Et nos femmes, que faisaient-elles pendant ce temps là, me demanderez-vous…?

Et bien Margo ne désespérait pas d'amener Brigitte à accepter un lavement, déjà, elle venait de réussir à lui faire faire les siens par ma femme, les miens et ceux de Paul, Bri devenait la reine de la poire mais sans plus, une fois le lavement injecté, elle ne voulait pas savoir ce qui ce passait après, un jour, Margo avait obtenue qu'elle essaye un suppositoire contre la constipation, Bri n'avait pu le retenir et il avait fusé dans sa culotte, de honte, elle nous avait fait la gueule une semaine…

Entre elle et Margo, c'était les longs cunnilingus, les jouets de toutes sortes avec essayage en extérieur, leur truc était d'aller faire les courses ou les magasins avec des objets insérés devant et derrière, rosebud ou plug pour l'anus, boulles de Geisha ou culotte avec gode pour leur vagin, parfois double gode, anal-vaginal, elles portaient parfois une couche pour adulte, ayant été échaudées par les écoulements subits de leur fontaine, lors d'un orgasme foudroyant en public, et souvent quand elles rentraient de leurs courses, elles avaient tellement les orifices en chaleur qu'il fallait les saillir de suite, Paul comblait ma femme, moi la sienne…

Bien sur, nous avions des moments torrides ensemble, avec toujours des échanges bisexuels, Bri fistait Margo qui le lui rendait bien, les arrosages étaient monnaie courante, les punissions corporelles légères avait étés instaurées, fessés, martinet, étaient donnés pour n'importe quel prétexte et devant les autres, Margo jouait souvent la domina et un soir elle m'imposa une saillie par sa bite Africaine, ce fut comme un nouveau dépucelage de mon œillet tellement la chose fût douloureuse les premiers instants de la pénétration, Paul et ma femme regardaient la simulation de viol en se masturbant et en encourageant l'enculeuse à me défoncer…

Puis je me suis habitué à l'envahissante présence du membre et j'ai jouis de la prostate pendant que Bri faisait pipi sur moi pendant que Paul se finissait dans ma bouche, je recrachais sa semence au sol, Margo, très satisfaite et excitée, demanda à être violentée sexuellement par nous tous et elle fut fessée, fouettée au martinet, puis fistée vaginalement et analement, surtout par Bri qui avait de petites mains, je me contentais de lui uriner dans les fesses après lui avoir fixé des pinces à linge sur les tétons et les petites lèvres, Paul vint s'asseoir sur son visage pour se faire laver l'anus de sa bouche, Margo eu un orgasme très mouillé…

Comme Paul et moi avions nos sorties ensemble, nos femme faisaient de même, en discothèque parfois, une nuit, à leur retour, elles avouèrent, un peu saoules et honteuses, avoir cédées à de jeunes mâles en rut et s'être laissées faire sur le parking derrière la boîte, ils étaient six ou sept, elles ne le savaient pas, dont certains bien fournit, et tous ces braves gars leur étaient montés dedans(comme on dit à Brest), sans compter les queues qu'elles avaient due sucer, effectivement, leurs vêtements étaient souillés et froissés mais elles devaient, en plus d'une douche, aller prendre un shampoing pour enlever les coulées visqueuses de leurs cheveux…

Pour se faire pardonner, mais surement aussi avec des envies bien à elles, elles nous firent la surprise un soir, de ramener de petites mignonnes qu'elles avaient rencontrées et séduites en discothèque, des jeunettes d'un peu plus de vingt ans, bien faites, intimidées de se retrouver avec quatre adultes inconnus mais peu farouches à voir leurs réactions quand Brigitte et Margo leur faisaient des câlins, Paul et moi, tout en restant polis et courtois, n'avons pu nous empêcher la dureté qui se développait soudain sous nos braguettes à la vue des ses petites fesses toutes fraîches qui sans nul doute allaient passer un bon moment avec nous quatre…

