Vues: 593 Created: 2016.05.05 Mis à jour: 2018.12.07

Confidences sur le Canapé

Confidences Ep. 2

Après avoir extrait mon sexe de mon shorty, elle le gratifia de quelques délicieuse caresses digitales et linguées puis, me le tenant comme on tire un chien par sa laisse, m'entraîna aux wc pour y faire un petit pipi, une fois déculottée et assise, elle commença à me pomper pendant qu'elle se libérait la vessie dans un joli chuintement, Margo, je devais le reconnaitre, était une très bonne suceuse, aussi douée que Brigitte, et le petit plus de sa miction n'était pas pour me déplaire, entre deux va et viens de sa bouche sur ma queue, elle me demanda si j'aimais les jeux de pipi, comme je répondais que oui, elle passa des doigts sur sa fente…

- Alors tiens…! Goutte-moi…! me dit-elle en me les posant sur les lèvres.

- Hummm… fis-je, en les léchant et les suçant.

- Bien… Comme tu as l'air d'aimer ça… Viens m'essuyer avec ta langue… me dit-elle en écartant les cuisses, soulevant son bas ventre.

J'obtempérais bien volontiers, j'adore brouter les femmes, et il y a dans leurs humidités quelque chose qui me stimule fortement, elle me caressait les cheveux pendant que je m'appliquais consciencieusement à lui faire sa toilette, n'oubliant aucun recoin de son intimité, allant même jusqu'à lui laver son orifice plissé, elle eu un léger soupir à ce moment là, et sans doute poussa-t-elle sur son sphincter car sa corolle s'entrouvrit, m'invitant à la laver plus profondément, d'une voix rassurante, elle me précisa qu'elle s'était lavementée avant notre arrivé, la pointe de mon nez pénétrait sa vulve pendant que ma langue lui fouillait l'anus…

Margo me fit me relever tout à coup et m'entraîna à sa suite vers le salon, prétextant que l'on pouvait aussi bien faire nos cochonneries là bas, en réalité, sa curiosité était trop forte et elle voulait savoir où en étaient son mari et ma femme, elle ne fut pas déçue, Brigitte à genou au dessus de Paul, lui chevauchait le dard gémissante pendant qu'il lui rentrait deux doigts dans les fesses, ils eurent juste un bref regard pour nous, le temps de voir que Margo me tenait par la bite et que je bandais gravement sous ses attouchements, comme ils ne disaient mot, par défiance, elle s'agenouilla sur le tapis et recommença à me sucer la verge goulument..

Tout en s'affairant sur mon dard, elle regardait la scène sur le canapé, ma femme qui s'empalait vigoureusement sur l'engin de son mari et les doigts qui lui fouillaient le cul, je ne savais si elle en était fâchée, jalouse ou désirante de la même chose, car à part mon coup de langue d'essuyage de sa chatte, elle ne m'avait rien demandée, à un moment, elle se releva et m'entraîna près du couple, saisissant ma femme par les cheveux elle lui tira la tête en arrière et l'embrassa à pleine bouche fougueusement puis, retirant les doigts de Paul de son anus, dirigea ma queue vers le petit trou de Bri en m'ordonnant : - Encule-la…! Devant moi…!

Etait-ce par vengeance ou par envie de domination que Margo imposait une double pénétration à Bri, je ne sais, mais en tous cas, ma femme n'eu pas le temps de protester, tirée et maintenue en arrière par les cheveux, la bouche de Margo écrasant la sienne, sans compter la complicité supposée de Paul, que je soupçonnais maintenant être de mèche avec sa femme, voyant comment il maintenait ma femme par les hanches, à peine Margo avait-elle crachée de la salive sur l'anus de Bri qu'elle dirigeait mon gland contre lui et cherchait à l'y faire pénétrer, le double doigtage de Paul avait préparé le terrain et d'un coup de rein, j'enculais Bri…

Bien sur, je comprenais qu'elle proteste quelque peu pour cette pénétration rectale inattendue, bien que je ne comprenne pas les mots étouffés, par la bouche de Margo, qu'elle essayait de dire, et je connais ma femme, les doubles pénétrations qu'elle accepte sont le plus souvent prodiguées avec douceurs et précautions par moi et un gode latex de taille moyenne, mais là évidement, ce n'était pas pareil, bien qu'elle connaisse les effets de ma queue dans son derrière, il fallait compter avec la présence de celle de Paul déjà présente dans son vagin, de plus, nous ne lui avions pas demandés la permission, cela devait la mettre en colère…

J'attendais quelques instant avant de me mettre en mouvement, on est pas des bêtes, j'en profitais pour passer une main entre les cuisses de Margo, qui les écarta en signe de bienvenue, sa foune était ruisselante, cette sodomie en double avait l'air de beaucoup lui plaire, ou était-ce la domination imposée à ma femme, mes doigts nageaient dans les plis de sa vulve et mon pouce trouva de suite l'entrée interdite, accueillante elle aussi, je le lui enfonçais d'un seul geste, après tout, elle aussi avait le droit de goutter à l'introduction sauvage, Margo ne protesta pas, au contraire, elle me tendit sa croupe pour que je lui rentre tous mes doigts…

C'est Brigitte qui commença à bouger sur le chybre de Paul et par le fait, sur le mien aussi, signal de son acceptation à être ramonée par les deux membres en elle, j'allais par petits mouvements lents dans son rectum, la place était étroite, ma queue frottait sur celle de Paul, et une fois de plus en ce genre d'occasion, je me demandais où était la limite en hétéro et bisexuel dans la double pénétration, à partir du moment où l'on ne reste pas insensible aux sensations provoquées sur sa verge, par les mouvements et attouchements de celle de l'autre gars…? Bien sur, dans ce sandwich coïtal, il y a la présence d'une femme entre nous… mais bon…?

J'en étais là de mes interrogations quand les soupirs de Margo, sous mon doigtage vagino-anal, ont attirés mon attention et fait revenir à la réalité, je ne l'avais pas encore fourrée, ni devant, ni derrière, elle était là devant moi, croupe offerte, et je n'en profitais pas, elle aussi avait le droit au ramonage, alors je me retirais doucement de l'anus de ma femme, j'enfilais une capote et poussais Margo sur le canapé, en levrette à côté de son mari, Brigitte arrêta un instant de s'astiquer sur le manche de Paul pour me regarder faire, j'écartais largement des deux mains les fesses de Margo pour lui montrer ma cible, la rosette à plaisirs…

Comme elle me l'avait faite faire à ma femme, je ne m'embarrassais pas de préliminaires, il est de bon ton de savoir parfois remettre les pendules à l'heure et de faire comprendre à certaines que ce qui est bien pour une, l'est bien aussi pour l'autre, alors tenant ma queue à sa base pour en faire durcir le gland saliveux au maximum, je la lui plantais dans le cul d'une traite, en m'y enfonçant le plus profondément, lui arrachant un râle tout aussi profond, la gueuse était étroite et je crus bien y laisser des fragments de moi-même tellement la brûlure fut à la hauteur de ce que je lui faisais, j'eu un râle moi aussi, mais de satisfaction…