernie inguinale. Ce sont des éléments qu'il me faut prendre en compte car c'est moi seul qui décidera de l'orientation que je donnerai à votre dossier. Alors, ne discutez pas, ôtez votre slip immédiatement! "

Devant une telle argumentation, je me résigne à enlever mon slip. Me voilà nu comme un vers en face du sosie de Dolph Lundgren.

- "Très bien. Remontez vos genoux, écartez vos cuisses, je vais procéder à un toucher rectal."

Tout en m'annonçant cette "formidable" nouvelle, il visse les étriers de chaque côté de la table, il enfile un gant qu'il enduit d'un liquide gélatineux. La promptitude du médecin ne me laisse guère de doute sur cette visite "digitale" imminente. Avec ou sans mon consentement.

- "Placez vos pieds dans les étriers, décontractez-vous bien, ce ne sera pas douloureux."

Il se penche en direction de mon entrejambes et m'écarte les fesses. Il est déjà en moi. Je sens son majeur se balader tout autour de ma rosette. Un mouvement circulaire inoffensif laisse très vite la place à un doigté plus profond et appuyé.

- "Aïe! Excusez-moi mais je suis un peu douillet à ce niveau-là...."

- "C'est bien ce que je pensais, vous êtes assez étroit. Je vais y remédier. Il est important pour mon diagnostique que je puisse réaliser un examen plus approfondi du rectum."

- "C'est à dire ?"

- "Je dois vous ausculter les parois anales à l'aide d'un spéculum. Restez à votre place."

Il retire son majeur, tourne les talons et se dirige vers une étagère. Il extrait l'outil en fer. Je me redresse.

-"Hum, si je peux me permettre, je crois que vous faites erreur ?! N'est-ce pas un instrument utilisé par, euh... les gynécologues ?"

L'objet en main, il revient vers moi, d'un pas décidé.

- "Le spéculum est un outil très utile pour dilater les chairs et explorer les orifices. Écartez vos jambes. Au maximum!"

Une nouvelle fois, le ton de sa voix, ferme et exécutif, me refroidit et annule toute velléité de ma part. J'ouvre mes cuisses. Le cérémonial reprend. Re-gant, re-gel mais cette fois-ci, il se présente à l'entrée de mon cul avec deux doigts! Je n'ai pas le temps d'appréhender la situation qu'il m'enfonce le majeur et l'index. Un spasme me parcoure l'arrière-train. Son double doigté commence à triturer mes chairs intimes. Je commence à avoir mal. Je lui signifie ma douleur.

- "C'est normal, c'est même très bien que vous ayez mal, cela veut dire que vous êtes réceptif!

Ses deux doigts continuent de me labourer. Sous la pression exercée par le militaire, je sens mon anus se dilater de plus en plus... visiblement excité par sa "visite"!

- "Ca y est, vous commencez à vous ouvrir, je vais pouvoir installer le spéculum."

Il retire ses doigts, se redresse et empoigne le spéculum en fer. Profitant d'une dilatation maximale il l'enfonce entièrement dans mon trou. Je sens l'appareil qui bouge dans mon cul vissé par ses soins. Je sens mes chairs qui se tendent au fur et à mesure qu'il serre la vis. Les deux branches m'écartent au maximum. J'ai l'impression que mes deux fesses vont se détacher. Je gémis. L'évanouissement n'est pas loin. Le doc' s'interrompt. Il se relève. Il prend du recul sur la situation. Il a vraisemblablement une vue complète de mon "gros" trou, pour l'occasion!

- "Comment vous sentez-vous ?"

- "J'ai connu des jours meilleurs, j'ai l'impression que je vais tomber dans les pommes. Vous en avez encore pour longtemps ? "

- "Cela prendra le temps qu'il faudra. C'est une partie du corps délicate dont il faut prendre le plus grand soin. Je me dois de faire un rapport exemplaire pour la "médecine du travail". On ne rigole pas avec ces choses-là. Si exemption il y a, au sortir de cet examen, je veux qu'elle soit fiable. Okay ?"

