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Vues: 1517 Created: 2011.12.24 Mis à jour: 2011.12.24

Fessée et jeux médicaux

Fessée et jeux médicaux

Je ne sais pas où ouvrir ce sujet, donc pardonnez moi si l'endroit est mal choisi...

Comme vous l'avez je pense compris, mon fantasme concerne les suppositoires et les prises de températures rectales. En fait, ce qui m'excite le plus là dedans, c'est le moment de l'insertion et le fait d'être soumis à quelqu'un, mais de façon bienveillante. À cela s'ajoute en fait le fantasme des fessées... Je déteste avoir mal, je ne suis absolument pas attiré par le sado masochisme mais j'aime la mise en scène, la sensation de faute et l'attente avant la punition. Néanmoins, il ne faut pas que ça fasse mal, je veux juste ressentir qu'on me punit mais sans atteindre la douleur, juste un petit échauffement.

Je ne pense pas être le seul dans ce cas, c'est pour cela que j'ouvre ce sujet. Je voulais aussi vous faire partager un de mes fantasmes... Il y a une femme, que je connais depuis quelques mois, qui ne me laisse pas indifférent. Je sais qu'il est impossible qu'il se passe quoi que ce soit entre elle et moi, mais peu importe, cela relève du fantasme pur et dur... Nous travaillons ensemble et nous bossons sur le même dossier en ce moment, ce qui fait que nous nous voyons assez régulièrement au boulot ou chez elle, mais sans ambiguité. La dernière fois, le mauvais temps a bien failli me laisser coincé chez elle pour la nuit, mais la pluie s'est arrêtée et j'ai pu rentrer chez moi, non sans quelques déceptions, je dois bien l'avouer. Depuis, je ne pense qu'à une chose : dans les prochains jours, je vais retourner chez elle. Elle était un peu enrhumé la dernière fois que je l'ai vue, et elle avait mal à la gorge, peut être cela se sera-t-il aggravé ? Alors je lui dirai d'aller se mettre au lit, et que je vais lui apporter une aspirine. Elle va se coucher, et en bon ami, je lui prépare son médicament. En arrivant dans sa chambre, je trouve qu'elle a l'air fiévreuse. Elle me demande d'aller chercher son thermomètre électronique dans la salle de bain. En ouvrant l'armoire à pharmacie, je ne peux m'empêcher de remarquer un vieux thermomètre en verre qui ne semble plus utilisé depuis des lustres. Avec un petit sourire, je prends l'électronique et je reviens dans la chambre. Mais en essayant d'appuyer sur le bouton d'allumage avant de lui mettre dans la bouche, rien ne s'allume. Je lui fais part de mon observation. Elle essaye à son tour, mais ça ne marche pas. Or, elle semble vraiment fébrile. Je lui dis : "Écoute, tu ne peux pas rester comme ça, si tu as de la fièvre il faut appeler un médecin... Tu n'as pas un autre thermomètre ?" Elle rougit. "Si, mais... Je ne l'ai plus utilisé depuis longtemps, pour te dire il est encore au mercure !". "Ne bouge pas, je vais le chercher." Je reviens le thermomètre à la main, troublé, et attendri par son regard gêné. Ses joues ont viré au rouge. Je joue les innocents. "Ça se met dans la bouche, c'est bien ça ?" Elle rougit d'autant plus. "Non... Je te dis, ça fait des lustres qu'il est là...". Je commence à la connaître, je sais qu'elle n'aime pas trop les médecins et qu'elle est très pudique. Après un silence, elle me dit : "J'ai trop peur de le faire moi même, je ne l'ai jamais fait, j'y arriverai pas... Je ne réalise même pas ce que je vais te demander, mais... Tu veux bien t'en occuper ?". J'essaye de ne pas montrer ma joie. Elle est tellement attendrissante, tellement belle, tellement... tout. Je lui souris et lui indique que je vais m'en occuper et que tout va bien se passer. Je lui demande doucement mais fermement de se mettre sur le ventre et de baisser son jean. Elle bougonne un peu mais s'exécute. Je la sens crispée. Je lui caresse doucement le dos, mouille le bout du thermomètre avec ma salive et l'approche de ses fesses. Elle se crispe totalement, impossible d'aller plus loin. "Détends toi, tu ne sentiras rien... Allez... C'est pour ton bien." Mais rien n'y fait. Je pose le thermomètre sur la table de nuit. "Bon écoute-moi, je ne peux pas faire ça dans ces conditions. Relax, je te jure que ça va aller. Fais moi entièrement confiance et détends toi." Elle acquiesce d'un hochement de tête. Je lui remonte son tee-shirt jusqu'aux épaules. Doucement, je lui masse le dos, lui caresse les cheveux... À chaque mouvement de ma main dans son dos, je descends un peu plus bas, et chaque fois que je drôle ses fesses, elle se crispe. Mais au bout de quelques minutes, elle se laisse totalement faire. Je reprends le thermomètre dans les mains, remets de la salive et continue mes caresses, qui ne s'aventurent pas plus loin que ce qu'elles y sont autorisées. Une fois que je la sens prête, j'écarte ses fesses et je lui mets le thermomètre. D'abord la pointe, puis je l'enfonce doucement alors qu'elle bougonne un peu. "Voilà... Ça va ?" "Combien de temps je dois garder ce truc ?" "Je ne sais pas... 5 minutes je pense." "Han... C'est trop long !!!" Je lui souris et lui caresse les cheveux, amusé. Je joue un peu avec le thermomètre, mais elle ne semble pas apprécier. Au bout de 5 minutes, je le sors et y lit la température. "Tu as 38,5 °C. Remets toi sous la couette, il faut appeler un médecin." Elle semble un peu inquiète mais surtout sonnée par sa fièvre. Elle me dit : "Vas plutôt à la pharmacie, y'en a une en bas de ma rue. Ça sera plus rapide, et..." Elle se met à tousser et a du mal à parler. "Ça va ?" Tant bien que mal, elle me répond : "Ça fait plusieurs jours que c'est comme ça, j'ai pris du sirop mais ça ne passe pas." "Et tu as eu mal à la gorge tout ce temps là ?" "Oui, mais je pensais vraiment que ça allait passer... Mais là, il faut absolument que ça passe d'ici demain." Et elle m'explique ce qu'il y a de si important au boulot (ou ailleurs) le lendemain pour qu'elle doive retrouver sa voix et guérir sa gorge. "Bon, je file à la pharmacie...". Dans cette fameuse pharmacie, j'explique le cas à la vendeuse, en espérant obtenir des suppositoires. J'insiste bien sur le fait qu'il faut qu'elle soit guérie le lendemain et lui demande si ça existe toujours, les suppos de quand j'étais petit qui faisait passer si vite un bon mal de gorge. Et hop, je repars de là avec des pastilles à sucer, une nouvelle boîte d'aspirine et des suppositoires. Une fois de retour dans sa chambre, je lui dis "J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle : j'ai tout ce qu'il te faut, mais dans le tas, il y a des suppositoires..." Elle commence à bougonner. "Si tu veux... Je peux m'en occuper..." "C'est le truc le plus gênant de toute ma vie, mais je peux pas faire ça toute seule... Vas y". "Tout ce qui se passe ici reste ici, ne t'inquiète pas. Les collègues n'en sauront rien." Je commence par lui donner ses pastilles, puis vient le moment tant attendu. "Retourne toi s'il te plaît, je vais te mettre un suppositoire". Elle rougit encore. Elle se met à plat ventre, lentement, comme pour retarder l'échéance, puis descends lentement le bas. Je prends la boîte, l'ouvre, et je la sens inquiète. Je déballe le suppositoire et m'approche d'elle. Je lui caresse le dos pour la détendre, puis écarte ses fesses. Je place le suppositoire à son entrée, pour le faire fondre un peu. Je fais quelques mouvements de vas et viens, puis l'insère profondément. Elle gémit, sans que je sache interpréter ce que cela veut dire. Je remonte les couvertures et l'embrasse sur la joue. "Je reste ici ce soir, je ne veux pas te laisser seule. Je te reprendrai la température dans 2 heures. En attendant, dors...".

