Au hasard, suite
Pendant de longues minutes j'ai vu défiler quelques visages masculins jeunes adultes ou seniors, des abdomens immenses sous lesquels une main agite un petit zizi, de grosses bites dures (des demi-baguettes) , une bouche féminine gourmande en train d'engloutir un pénis tout luisant de bave, un très bel homme imberbe, harmonieux, allongé sur un canapé, il jouait à faire rouler ses testicules dans sa paume , du bout des doigts. Ma caméra n'était pas ouverte mais il savait que quelqu’un le regardait, il s'était attardé.
Je l'ai remercié et félicité en lui disant que je le caressais des yeux. Je lui ai demandé de bien vouloir se tourner si c'était son souhait. Il m'a montré un dos et des fesses du même statuaire grec, assurément. Je me sentais de plus en plus chaud, avec cette pesanteur dans le bas ventre, mais je n'ai pas eu le temps de lui proposer de jouer au docteur avec moi, il avait appuyé sur la commande "Suivant" pour passer à autre chose. L'image suivante, de mauvaise qualité, me montrait un stylo enfoncé dans un anus et juste en dessus une brosse à cheveux planté dans un vagin. Côté manche. Là encore l'image disparut au profit de diverses visions plus ou moins fugitives venues de nombreux pays.C'est fou ce que les gens peuvent faire au même moment en dépit des fuseaux horaires.
Lorsque apparût un entre jambe masculin "normal" (pas la bête démesurée!) caressé par la belle main de son propriétaire.
Dans la fenêtre réservée aux dialogues son "bonjour" s"inscrivit , vite suivi du mien.
Je n'ouvris ma cam qu'à ce moment là. Il me dit que ce qu'il voyait de moi lui plaisait et lui donnait des idées. Je relevais légèrement mon pull pour montrer le renflement de mon slip couleur chair. Il me demanda de le baisser. De plus en plus brûlant et le souffle court je ne le fis pas tout de suite. Je me tournais, il devina mes petites fesses sous le coton. Dans le bocal je pris mon plus beau thermomètre en verre, me retournais face à lui en le secouant, lentement, pour lui laisser le temps de voir de quel objet il s'agissait. Et là seulement de deux doigts de la main gauche je fis descendre la ceinture de mon Sloggi. Je sentais ma verge gonfler je la saisis un instant comme pour dire bonjour à mon voyeur . Je posais mon pied gauche sur le tabouret à côté, j'allais me cambrer pour relever les fesses en me penchant et glisser le thermomètre dans mon petit orifice...Je le devinais les yeux écarquillés , je voyais sa main maintenant branler son sexe avec conviction, énergiquement, lorsqu'il m'afficha ces mots :
"T'as pas quelque chose de plus gros ? Tu veux pas de mon gros thermomètre? "
Décidément nos fétiches médicaux sont bien mal compris....
Comments
fifoun Il ya 6 ans
Super expérience, merci de nous l'avoir fait partager.