- "Euh, d'accord..."

Le militaire retourne "à ses affaires". Il se remet à mon niveau et replonge sa tête dans entre mes cuisses. Il sort de sa poche une loupiote de poche. Le voilà en train de m'éclairer les fondations. Il relève la tête.

- "Hum, c'est qu'on a le cigare au bout des lèvres!"

- "Ecoutez, je suis désolé mais cela fait une demie-heure maintenant que je suis écartelé et doigté... !"

-"Vous ne voulez pas faire votre service militaire?"

- "Ben non, pas trop..."

- " Et bien faites-moi confiance, je vais vous faire un petit lavement, ça m'aidera à y voir plus clair!"

- "Si vous le dites..."

Il se dirige vers la salle de bain. Il fait couler de l'eau. Il revient avec une poire de lavement remplie à bloc! Le trou dilaté par le spéculum, les jambes écartées au maximum par les étriers, il n'a pas de mal à placer l'embout de la pompe à l'intérieur de mon cul.

- "Voilà jeune homme, on va nettoyer un peu tout ça!"

Il actionne la pompe! Des jets d'eau chaude envahissent mon anus, se répandent dans mon intestin. J'ai effectivement la sensation d'être purifier et l'impression que tout mon estomac se remplit d'eau. Le militaire, tel un Shaddock moyen, continue de pomper, pomper, pomper, pomper... mon ventre est prêt à exposer lorsqu'il retire l'embout de mon cul. Il a à peine le temps de glisser une cuvette sous mon bassin que la nature reprend ses droits! Je sais maintenant ce que veut dire "perdre les eaux"! Le médecin récupère la petite bassine.

- "Maintenant il faut que je m'assure que votre lavement est entièrement réussi!"

Le cérémonial a un (mauvais) goût de déja-vu. Le gant, le gel... dont il se badigeonne la main intégralement! Il va me faire la totale! De sa main gauche, il dévisse ENFIN le spéculum. Le retrait de l'outil en fer ne permet pourtant pas à ma rosette de reprendre son diamètre initial. Je suis dilaté à mort. Il ne va pas se gêner!

- "Alors, est-ce que tout est rentré dans l'ordre ?"

Sa main droite gantée et imbibée de gel lubrifiant me défonce le cul. J'ai l'impression de m'ouvrir en deux! Je sens distinctement ses cinq doigts me trifouiller, se balader, me triturer... Il enfonce sa main jusqu'au fond de mes entrailles, la tourne, la retourne puis se met à exercer un va-et- vient tellement violemment que j'ai du mal à me tenir sur la table malgré les étriers. Je sens monter en moi une chaleur incroyable. Cette situation aussi humiliante qu'incroyable me procure un frisson surréaliste. Bien malgré moi mais à bout de nerf et de force, je me mets à bander comme un fou et je me mets à haleter, à gémir, je n'en peux plus... Au moment où il retire son poing de mon ventre labouré et mon anus démonté, j'explose de tout mon foutre! Je suis au bord du malaise, j'ai le bas ventre recouvert de sperme, le cul en feu, je suis exténué...

- "Vous voyez que ce n'était pas si désagréable que ça... Un petit "Fist-fucking" de temps en temps, ça vous retape un homme et vous remet les idées en place... Maintenant que "la voie est libre", je vais pouvoir demander un second diagnostique."

J'hallucine! Cela fait une heure que je suis sur sa putain de table à me prendre des spéculum, des poires et des doigts dans le cul... Qu'est-ce qu'il me réserve encore ?

- "Je vais appeler quelques collègues pour qu'ils puissent par eux-même se faire une idée de votre cas, extrêmement délicat d'un point de vue médical..."

Il compose un n et demande clairement à des gens de le rejoindre en salle de visite médicale. Je n'ai même pas le temps de m'interroger sur ce qui va m'arriver, cinq gars débarquent! Ils saluent le médecin en chef! A la vision de mon corps écartelé par les étriers ils ne tardent pas à comprendre la situation.