Et puis, j'imagine le soir, reprendre ce même rituel, et le lendemain matin, et qui sait, peut être encore le lendemain... Au fur et à mesure où elle reprend des forces, elle cherche un moyen de se "venger", de reprendre un ascendant sur moi. Elle aime avoir raison, elle aime dominer, elle m'a dit un jour qu'elle obtenait toujours ce qu'elle voulait. Et plus que tout, même si je sais que cela n'est qu'un jeu, elle aime me provoquer, jusqu'à un ambiguité un peu malsaine. Et j'adore ça. Moi, je ne manquerai pas de l'embêter avec ça, sur l'ascendant que j'ai eu sur elle quelques jours en lui prenant la température et en lui mettant des suppositoires. Elle me manquera pas, en retour, de me faire des menaces. "Ce genre de blagues, ça mérite une fessée, fais attention". Et puis, pendant quelques jours, la menace planera, de plus en plus proche. Jusqu'à la fois où j'irai chez elle, et elle me rappellera cette menace qui ressemble à une promesse. "Et ben vas y, mets moi une fessée !" "Ne joue pas avec moi." "Nan mais ça fait plusieurs jours que j'attends, alors..." "Ok, viens sur mes genoux et baisse ton pantalon" "T'es sûre de toi ? Je te préviens, je vais le faire..." "Et ben fais-le." Et je le ferai. Elle baissera alors mon boxer, et elle me donnera une première claque sur les fesses. Puis une deuxième. Je ne saurais pas comment réagir. Elle rougira, mais sera fière d'elle. Et ça continuera quelques minutes, jusqu'à ce qu'elle arrête. Je me relèverai alors, un peu gêné, mais surtout très excité. Et peut être qu'on fera l'amour, qu'on tombera amoureux et que la prochaine fois que je serai malade, elle complètera sa vengeance en me prenant la température et en m'insérant un suppositoire.

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clyso Il ya 6 ans  
Aranam Il ya 6 ans  
clyso Il ya 6 ans  
Dr Juju et sa Julie Il ya 12 ans  
clyso Il ya 12 ans  
n/a Il ya 12 ans  
claudio Il ya 12 ans  
eminence Il ya 12 ans  
Gégé Il ya 12 ans  
patou39 Il ya 12 ans  
clyso Il ya 12 ans