Bilan de santé en institution privée
Bilan de santé en institution privée.
pour en avoir déjà discuté avec certains membres sur ce site. Je vais évoquer la possibilité d’effectuer des bilans de santé, telles que le je l´ai subie en 1972 , Non pas dans un centre médical sur une seule journée, mais dans une institution privée, situe plutôt à la campagne, donc un cadre bucolique et agréable et sur deux jours et demi.
cette institution serait à gestion privée, de se fait ce bilan de santé serait payant et à la charge des familles . J’avais imaginé ce type d’institutions, pour pas mal de raisons . Les trois bilans de santé que j’ai subi des conséquences le lendemain, état de fatigue, douleurs abdominales et gynécologiques également, état de nausées sauf la dernière fois que je l’ai subi car l’anti spasmodique était dispensé en intraveineuse … Dans tous les cas cela nécessite un temps de repos le lendemain.
Pour le premier bilan de santé ce ne fut pas le cas, car l’établissement scolaire dans lequel je me trouvais n’avait pas prévu ce temps de repos et le lendemain il était difficile de reprendre les cours… il en était de même le samedi suivant où je n’ai pas pu pratiquer ma reprise d’équitation, même trois jours après j’avais encore des douleurs abdominales et gynécologique, de ce fait maman avait décidé de m’envoyer consulter mon médecin de famille et ce fut aussi l´occasion de faire un point sur le dossier médical qui m’avait été remis, car il était compliqué à déchiffrer.
Pour les deux autres bilans de santé que j’ai subi en 1974 et le dernier en 1979, dans des centres de la sécurité sociale, Le repos le lendemain était prescrit et même payé en jours d’arrêt maladie. Ce bilan de santé ne s’arrêtait pas à 17h30, mais à 20h, car nous devions avant de partir revoir le médecin généraliste qui nous avait examiné le matin pour la visite d’admission, cela a été l’occasion de refaire un point sur les résultats du bilan de santé.
concernant un bilan de santé en institution, privé et sur deux jours et demi, cela permet aussi un repos entre examen et au lit, Car il s’agirait avant tout d’une hospitalisation. Le protocole pourrait être le suivant :
la première demi-journée Serait consacrée à l’admission à proprement parler, soit un dimanche dans l’après-midi , pour un séjour allant jusqu’au mercredi matin . ou un mercredi dans l’après-midi, pour un séjour se prolongeant jusqu’au samedi matin. Cette admission consisterait en arrivant déjà devoir se déshabiller , Effectuer ensuite les actes d’hygiène nécessaire comme passer aux toilettes et prendre une douche avant de se faire examiner par un médecin généraliste pour déterminer de l’aptitude.
ensuite et ce serait peut-être un peu cru, mais nous sommes dans un établissement médical avec une certaine discipline, être envoyé directement au dortoir et se mettre au lit. Autoriser tout de même une visite de la famille, si la patiente a été accompagnée par ses parents éventuellement ses petits frères et petite sœur, au dortoir. Visite qui devra être de courte durée, pas plus d’un quart d’heure et la patiente devant rester au lit.
bien entendu pour la première nuit, les patientes seraient laissées à la diète, avec quand même une perfusion et une sonde urinaire. Cette mise à la diète serait nécessaire pour les examens gastro-entérologiques qui auraient lieu le lendemain, donc le premier jour de ce séjour médical. Ce qui implique aussi de passer la nuit toute nue dans le lit et je pense que dès le départ ce serait la nudité totale.
pour la dernière matinée, pas d’examen clinique à proprement parler mais un examen médico sportifs qui aurait lieu en piscine ce qui permet de pratiquer des exercices complets et aussi de pouvoir pratiquer toutes nues .
Donnez-moi vos impressions à ce sujet
Comments
Velociraptor Il ya 1 an
Je pense le première journée devrait impliquer une préparation plus poussée.
Les patients doivent être subí par un lavage colique entièr avec une sonde et une machine automatique.
Le patient s'installe ensuite pour d'autres préparations et dormir. Les patients sont allongé sur une table d'examen toute la nuit avec tous les organisateurs nécessaires pour pouvoir effectuer les préparatifs et intervenir, mais avoir une couverture pour qu'il se sente comme un lit confortable.
Une sonde en plastique mince et souple est installée dans une veine d'un bras pour le prélèvement sanguin et la médication.
On place des électrodes sur toutes les parties du corps pour surveiller les fonctions corporelles.
Le patient est sous sédation afin que les préparations intimes puissent être facilement réalisées. Mais lorsque cela est fait, la sédation doit être réduite afin que le sommeil devienne aussi normal que possible.
On lui installe un cathéter dans la vessie pour un drainage continu. La sonde dans la vessie est reliée à une machine pour l'analyse continue de la sécrétion d'urine et pour le stockage périodique d'échantillons d'urine pour analyse. La sonde enregistre également les mouvements musculaires dans l'urètre et les mouvements dans le pénis des garsons.
Il faut également installer une fine sonde à travers l'anus pour la mesure de la température, la mesure des mouvements intestinaux et le drainage des sécrétions intestinales pour analyse.
Le matin, ces installations sont retirées, à l'exception du cathéter intraveineux qui reste. Il faut alors effectuer un nouveau lavage intestinal automatique avec une sonde plus épaisse.
De cette façon, ils seront parfaitement préparés pour les examens après le matin et on évitera les éléments perturbateurs sous forme de lavements et de piqûres pour les analyses de sang.
Outre l'objectif mentionné, ces installations doivent également effectuer une analyse entièrement automatique du sommeil.
Dans notre ère moderne de microélectronique de masse, ces installations peuvent être réalisées avec de petites électrodes presque imperceptibles qui ne seront pas particulièrement inconfortables, et les électrodes peuvent utiliser une communication sans fil au lieu de fils gênants.
helene Il ya 2 ans
Toujours dans ce sujet. Le soir venu après les examens il est évident que les patientes ne pourraient pas avoir d’activités de loisir. Les examens médicaux pourrait très bien se prolonger jusqu’à 19h30 par exemple selon les plannings des Docteurs consultants.
On pourrait comprendre aisément que certaines soit triste de ne pas recevoir de visite de leur famille ou de pouvoir leur passer un appel téléphonique, car dans les années 70 personne n’avait de téléphone portable et j’imagine la cohue devant une cabine téléphonique. Je pense pour ma part que durant ce séjour , même si certaines patientes habitent à proximité, la visite des familles n’est pas du tout opportune.
Toutefois que penses seriez-vous d’avoir au sein de l’institution un groupe de dames bénévoles qui durant la journée et la soirée seraient le lien entre la famille et les patientes. En termes hospitaliers on appelle cela des visiteuse. Ces dames passeraient leur temps à discuter avec les patientes en s’asseyant à côté d’elles au dortoir , prendraient soin de leur moral ...
En vous remerciant de me donner vos réflexions à ce sujet