- "Tu veux qu'on t'aide à confirmer ton diagnostique ?" demande un des cinq gaillards!

- "En effet, ce jeune homme a eu un accident du bassin il y a quelques années ce qui fait qu'un doute subsiste sur son aptitude à pouvoir réaliser un service militaire dans de bonnes conditions. J'ai déjà constaté une étroitesse du bassin mais j'attends de votre part un second avis."

Les cinq militaires, si j'ose dire, se mettent en branle! Ils retirent mes pieds des étriers, m'empoignent et me font mettre à "quatre pattes" sur la table. Au passage, ils ne résistent pas à la tentation de me pétrir les fesses, de me mettre des doigts dans le cul. Groggy par les exactions de mon geôlier militaire, je n'ai même plus la force de m'opposer ou de tout simplement protester... car tout cela m'a, quelque part, terriblement excité! Le chef reprend les choses en main et par là même, la parole.

- "Si vous voulez votre exemption jeune homme, vous avez tout intérêt à être docile! Okay ?"

Je joue le jeu!

- "Bien sûr, loin de moi l'idée d'entraver la bonne marche de cette visite médicale."

Je crois que ça va être mon feu d'artifice perso, un "14 Juillet" avant l'heure!Je suis toujours à quatre pattes sur la table lorsque deux premiers militaires se positionnent devant la table pour que j'avale leurs deux queues. J'ouvre la bouche tant bien que mal et ils s'introduisent en même temps dans ma gueule. Ils me déforment la mâchoire. Je sens les deux glands cogner au fond de ma gorge. Ils me bourrent la tronche comme s'il s'agissait d'une chatte. Pendant ce temps, un troisième militaire s'est glissé sur la table, sous mon ventre pour pouvoir m'empaler avec sa grosse "baïonnette". De chaque côté de la table, deux autres militaires se positionnent afin que je puisse les branler. J'ai donc deux bites dans le gosier, une autre qui me titille l'anus et deux autres dans les mains. Si mon exemption est à ce prix-là, je ne peux plus reculer. "Mon" militaire n 3 vient de m'attraper le trou avec son manche. Ses coups de boutoir me remontent jusqu' à l'abdomen, j'ai l'impression d'avoir un alien dans le ventre!

De toute façon je n'ai même pas le temps de penser à quoi que ce soit vu que les militaires n 1 et 2 me baisent la bouchent tels des marteaux-piqueurs essayant de se frayer un chemin dans l'asphalte. Ce rythme "choral" me permet de branler les militaires n 4 et n 5 avec une précision et une frénésie exceptionnelles! Et le doc' en chef ? Pas le temps de me poser la question qu'il est déjà derrière moi avec un sexe turgescent! Les cinq militaires, visiblement coutumiers du fait, exhortent leur chef à aller jusqu'au bout de leur "délire"...

- "Vous croyez qu'on peut si faufiler à deux dans son petit trou ?"

Bien sûr qu'il peut y mettre sa grosse queue cet enfoiré avec ce qu'il me fait subir depuis une heure! Toujours empalé sur son gland, le militaire n 3 me tire vers lui en me tenant par les bras. Me voilà allongé sur lui, les bras immobilisées, poitrine contre poitrine, le cul en bombe avec son pieu qui me transperce. Tandis que le médecin se prépare à m'offrir une double pénétration anale, les quatre autres militaires se mettent à "faire la queue", juste après leur chef, avec leur bite énorme à la main! Ils attendent tout simplement et sagement pour me défoncer le cul. Le doc monte enfin sur la table. Il m'écarte encore plus les fesses et m'y introduit un doigt comme pour mieux préparer le terrain! J'essaye de protester par un mouvement de recul mais sa bite est déjà en moi! Je suis tellement épuisé et défoncé de la rondelle qu'elle se dilate sans aucune résistance à l'arrivée de cette seconde bite!