Margo a servit des boissons en nous faisant comprendre discrètement et d'un air entendu ,"Pas Touche de Suite", cela était évident, nous préférions laisser l'initiative à nos épouse afin de voir ce qu'elles comptaient faire avec les deux vulvettes, je glissais quand même un conseil à l'oreille de Margo, qu'elle évite elle aussi, de sortir de suite ses instruments à lavement, Marie et Cécile étaient leurs prénoms, Marie, belle rousse à cheveux longs, tâches de rousseur et petits seins, Cécile, brune coupe courte au carré, poitrine plus volumineuse et fessier rebondit, maquillage sobre mais élégant, l'une en jupe courte l'autre en short, bandantes…

Bri s'était installée sur le canapé avec la rousse Marie et Margo sur le sofa avec la brune Cécile, Paul et moi étions sur des poufs au sol, un peu en retrait, observant les jeux de séduction de nos épouses, qui avaient apparemment déjà choisies leur préférée, tout en discutant entre elles de la vie, des fringues et des rencontres amoureuses en discothèques, les effleurements digitaux et les petits bisous volés étaient déjà choses acquises, les jeunettes n'ayant pas du tout l'air choquées par l'attirance de femmes envers elles, au contraire, elle ne refusaient pas les doux et sensuels attouchements de nos épouses, y répondant même…

Après une vingtaine de minutes de papouilles diverses et confidences à voix basses, nos femmes en arrivèrent aux baisés mouillés et profonds, ainsi qu'aux mains tendrement exploratrices sous les tops, ma queue durement bandée, enfermée dans mon pantalon, me faisait mal, je n'avais qu'une envie, lui faire prendre l'air et prendre autre chose aussi si la situation se déridait un peu envers moi et Paul, c'est la rousse Marie qui rompt le silence en se redressant de l'étreinte affectueuse de Bri pour nous adresser la parole…

- Alors comme ça vous êtes Bi aussi…? demanda-t-elle sans aucune gêne, semblant même rassurée de ne pas être tombée dans un plan partouze hétéro pourrit.

- Heu… Oui… Episodique… répondons Paul et moi gentiment.

- Ah…!? ça veut dire quoi "bi épisodique"…? demande Cécile à son tours.

- Et bien… C'est quand on veut… pas quand on veut pas… lui dis-je.

- Comme nous alors…? Seulement quand on a envies… répond Marie.

- Voilà… Et ce soir…? vous êtes plutôt quoi…? Filles-filles ou Filles-garçons…? leur demande Paul aimablement et compréhensif.

- Bin nous… on veut pas foutre la merde dans les couples… répondent-elles de concert en se blottissant comme des chattes contre nos femmes.

- C'est bien mes petites… Seulement si moi et Bri on vous le permet avec nos hommes…?

- Oui… Voilà… c'est vous qui dites ce qu'ils ont le droit de faire… ajoute Marie.

- Ne t'inquiète pas… et Cécile non plus… seulement si j'autorise… les rassure Margo.

- Hummm… On a jamais vus des gars se faire des trucs… soupire Cécile en se laissant caresser l'entre-jambe par Margo.

- Et bien offrez-leur vos culottes… cela va les exciter et ils se ferons "des trucs" comme tu dis… incite ma femme, qui a déjà une main plongée dans celle de Marie

Les jeunettes acceptent en riant et aussitôt les culottes sont enlevées par nos épouses qui n'attendaient que ça pour avoir un accès direct aux juteux abricots, elles nous lest jettent comme un os au chien et j'attrape celle de Marie, dont je contemple le gousset en le portant à mon nez pour le humer, il est évident que Brigitte lui fait de l'effet à en juger par son état déjà très mouillé, sans parler du léger parfum qu'elle dégage, mélange de son miellat et de pipi, j'adore, je n'en peux plus d'attendre une éventuelle caresse et j'ouvre mon pantalon pour en extraire ma verge qui crie au secours, Paul en fait de même en humant la culotte de Cécile…