C'est impressionnant, il m'encule à fond. Je pousse un cri de douleur, je suis à leur merci mais j'aime ça! Je n'avais jamais été pris par un homme, alors deux! Je suis en folie, mon bassin va au devant de ces membres qui me violent et me dévastent le fion simultanément. Ces deux braquemarts m'explosent l'orifice, je gémis comme une chienne en rut au rythme de ce double va et vient qui m'atomise le derrière et qui m'entraîne vers des sommets de jouissance inespérée. Je suis comme électrocuté par ce double courant alternatif. Ils me baisent tellement fort, j'ai l'impression qu'ils vont finir par me démonter la colonne vertébrale... mais putain quel pied! Soudain ils se contractent. Les deux bites deviennent dures comme de la pierre, ils jutent en moi! Mes deux "partenaires" se retirent enfin. Je m'écroule à plat ventre, je ne sens plus mon cul, il est comme anesthésié rejetant à grand flot la semence des militaires. Je n'ai pas le temps de reprendre mes esprits, les quatre autres sont prêts à dégainer. On me "remet sur pieds", dans la position initiale d'une bonne levrette. Le médecin en chef et le militaire n 3 se mettent devant moi et me présentent leur bite. Le ton monte!

- "Ca t'embêterait de nous nettoyer le gland?" De nouveau docile, j'approche ma bouche de leur bite pour les nettoyer du foutre qui recouvrent encore leur gland.

- "Suce bien nos queues, ouvre ta gueule de civil, pompe bien pour qu'on t'en remette une couche dans la gueule!".

Je prends leur gland en bouche. J'aspire leur membre en entier et je les suce frénétiquement pour qu'ils jutent rapidement. A peine ces deux bites englouties, on me pilonne à nouveau par derrière. A tour de rôles, les quatre autres militaires me torpillent l'œillet. Les quatre bites se succèdent assez rapidement comme s'ils se faisaient une tournante au ping-pong! Ils m'inondent déjà de leur foutre.

Ouf, un peu de répit. Mais mes six "amants" repartent à la charge. Ils m'enfilent à nouveau, encore, toujours, changeant régulièrement de place. Ils me prennent dans toutes les positions. Des mains me branlent, des langues me lèchent les tétons ou me bouffent les couilles, on me doigte, je ne compte plus mes éjaculations... je suis dans un "Tournez Manège" spéciale armée! Je n'en peux plus, je suis à bout de force, je tiens à peine sur mes deux pattes arrières flageolantes, j'ai la tête qui tourne, deux, trois, quatre bites dans la bouche qui manquent de m'étouffer, j'ai le cul douloureux, le bassin qui explose, il faut que ça s'arrête! Soudain, le pilonnage en règle de mes deux orifices s'interrompt, comme s'ils m'avaient entendu! Le chef reprend la parole.

- "Messieurs, il est grand temps de faire offrande de votre sperme. Repos!"

Les militaires sont maintenant tous au-dessus de ma tête, en train de s'astiquer le manche! C'est une avalanche de sperme qui m'envahit le palais. Les six bites se vident les couilles dans ma gorge, j'ai du mal à tout engloutir tellement le flot est abondant et compact. Les jets de sperme me remplissent l'estomac. Je suffoque, je ne peux même plus recracher, j'ai mal au cœur, la vue qui se trouble, des spasmes tout le long du corps, des crampes aux jambes, le cul en "miettes", je me sens partir...

Je me suis réveillé sur la table d'auscultation une heure plus tard avec l'impression qu'un train m'était passé dessus. J'étais seul, hagard, épuisé, recouvert de sperme de la tête aux pieds dans le petit cabinet médical avec mes fringues posées sur la chaise sur laquelle mon dossier m'attendait. Un dossier dans lequel il était mentionné qu'après un examen approfondi du "corps médical militaire", je n'étais pas déclaré apte à faire mon service militaire. Tout est bien qui finit bien...

Roger Nelson